Histoire : Vie d'une artiste incomprise

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I. Menya Picasso, naissance d’une vraie artiste

❝ Et ça c’est ? ❞
❝ Toi ! Sur ton hoverboard. Tu reconnais pas ? ❞
❝ Si, si… Menya ce dessin est juste wahou… magnifique. J’ai pas les mots en fait. Et pourtant c’est évident, plus tard tu seras une grande artiste ❞

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Commentaire qu’il aurait peut-être dû se garder de faire. Meilleur supporter de sa fille depuis sa naissance, il y a des encouragements qu’il faut parfois savoir taire.
Mais faible par amour, Morgan Lovàas l’avait toujours été. Cette promesse de prendre soin de sa fille, de la rendre heureuse à chaque instant, le jour où sa femme avait rendu son dernier souffle en la mettant au monde, c’était bien celle à laquelle il avait juré de ne jamais faire défaut.
Et pendant de nombreuses années, il y était parvenu. Tant bien que mal. Ravalant chaque jour sa tristesse d’avoir perdu l’amour de sa vie. Cachant ses larmes à chaque anniversaire de Menya où son coeur ne pouvait être entièrement à la fête alors qu’il pleurait l’absence de celle avec qui il aurait dû élever sa fille.

Menya. C’était comme ça que sa femme aurait voulu l’appeler, et c’était donc comme ça qu’elle s’était appelée. Il était devenu le centre de son monde, elle était le centre du sien.
Ensemble, rien que tous les deux, ils avaient avancé pendant de nombreuses années.
Le hoverboard sur lequel il avait tant aimé planer, il l’avait raccroché un temps pour faire vivre la passion de sa femme, le cinéma.
Les affaires, ça n’avait pourtant jamais été son truc. Mais il avait vu ce jour où Menya voudrait peut-être marcher dans les traces d’une mère dont il n’avait jamais cessé de parler.
Des anecdotes, des petites histoires avant de dormir et toujours le mensonge soufflé qu’elle lui ressemblait beaucoup quand le portrait qu’elle affichait se rapprochait peut-être plus du sien.

Il en avait bien conscience, il n’incarnait pas l’image du père idéal.
Sa fille, il la gâtait sans doute un peu trop. Ses caprices n’étaient souvent que des souhaits à exaucer. Et ses bêtises, pas grand chose.
Pourtant, à 8 ans, quand sa fille effleure de ses doigts l’artefact familial, il est bien obligé de chercher un peu de responsabilité en lui pour la guider sur un chemin plus prudent que celui qu’elle aurait pu emprunter.
Des accidents sont à déplorer, des nuits blanches tracent parfois ses traits de cernes, et les bilans de la société viennent rajouter plus de soucis sur des épaules pas assez larges pour tout porter.
Alors il la laisse rentrer dans sa vie… celle qui fera taire les rires d’une maison heureuse jusque-là… sur son simple passage.


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II. Inspirée de faits réels

❝ Il était une fois une méchante sorcière, très très moche avec un nez crochu, des yeux de goule, un dos bossu et l’odeur d’un gymnase dans la bouche.
Cette méchante sorcière avait enfanté par 3 fois. Un fils chiant en aîné, pas très intéressant mais avec la qualité d’être presque supportable. Puis deux filles au QI d’une seule mouette à elles deux.
La méchante sorcière voulait étendre son royaume (et surtout embêter les autres) et rencontra sur son chemin du pouvoir un beau roi volant qu’elle épousa, sans doute en lui lançant un sort ou un truc pas très net parce que le roi était clairement trop beau pour elle.
Malheureusement pour cette dernière, le beau roi avait une fille, beaucoup plus jolie et intelligente que les siennes, qu’elle détesta dès le premier regard. Aussi décida t’elle de lui rendre la vie dure en « reprenant son éducation » (selon ses propres mots mais permettez nous d’en douter. C’est clairement un mensonge). La pauvre princesse se retrouva donc à devoir supporter une belle famille qu’elle n’aurait jamais choisie même sous la torture.
Plus maligne que son père, et au courant des plans machiavéliques de la vilaine, elle décida donc de venir en aide au roi volant en empoisonnant les plats de la sorcière à plusieurs reprises grâce à des potions trouvées dans la pharmacie familiale.
Sitôt celle ci aux toilettes pour de longues heures d’atroces souffrances, la princesse décida de l’y enfermer pour pouvoir fuir avec son père loin de cette maison plus si joyeuse qu’autrefois, du temps où elle ne vivait qu’avec le roi volant.
Ensemble ils refirent leur vie loin du démon au nez crochu et vécurent heureux de nombreuses années. ❞

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Tout avait changé. En l’espace de quelques jours. Un soir son père lui présentait une femme, quelques semaines plus tard il lui annonçait qu’il allait l’épouser, qu’elle et ses enfants viendraient vivre chez eux… dans leur maison.


L’impression d’avoir fait une trop grosse bêtise, d’être vraiment punie cette fois-ci… de ne plus être centre mais partie d’un grand dessin qu’elle ne comprenait pas vraiment.
On ne la comprenait pas non plus, dans cette famille… sa famille.
Tout avait changé.
D’enfant choyée, elle était devenue le vilain petit canard, le cas désespéré, celle qu’on comparait à des gens idiots mais à priori plus matures qu’elle…
La maturité… une définition barrée dans un dictionnaire, quelque chose dont elle ne voulait même pas entendre parler.

Sa mère, son père avait commencé à en parler de moins en moins. Le sujet était devenu interdit... et pour la première fois de sa vie, Menya avait pris conscience qu’il lui manquait quelque chose.
Sur les portraits de famille, son imagination avait tenté d’effacer les membres qui gâchaient ce portrait pour la remplacer par celle qu’elle n’avait jamais connue et n’aurait jamais la chance de connaître.

Peu fan de la discipline imposée, les petites bêtises d’autrefois s’étaient faites plus osées… pour garder l’attention d’un père, et par simple esprit de rébellion. Céder, c’était s’avouer vaincue. Emmerder son monde, c’était rester debout sur le champ de bataille. Quelque part, rester à combattre, c’était faire honneur à celle qui valait un million de fois de plus que la mégère.

Son seul ami était resté son père. Son meilleur allié pour être plus exact. Quelques larmes, la bêtise était pardonnée.
La promesse tenait toujours.
Mais le conflit dominait leurs rires.
Ce qui était pardonné ne devait pas l’être… ❝ pour son bien ❞, une excuse qu’elle avait du mal à saisir dans la bouche de sa belle-mère quand elle tentait de se justifier.
ça ne faisait pas de sens… parce que c’était mieux avant, quand il n’y avait qu’eux.


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III. Œuvre sur route, quotidien de malchance

❝ Le truc a surgi devant moi. C’était énorme. Il avait deux espèces de cornes, et des mâchoires… terrifiantes ! C’était ta voiture ou moi papa, je suis désolée, j’ai choisi la vie. ❞
❝ Et tu dis que ce truc était dans le garage ? ❞
❝ Je sais, va falloir revoir le système de sécurité. ❞

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❝ Evidemment que j'en suis capable ! ❞ c’était ce qu’elle avait répondu. La promesse d’une connerie parmi tant d’autres sauf que celle-ci se plaçait peut-être un peu au dessus des autres.
Une miss catastrophes - la Reine du Chaos pour être plus juste - c’était le nom d’une super héroïne qui aurait pu lui aller à la perfection.
Les portails, elle se débrouillait plutôt bien en réalité. Les ❝ abus de pouvoir ❞ c’est un excellent entraînement. Parfois, on découvre qu’il y a un prix à payer. Souvent, dans le cas de Menya, on s’en rappelle jusqu’à la prochaine fois, jusqu’à le mettre de côté.
Ici, nous n’évoquerons pas cette fois où elle a malencontreusement libéré un loup garou. Nous tairons également les raisons de la catastrophe frôlée.
Inutile de s’attarder également sur les quelques fois où la facture lui revenait à elle. Trop d’abus, un manque d’énergie, quelques malaises, la fierté de retenter la fois d’après pour explorer davantage les limites. De bien petites bêtises à côté d’autres.

Le nombre de véhicules de son père qu’elle a emboutis, sa première mousse piscine party, les laxatifs dans le plat d’une belle-mère et autres farces de gamine… rien de bien méchant. Une enfant qui se divertit. La faute à un mauvais programme télévisé, une vie regrettée, le talent de se faire remarquer… les mobiles sont toujours nombreux, et pour ce qui est des alibis ? Si besoin, il lui reste toujours une moue ou quelques larmes de crocodile, presque son animal totem à ce stade.


Et puis il y avait eu ce jour, peu après ses 23 ans.
De soirée en soirée.
De bêtise en bêtise.
De fréquentation richarde à plus si recommandable.
Elle l’avait rencontré lui.
Un ami. Un peu plus parfois. Quelqu’un qui savait définitivement la flatter. Le genre d’homme charismatique qu’on suit parfois. Celui qui voyait son potentiel. Et celui pour lequel elle avait volé des papiers à son avocate de belle-mère sans savoir ce qu’il en ferait.

L’arrogance, un peu plus de piment, la stupidité ou le besoin de reconnaissance. Le mobile, même elle ne l’avait plus tout à fait… pour ces quelques conneries un brin plus problématiques qu’elle commet parfois. Des conneries qu’il vaut mieux éviter de rajouter à son dossier quand il est clair pour elle que belle-maman choisira d’être l’avocate de l’accusation plutôt que de la défense.
Ou Menya les bonnes idées, Chaosgirl, oui, il serait peut-être temps de le trouver ce nom de super héroïne égarée.


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IV. Masterpiece

❝ 22-30 ans
Minimum 1m70
Classe naturelle - Bon style
Facilite d’apprentissage
Bon sens du relationnel
Séduisant - au moins un charme pour détourner l’attention
Classe moyenne à élever ou bon menteur
Bien foutu (la base)
Au moins un peu de bagou (histoire de savoir répondre à ma belle famille debilos)
De la prestance
Sait se tenir
Options + : beau sourire, minimum syndicale du fashion bon gout, sexy ❞

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❝ On ❞, plutôt elle. Déduction inspirée par la seule présence d’un cerveau avec lequel elle avait eu la chance de naître.
Annonce ou conséquence de son âge assorti d’un comportement que sa belle-mère qualifiait de problématique.
Voilà comment l’histoire classique d’une grande famille riche avait démarré au début de l’été 2022.
Un premier choix pas si mal lui avait été proposé. Un premier choix qui l’avait tenté vers le chemin de la sagesse plutôt que celui de discuter parce qu’être en opposition avec les décisions de sa belle-mère était comme une philosophie de vie pour elle.

La fierté n’en prendrait pas un coup. Le premier prétendant était déjà casé. Le second était inacceptable.
C’était un soir de juillet. Elle entendait les mots. Elle écoutait le plan. Et sa bouche s’était ouverte toute seule sans qu’elle ait le moindre contrôle dessus, sans y avoir réfléchi un peu auparavant


Qui ?
C’était la question posée par sa conscience.


T’es conne ou quoi ?
… folle sans doute. Pour se lancer ainsi sans filet dans le mensonge, sans avoir la moindre idée de ce qu’elle ferait ensuite.
Parce que c’était un fait : même un faux fiancé, malheureusement, ça se présentait.
Revenir sur ses pas, avouer son mensonge et mieux plaider sa cause. ça c’était le plan d’une personne adulte.
Elle, elle avait terminé dans le cabinet qu’elle tenait à éplucher les fiches de ses clients. Être love coach et fréquenter plein de célibataires aurait dû être un avantage. Mais non. Un répertoire téléphonique parcouru plus tard et ça avait été comme une évidence : personne ne correspondait au rôle… ou étaient déjà connus par la famille. Les autres ? Ils n’étaient pas assez fous.
Et puis il y avait eu cette amie qui, sans le savoir, l’avait poussé un peu plus certainement vers la plus grande et catastrophique des mauvaises idées de sa vie.


Le jeudi, le prince ne travaillait pas.
Et évidemment, tout avait commencé un jeudi.

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Caractère

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Séductrice ✿ Petite mais chaotique ✿ Assurée ✿ Boudeuse ✿ Coquette ✿ Immature ✿ Comédienne ✿ Passionnée ✿ C'est qui la patronne ? C'est elle ✿ Le premier mot, le dernier mot, mais c'est ok, tu peux en avoir un ou deux au milieu ✿ Se mêle de tout et tout spécialement de ce qui ne la regarde pas ✿ Provocatrice ✿  Miss Catastrophes version chaos ✿ Want, take, have ✿ Fière ✿ Affectueuse ✿ Intrépide ✿ Superficielle ✿ A l'écoute ✿ Fêtarde ✿ Affectueuse ✿ Emmerdeuse ✿ Joueuse ✿ Bornée ✿ Reconversion possible en personne moins pénible

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Some facts

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»» Son père a eu la mauvaise idée de se remarier alors qu'elle avait 9 ans. La mégère est avocate et a 3 monstres pour enfants (au moins 2). Peu doué en affaires, son père a laissé à sa nouvelle femme le soin de gérer l'entreprise de la mère de Menya. Affront ultime selon cette dernière. Morgan Lovàas a repris de son côté le chemin du planage en devenant entraîneur pour une grande équipe de hoverboard.
»» Elle a dragué son premier mec à 12 ans. Un joueur de son père évidemment. Quand on voit des sportifs bg défiler à la maison et qu'on est leur petite princesse, on développe rapidement des goûts de luxe. Trop jeune selon ce premier amour, la blague d'attendre une dizaine d'année et de revenir... il s'avère qu'à 22 ans, l'homme ne l'intéressait plus vraiment. La bière est l'ennemi de l'homme.
»» Ses deux demi-soeurs sont actrices. Rôles obtenus évidemment grâce aux relations, ou plutôt à la société de sa mère. Menya qualifie leurs jeux de véritables drames pour le métier. Dans des termes plus fleuris, elles sont nulles à chier.
»» Son demi-frère aide sa mère avec les affaires de la société depuis quelques années, lui permettant ainsi d'exercer à nouveau son métier d'avocate quand l'envie lui prend. Dans cette famille, ils ne savent que bosser de toute manière. Quoique... il y a bien un soir où son aîné s'est perdu à boire quelques verres avec elle... bah il est bien moins chiant bourré. Note pour + tard : penser à alcooliser son café le matin.
»» Relation hautement conflictuelle, difficulté dans la compréhension. L'ambiance n'a jamais été rose à la maison. Pauvre petite fille riche, on aurait du mal à la plaindre. Si belle-maman condamne toujours ses actions, elle parvient généralement à obtenir la voix de papa. Source de conflits doublée par deux. Multiplication simple par la jalousie.
»» Bien qu'elle déteste l'idée de laisser l'esprit de son père aux doigts crochus et manipulateurs de la femme qu'il a épousée, elle envisage plus sérieusement depuis quelques temps de se prendre son propre appartement. Interdiction de la mégère, cette fois appuyée par le Roi, manque de maturité et besoin évident de surveillance. Le non se relâche toutefois dernièrement. Bientôt 25 ans, accord étonnant de se fiancer, possibilité de souffler un peu, les arguments sont bons, et Menya ne pratique pas le non.
»» ça fait plus de deux ans désormais qu'elle exerce en tant que love coach. Une pulsion immature de plus selon la moche et ses morveux. Son père a rapidement cédé à lui offrir son cabinet, intérieurement convaincu qu'elle changerait de plan en quelques mois. Et pourtant, Docteur Lovàas exerce toujours.
»» Elle écrit actuellement un livre - 107 conseils pour réussir en amour. Elle prévoit même un tome 2 - réussir son célibat. Livre qu'elle pourrait offrir aux couples qu'elle sépare par manque de compatibilité évidente.
»» Elle a ses fans, sur les réseaux. Elle répond directement aux personnes en mal d'amour et de confiance pendant les live ou à travers des petites vidéos. Sa communauté ❝ les Lovaamours ❞ (pas de jugement merci) est très importante pour elle.
»» Sa belle-famille l'accuse de mener une vie bien superficielle. Ce à quoi elle répond : petit 1 - sans amour, fin de l'humanité. Petit 2 - sans style, douleurs ophtalmologique plus fréquentes pour les gens de goût. Petit 3 - ça commence par un Ja et ça finit par lousie !


»» Non. Négation simple de 3 lettres. Négation visiblement compliquée à comprendre pour les oreilles de Menya. Si certains changent l'eau en vin, Menya sait transformer le non en oui.
»» Ne pas toucher. Mots surlignés, en lettres néons, même en caractères 48, rien n'y fait. Trois mots pour résumer une partie de sa psychologie. Ne pas toucher = je dois toucher dans le Menya Langage. Une astuce simple consisterait à lever simplement l'interdiction pour voir l'envie de la contourner fortement diminuée.
»» Elle a choisit son secrétaire sur le physique. Tragique mais véridique.
»» Capable de jouer les faibles femmes pour séduire, ou faire passer une connerie. Talent fort utile de savoir pleurer sur simple commande.
»» Si vous vous dites qu'elle n'a bu qu'un verre et que c'est ok, méfiez-vous. Tenir l'alcool n'est pas son fort, et son taux d'alcoolémie peut rapidement devenir un problème, un multiplicateur de chaos. Dans le genre à provoquer un mec baraqué dans un bar pour vous laisser ensuite gérer la situation. Bonne chance ♡
»» Imprudente des routes, catastrophe des murs, toujours plusieurs constats dans la boite à gants. Celui qui conduit, c'est celui qui n'est pas Menya #Sam.
»» Show Girl - La porte, c'est pour les faibles - O u i, il lui arrive de faire parfois un portail plutôt que de pousser une poignée alors que ça lui prendrait moins d'énergie.
»» Bouquin peu intéressant ? Menya lira la fin avant de le refermer à jamais. Peut ainsi spoiler cette fin aux âmes égarées qui voudraient le lire. De rien ♡
»» Mateuse compulsive ; Criminelle - oui, il lui arrive parfois de mater les autres depuis sa ❝ portal tv ❞ avec du popcorn. Les scènes les plus intimes comprises, ses préférées.
»» En déroute, les mauvaises fréquentations, besoin de reconnaissance et de piments, addiction qui se développe pour l'illégalité. Il est charmant, la respecte et la voit différemment. ça commence souvent avec un homme, sauf que celui-ci est loin d'être le bon. Et pourtant, elle lui rend service parfois. Cercle ❝ d'amis ❞ dont elle ferait peut-être mieux de se sortir.
»» Bientôt convaincue de pouvoir changer un crapaud en prince