heaven found,, (sick #4)

18/02/2023

heaven found

ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @nebula wicke

j'ai résisté mais bon, aujourd'hui mes yeux sont noirs. chaque fois qu'j'dis ça, c'est pour qu'elle s'rappelle, que sans elle j'irai bien dans mes vieux souvenirs.

•••••••••

apr. 27

Désarmé par les avalanches maquillés par sentiments nouveaux. au détriment des palabres offertes et des aveux clamés ; la carne erre sans âme - avec pour seul compagnons, les échos de sirène. i shouldn't want you. but i do. i do. déchainera ce soir, les multiples incompréhensions qui pesait dans son esprit. à la rencontre maudite ; celle qui ne fait que résonner tel un mauvais récital des douleurs.

apr. 28

aux ravages de cet engrenage ; le parfum damné ne disparaît pas quand les bourgeons s'ouvrent. et si dans les rêves, son visage règne de toute sa splendeur ; c'est au réveil que le timbre lui ne s'essouffle pas. if you leave now, we will not see each other again. de ces peintures sans couleurs ; esclave de ses idées fallacieuse, celui que possède un corbeau fait d'égo. ce soir après ses déboires habituelles, il ira se terrer dans un lit d'infortune. avec comme promesse de résister.

apr. 29

you came around and now, look at me- s'enlacer pour se délaisser ; s'embrasser pour se détester. i came all the way to ketterdam to find you. does it mean nothing to you? se persuader de n'être rien ; ignorer les aveux pour s'improviser maître de ses décisions. miséreux est la bête ; une fois de plus, à vagabonder sans but.

apr. 30

fait taire sa misère, car c'est la même ritournelle ; hante l'esseulé - voudrait disparaître. i won't find myself another vampire. i won't look for anyone else actually. maudit le vaurien pour ses offenses, est à l'usure plus le temps avance - la sait la haut, seule, lui en bas, fou, rongé par les vestiges de la rencontre poison.

may. 01

conquête du terrible quand s'épouse dans les rues les voix des moins fortunés, de ceux laissés de côté - redécouvre rien que pour ce soir, le goût de discorde tant manqué. au côté du jumeau, revit rien qu'un instant. malgré qu'il peut l'entendre, sa nymphe du tourment ; lui conter en répétition les mêmes phonèmes qui s'étaient échappés dans l'automobile. pourtant, le drame a lieu et de sa jeune soeur ; le corbeau veille, de son nid fait à l'hôpital à ses cotés. un air de déjà-vu, qui resserre le battant et fait craquer la mandibule.

may. 04

à l'effroi de l'accident de la soeur qui peine à se réveiller, à cette nouvelle soirée faite de mélodies de carnage. l'ombre s'immisce dans la chambre - là où se trouve place libre, il s'installe sur satin, dans ce lit qui détenait traîtresse, poison et surtout princesse. au rythme du sommeil, il se laisse le luxe d'un repos qu'il avait nommée la première fois, lors de la seconde rencontre - était-ce le fait de se trouver loin de l'abîme ou sa présence qui calmait l'ire qui grondait en son fort. les onyx rivés sur le plafond, il se berce de ses soupirs ; le coeur lui jouait des tours et c'est quand il la sent se réveiller qu'il décide enfin de la regarder. hi. chuchote l'oiseau pour s'annoncer ; à cette divinité réveillée. you came. réplique la belle, peut-être dans un sursaut de surprise ; peut-être pour s'assurer qu'il n'est pas mirage. lui sans valeur, méritait-il de chauffer les coeurs ? didn't you say i was yours already and you were mine ? avoue que l'abandon prédit n'était que mauvaise prémonition ; amants destinés qu'à ne s'écorcher pour mieux se retrouver. come near. invite ; ne faiblit pas cependant, car prince n'est fait que d'offenses et le désir de la posséder ne se tuait jamais. no. refuse l'union, celle qui lui brulait les doigts. not right now, nebula. car quand il se perd dans ses yeux, il s'y noie ; le capitaine des mers d'abysses.

08.05.23 5:14

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ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @raven savage

now that I've trapped you in my arms no need to fight it, no need to hide it, now that I've seen what's in your heart. I'm the only one who knows this side of you and, baby, you know that you can pull out what's inside of me even though it's wrong.

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Le temps est assassin, distend les souvenirs, emporte les certitudes ; you're mine and i'm yours, a-t-elle dit cette nuit-là. peut-être à raison. peut-être à tort. et elle ne sait plus quoi penser, nebula, lorsque les jours s'égrainent sans que raven ne donne de nouvelles, elle s'exhorte à la patience tandis que sa résolution vacille.

la soif de contrôle la pousserait presque à le traquer pour répondre aux maudites interrogations qui la hantent, où est-il ? avec qui ? car peut-être en a-t-il trouvé une autre. il n'a pas soufflé mot en réponse aux derniers qu'elle lui ait adressés, s'est seulement éjecté du véhicule sans se retourner, et des deux débouchées qu'elle lui a dépeintes nebula se demande s'il aura choisi la première. choisi que plus jamais ils ne se voient. l'incertitude la ronge et la recrache dans une mer de dépit, a-t-elle fait erreur en lui laissant les cartes entre les mains ? non, s'oblige-t-elle à conclure fermement. parce qu'il ne cherchait pas à être retenu, ne cherchait pas à être dompté, criait pour sa liberté. passent les heures, passent les jours, et c'est dans le travail qu'elle s'immerge avec déraison, sans compter, pour cesser d'être hantée par le sablier. passent les émeutes, qui la laisseraient froide à regarder du haut de sa tour d'ivoire le monde brûler, si elle ne s'était laissée attendrir ; pour un malfrat issu d'en-bas et pour l'ombre d'un frère égaré. alors les questions se décuplent et s'y ajoutent des vont-ils bien ? qui troublent son sommeil habituellement si paisible. et si elle s'est rapprochée de l'enquêteur de misty pour retrouver le second, elle ne fait aucun geste en direction du premier. lui laisse le choix, la décision, comme promis, si pénible la parole soit-elle à respecter.

car elle s'est tenue à chacun de ses mots — continue de repousser inexorablement toute potentielle proposition d'avenir à deux, quand elle ne décline le sien qu'avec lui. pour un temps ou pour une vie ? elle ne saurait le dire encore : il est trop tôt pour des promesses de toujours et pourtant, quelque chose les lie. et parfois nebula se demande : d'où lui vient cette curieuse certitude, cette sensation d'être née pour le trouver ? d'hérésie à évidence il s'est complu à l'affoler, s'est frayé une place dans son set et aujourd'hui, sans lui, le jeu lui semble d'une sapidité à faire peur.

c'est tard qu'elle rentre et s'endort épuisée chaque soir, à s'interdire désormais de sursauter ou espérer au moindre mouvement de la porte-fenêtre — pour autant elle la laisse ouverte sitôt qu'elle rentre, sans s'attendre à le trouver là au matin. jusqu'à celui-là. you came, elle s'étonne, confirme à haute voix ce qui semble n'être qu'illusion, s'attend presque à le voir s'effacer — mais non. come near. c'est ensommeillé, irréfléchi, elle s'imagine s'éveiller dans ses bras, se bercer de son odeur, pour la première fois. no, réfute-t-il immédiatement. not right now, nebula. — alright then. stay where you are, see if i care, elle réplique sèchement, douceur tout oubliée à son refus — car oh, poupée exige et déteste qu'on lui dise non. son pull, lourd pour la saison, dénonçant un caractère frileux, tombe légèrement sur l'une de ses épaules lorsqu'elle bascule sur le dos, et lui donne une idée. les gestes se font lascifs alors, pour l'appeler sans lui laisser le loisir de la rejoindre à présent que le refus a été formulé et l'interdiction opposée en retour. elle s'étire langoureusement, se cambre en prenant son temps, bascule sur le côté sans le lâcher des yeux, laisse choir la couverture et remonter le tissu sur sa peau nue — car ce haut est tout ce qu'elle porte. s'enorgueillit de la détresse de son regard dur, le faire souffrir apaise l'envie de vengeance née de l'offense et elle cesse son manège pour se redresser, s'assoie contre la tête de lit, cessant de le torturer. how have you been? demande-t-elle avec une politesse toute mesurée, comme si elle n'avait pas déjà goûté à ses bras. i was… worried, i must admit, avoue-t-elle en détaillant sa silhouette couverte de pied en cap, ne laissant percevoir un brin de peau. because of the riots. les actualités lui font presque oublier que le ventre qu'elle a partiellement, brièvement découvert, porte encore les traces du drame qui a failli lui coûter la vie à elle, quelques semaines plus tôt : contrecoup des soins intensifs du healer appelé en secret par sa famille, les dommages externes s'effacent aussi lentement que ceux, internes et plus lourds, se sont résorbés. et peut-être est-il temps qu'elle lui dise ce qui s'est passé — peut-être est-il temps de simplement se parler, de s'apprendre, enfin.

18/02/2023

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ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @nebula wicke

j'ai résisté mais bon, aujourd'hui mes yeux sont noirs. chaque fois qu'j'dis ça, c'est pour qu'elle s'rappelle, que sans elle j'irai bien dans mes vieux souvenirs.

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Aux vies fauchées ; c'est sans accalmie qu'elles laissaient échapper leurs derniers soupirs - dans l'agonie du funeste, le sacrifice des tourmentés. à la nouvelle Iliade de cette nuit ; la fin de cette danse macabre prit fin plus tôt que prévu. l'astre perçant la voûte céleste, lui offrait encore quelques heures de liberté sans pour autant le délivrer de sa prison d'esprit. à celle qui ondulait sous les yeux ; aux prières façonnées de péchés - torture pour bête déjà en ruine. alright then. stay where you are, see if i care. féline s'indigne et monstre regrette ; affamé d'un rien, d'un spectacle qui n'était fait d'aucunes paillettes - juste la démonstration d'un songe interdit, l'esprit s'imagine toujours plus mais, le corps ne s'anime pas au détriment de ses désirs qui eux, étaient à l'article de la mort. meurtrier n'avait pas besoin d'un supplice de plus pour s'imaginer malmener un derme marqué par violence ou douleur ; ces mêmes tâches qui ne l'arrêteraient pas. au désir du salace ; promesse du divin - embrassera plaisir pour faire disparaître cruel.

car il les voit, malgré l'arrogance de la reine. si les autres fois, il lui avait offert l'inconscience de ses actions, le froid des bourgeons, lui, maintenant, sanctionnait la parade préméditée. sans étonnement qu'elle laisse tomber ses faux semblants, au détriment d'un échange plus serein - how have you been? mélodie aux notes faites de douceur pour tympan victime d'horreur. i was… worried, i must admit, because of the riots. geôlier de folie, se surprend à être sujet d'inquiétude pour celle qui s'était damnée à accepter félon des bas-fonds. worried? qu'il répète, sous surprise. because of the riots? riots were the only time in those seven days that i had fun. aux rires qui font échos, ceux des jumeaux aux âmes fait de malice ; retrouver sa jeunesse, délice des fourbes. saloperie de grands enfants, se réjouissant d'un chaos qui n'était pour une fois pas causé par leurs mains. mais ils étaient martyrs les enfants, maudit à chaque fois qu'ils osaient vivre. one of my sister had an accident, she's in a coma - doesn't want to fucking wake up, so i stayed with her every times i ended my... "work" if we have to name it, for three or four days, can't recall. dans l'errance d'un déjà-vu ; celui qui avait privé le bras fait de chair de l'identique - mandibule se sert avant de reprendre une nouvelle fois la parole. she'll come around, she's a savage, we always do. qu'il se promet, jure de sa voix grave au monde qu'ils n'étaient pas des perdants - viscères façonnés par tel guerrier.

pourtant, ce soir, il était éloigné de la meute - délogeait à sa règle, car victime des embuscades de l'esprit, celui qui la portait en admiration - prenait vicieux plaisir à hanter de ses traits corbeau macabre. came here because i was going more insane than ever down there, but at what cost, hm ? aux crocs venin frustration ; car poupée ne pouvait apaiser toutes les douleurs, car l’étrange merveille était coupable d'être l'une des causes. you had me haunted with your pretty face and your silky voice every damned night. s'échouent les aveux de celui qui s'était prêté serment de ne plus jamais la revoir. déteste qu'il soit si faible quand l'esprit réclame l'étrangère dont il ne sait presque rien. mais ne l'avait-elle pas clamée, à l'arrière de cette voiture, il y a sept jours, qu'ils s'appartenaient, qu'il le veuille ou non ? n'était pas là, gage de vérité ? but thanks to that your wild pet came back yet, you get off by taunting me again when i deny you something. se relève, lui tourne le dos alors qu'il s'atèle à ôter ses chaussures qui écumaient lieux de malheurs, avant de reprendre place et d'imiter la nymphe. s'adosser à tête de lit, une guibole allongée et l'autre servant d'accoudoir pour le coude. les bourgeons eux, ne cherchent pas à s'infliger calvaire ; prince déchut fuit princesse à l'halo bancale. car la toucher, ferait remonter à la surface ce qu'il s'empressait de supprimer - braisier n'était qu'à quelques centimètres de se transformer en magma - but i know what will get you to shy away, since my warnings doesn't affect you, maybe your imagination will do the trick and be an ally to them. offenses sur lippes charnues - mirettes ordonnent d'infliger la sentence ; réminiscence avide de celui qui s'infligeait de désirer son contraire. ne minaudera guère ses propos, car les habitudes sont ritournelles - de ses grossièretés balancées ; princesse s'offusquera ou fuira. carcasse se laisse glisser rien qu'un peu plus, car résonne timbre de frustration, car s'imagine déjà effleurer courbes de régal. virgin or not, keep up with your act and you'll end up bended over just so i can have my way with you, nebula. maîtrise factice ; car feint le contrôle quand tout lui hurlait de se laisser couler, happer la belle pour la sacrifier à l'autel des plaisirs - ternir le saint, se repaître du sein et bien plus. and 'm not here to do that, so put something on yourself, please. plaide d'un chuchot aux relents de supplication - car les marques qui parcellent le corps désiré lui hurlent d'y placer ses baisers pour atténuer les afflictions. does it-... onyx se déposent cependant sur les couleurs sombres - hésitant de cette question, craintif de sa propre douceur. does it still hurt ? gronde ces frustrations ; oiseau mauvais augure détourne les iris et se laisse le luxe de faire vagabonder les yeux sur l'opulence.

briser les ivresses avant qu'elles ne deviennent traîtresses ; aux pensées bruyantes, de convoitises mais, surtout de violence. how have you been yourself ? mâle des méfaits ; n'est guère habitué aux petites interactions. the other night- qu'il commence alors que se contracte les phalanges pour former boule de chair ; 'm sorry about- fuck, 'm not, i would be lying. patauge dans les méandres de ses palabres lointaines ; mais sonne creux l'aveux car de douceur, il n'y connaissait que très certainement les gestes. but i should have been, well, you know. vend la mèche en espérant ne pas s'y brûler - s'affirme dans ses confessions, regrette simplement la manière qui reflétait l'âme conquérante et impétueuse de celui qui régnait en maître du terrible.

08.05.23 16:37

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ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @raven savage

now that I've trapped you in my arms no need to fight it, no need to hide it, now that I've seen what's in your heart. I'm the only one who knows this side of you and, baby, you know that you can pull out what's inside of me even though it's wrong.

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Et lorsqu'il clame y avoir pris plaisir elle a un instant de dépit, secoue la tête de droite à gauche l'air de soupirer : incorrigible. ses lèvres se pressent d'insatisfaction, de désaccord, la démange l'envie de palabrer contre les élans de violence ayant défiguré la belle et fière celestia. what good can came out of that? demande-t-elle simplement à la place, dubitative, et c'est une surprise glacée qui l'étreint lorsqu'il évoque sa sœur. elle se redresse au milieu du lit, attentive à présent, car elle mourrait si l'une de ses précieuses sœurs se retrouvait dans un état tel que celui que décrit raven. i'm so sorry… you must be devastated, souffle-t-elle avec horreur. how old is she? are you close- elle a tant de questions, mais il conclut simplement par : she'll come around, she's a savage, we always do. nebula penche la tête de côté, i hope so, souhaite-t-elle en réponse, trop peu familière avec le désastre qu'est la vie des savage pour cerner l'intense véracité de ses mots. if you need a healer- i can find you someone, offre-t-elle en croisant les mains sur son giron, incertaine qu'il accepterait son aide, lui si fier, semble vouloir gérer ses tracas à sa façon. is she at the private clinic? should i send flowers? les bonnes manières qui la titillent, une carte pourrait être de bon goût quoi qu'elle se devrait d'être anonyme ; sisters are the most precious thing, s'explique-t-elle avec une douceur dont il demeure rare de la voir se parer.

came here because i was going more insane than ever down there — i can imagine. et sans doute le prendrait-elle dans ses bras s'il ne lui avait imposé la distance, car à cet instant il semble porter sur ses épaules toute l'affliction du monde. but at what cost, hm ? you had me haunted with your pretty face and your silky voice every damned night. la langue s'égare sur la lippe et l'humidifie lentement, le silence a des accents de satisfaction. i thought about you too, répondrait-elle si elle osait l'interrompre. but thanks to that your wild pet came back yet, you get off by taunting me again when i deny you something. — i don't see what you're talking about, prétend-elle en paroles, mais les traits ne correspondent pas aux mots, ils sont ornés d'un rictus amplement satisfait. c'est qu'elle éprouve un malin plaisir à la dynamique qui se dessine entre eux — quoi de plus incroyable que de voir un tel homme réagir à ses moindres appels ? elle ne le connait encore que trop peu mais il est drapé de son indépendance comme d'une cape et semble porter son nom comme une seconde peau.

ses yeux ne le quittent pas un instant lorsqu'il se redresse pour se défaire de ses chaussures, se tourne à nouveau vers elle cette fois pour la rejoindre. elle se rallonge à demi, retrouvant sa position contre la tête de lit tandis qu'il l'imite, en miroir. jamais elle n'aurait cru l'y trouver à sa place — et pourtant rien de cet instant ne la choque, elle qui habituellement ne supporte l'idée de partager son cocon d'intimité avec personne d'autre que ses sœurs. try me? taquine-t-elle lorsqu'il se met en tête de l'intimider — mais il y parvient assez bien à vrai dire, mieux qu'elle ne le pensait ; ses mots crus la font rougir, l'image vivace s'impose à ses pensées et elle se déteste d'y réagir. you wouldn't, bafouille-t-elle, incrédule. and 'm not there to do that, so put something on yourself, please. le chuchotement lui tire un frisson mais elle s'exécute, hésite un instant entre glisser jusqu'au bas du lit ou bien—

ou bien. une dernière fois.
opte pour traverser le lit et s'en extraire par-dessus lui, s'arrête une main sur le torse de raven au moment de le surplomber de toute sa hauteur, chevelure brune retombant de part et d'autre de son visage. don't move, chuchote-t-elle contre sa joue en y laissant trainer ses lèvres, immobile une brève seconde d'éternité — à s'imaginer le laisser se perdre contre elle, ~~en elle~~, et laisser échapper un soupire tremblant. elle dépose sur sa peau glacée l'ombre d'un baiser avant de l'enjamber, partant en quête d'un bas de pyjama pour abréger ses souffrances.

does it-... does it still hurt ? elle prend une grande inspiration pour tester les eaux, les os, et constate comme ces derniers jours avec soulagement que respirer n'est plus tant une peine. it's getting better. there is nothing to worry about, i assure you. il s'essaye à des excuses chaotiques qui lui tirent l'éclat d'un rire, qu'elle couvre d'une main pour ne pas être entendue hors de la tranquillité de sa chambre — s'assure par ailleurs de fermer la porte à clé avant de retrouver le confort du lit. but i should have been, well, you know. — no, i don't know. try that again? lui arracher un pardon est donc une autre manière de le torturer — l'information est notée avec délice. a thought for a thought, propose-t-elle après l'avoir laissé se dépêtrer avec ses piètres excuses, offrant de mener cet échange de manière équivalente. you told me about your sister, i'll tell about mine. ses yeux s'égarent un instant au plafond et ses lèvres s'étirent en demi-lune empreinte de tendresse. misty. she's always been a hurricane. because of her personality as much as her power. le sourire s'efface au profit d'une mine tracassée. i thought she'd never hide anything from me but she did. something big. long story short, turns out she'd been capturing strygas for years, looking for our lost brother. i found out and went mad, i was so worried, feared all the ways it could turn nasty- and it did. the thing freed itself and attacked us. but our powers, continue-t-elle en faisant léviter un objet jusqu'à lui, flotter dans les airs devant son visage, are not made for fighting. it's just decorum. elle libère l'objet de son emprise, laissant à raven le soin de le rattraper au vol. it got ugly. the stryga threw itself at me, misty panicked and broke the dome over us to stop it and ta-dah, récite-t-elle sans passion, se forçant au calme au souvenir douloureux de la chute, du monstre sur elle, des morceaux de verre fichés dans la peau. i've been pretty fine these days, considering… et les cauchemars de l'attaque sont un bien maigre prix à payer, là où elle aurait pu perdre la vie ; les soins du healer, sur son corps comme sur son âme, ont assurément amoindri les conséquences du drame.

18/02/2023

heaven found

ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @nebula wicke

j'ai résisté mais bon, aujourd'hui mes yeux sont noirs. chaque fois qu'j'dis ça, c'est pour qu'elle s'rappelle, que sans elle j'irai bien dans mes vieux souvenirs.

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Dans l'antre de la belle, parfum apaise la bête - celle aux élans macabres et aux dessins funestes. what good can come out of that? demande celle qui ne cautionne pas de part son faciès aux traits tirés de manière désagréable - rictus aux babines lorsque sait que la fierté est tiquée de ces attaques à l'encontre de la tendre et douce patrie. au sourire satisfait qui épouse les charnues ; les yeux s'illuminent d'un moment joyeux - celui qui était né du chaos. us savage bloom in carnage, de ces enfants aux histoires sordides ; de ces obstacles qu'ils avaient gravés - tous, se révélaient de la plus pure des façons dans le creux de la discorde, éclosent alors les gamins terribles de ces parents martyrs, eux, les héritiers des affreux. things were free that night, who would have though that celestia was so generous with her neighbourhoods. aux bras remplis de vêtements en tout genre, aux poches qui n'avaient plus aucune place pour accueillir un crescent de plus - ces sourires envolés de ces deux frères malicieux, cela avant que le terrible les rattrape.

car gît sur lit d'hôpital, la soeur à la flamme hargneuse ; if you need a healer- i can find you someone, arque sourcil, confus de sa proposition. is she at the private clinic? should i send flowers? à la compassion soudaine, il peut sentir le coeur manquer un temps - pourtant amusé du décalage qui les opposait. de privé, rien ne l'était à zaun à part peut-être les crimes et encore. du macabre les paupières se fermaient ; du terrible, les oreilles s'oubliaient. personne n'était témoin de rien, quand la nuit était à son apogée et que les vauriens écumaient les ruelles pour plus de sordide. and what do we do with that healer, hm? do we bring him in the pit of zaun with a promess of a thank you and a sweet smile to pay him his glorious service? taquine le corbeau dans une palabre qui se veut bon enfant ; à l'air léger comme débarrassé de ses tourments. private clinic ? nebula, we're poor. constat qu'il pensait ; su de sa belle aux idées singulière. why would you send my sister flowers- intervient la question sans vraiment se finir, car sait que la plus proche deviendra némésis. if she hear of you, she'll go berserk on us and would make my nights a living nightmare. des enfants sauvages, ils étaient tous autant qu'ils sont, possessifs maladifs - tous obnubilé par la peur de la perte. night could pass as my daughter if we weren't so close in age. mais surtout, elle, cette princesse de zaun qui avait toujours lorgnée dans les sillons de l'oiseau ; poupée avait calquée l'acrimonie du déchut - aux crocs de l'humaine, le même poison vampire. pour plus de terrible, ou plus de plaisir.

à la joute verbale, seigneur du terrible se sait déjà en territoire conquit ; qu'il est fier du salace énoncé, car la réaction se veut délicieuse. gênée est la nymphe qui n'a de cesse vouloir se heurter aux avances, ou dirais-je même, aux avertissements du chenapan à l'esprit fait d'opprobres. pucelle à la langue bien pendue, se voit rougir quand la bête se plait à prononcer ses nombreux blasphèmes tant fantasmés. mais la malicieuse n'entend rien et au mouvement soudain ; c'est le souffle coupé qui le happe quand le contact se fait. à la main déposé sur le corps, c'est bien les bourgeons qui s'indignent de manière secrète. à l'ivresse d'un songe qui ne dure que quelques secondes mais, qui a pour effet d'ébranler rien qu'un peu plus l'esseulé - car la divine ne lui laisse aucun repos alors même qu'il la supplie de l'épargner. don't move. qu'elle susurre avant de damner l'épiderme de sa marque ; il pouvait juré, qu'elle aurait pu très bien y planter ses dents à l'encontre de son derme, qu'il en aurait été reconnaissant. that's low of you. qu'il laisse échapper de frustration ; car de sa patience, il se demandait bien quand est-ce que cette dernière allait se briser sous les nombreuses embuscades de celle qui s'adonnait dans un plaisir mesquin à rendre esclave le monarque des brigands. fuck you very much for that. crache d'agacement ; car princesse ne doit pas se douter que tout n'est qu'amphore de délice pour la bête, de son audace ou de son courage, la bête perdait de sa splendeur tant était qu'il n'arriverait jamais vraiment à faire abattre sa sentence.

à la sensation fantôme qui embrase le derme ; la volonté se veut de fer quand le battant lui, ne perd pas de sa vitesse. it's getting better. there is nothing to worry about, i assure you. aux aveux de la dame ; qui rassurent le larbin - l'univers se veut moins horrible lorsqu'il la sait moins sujette aux douleurs. ne pipe mot, lippes scellés de laisser sa curiosité quémander une nouvelle fois des explications. c'est quand un semblant d'excuse se découvre que la maligne s'applique à malmener ne serait-ce qu'un peu plus, l'oiseau aux plumes ébouriffées de gêne. no, i don't know. try that again? porte au plafond les onyx, souffle de toute son indignation. nebula. commence l'inhabitué des remords. you should know i have a hard times with having regrets. fait parti de ceux qui ne s'attardait que très rarement sur la bienséance ; aux règles des furibonds et surtout de ces vermines sans loi. 'm the type to not give a flying fuck about things i do, it's really fortunate that i feel like i should have been more... kinder with my choice of words? i don't fucking know to be honest. jacte dans un seul souffle ; pour celle qui feignait l'ignorance. so please, don't drag my failed attempt even more and just accept whatever 'm trying to repent. s'indigne à quel point - il pouvait se montrer superbe dans tellement de catégories mais, que cette dernière, lui manquait terriblement.

c'est au conte historique qu'elle se laisse alors voyager ; lui contant son histoire et révélant elle aussi certains secrets. aux raisons de ses blessures. la poigne se délivre pour faire virevolter en l'air ; l'objet déposé dans les mains il y a peu alors que se termine sans vraiment le faire, la mésaventure subie. -considering you could have died. atteste ce qu'elle se gardait de laisser transparaître ; à l'horreur d'y perdre sa vie pour une rencontre avec bête hostile. rattrape une dernière fois le jouet de fortune pour le déposer à sa gauche. pretty fine you say ? qu'il répète, à l'insolence énoncé, revanche à prendre sur l'échange encore chauffé. celui qui ferait fuir les peurs mais raviverait l'appétence. guess you can finaly come on my lap and not flee from it like you did not so long ago then. empoigne ce corps pour le porter jusqu'à lui, se voit être la cavalière de celui qui pourtant s'était refusé il y a de ça peu.

laisse pénétrer l'idole de ses désirs dans l'autel de ses soupirs, à la poigne qui délivre pour finalement se déposer sur le bout de tissu qui couvraient les cuisses. attire sa belle plus proche de lui, pour que l'amazone daigne ne serait-ce qu'une seconde ; garder sa désinvolture comme arme malhonnête. c'est lorsque le crâne épouse la tête de lit, que les onyx s'animent d'une flamme d'espièglerie quand les babines elles, s'étirent en rictus qui prenait les tripes d'une satisfaction bien encrée. i like to face people when i talk, isn't it wonderful how polite am i, hm? à la poigne saisissant le terme caché sous tissu ; il ne lui laisse aucun répit - so. annonce, alors que s'indigne dans le fond de l'esprit ; nombreux sujets proscrits. those ugly little bruises that i see on your pretty body are there because your sister happen to also like, as much as you, wild things. dévore porcelaine des yeux et poupée de l'esprit. 'm not even surprised. résonne presque comme jugement quand se trouve dans son nid, bête implacable - a stryga, a lost brother, and powers that can't do really much. atteste du tragique qu'était fait la princesse de l'autre royaume. why didn't they train you ? questionne dans un premier temps, l'opportun qui s'efforçait de comprendre la mascarade quand il était certain, que la douce pouvait être tout aussi dangereuse que lui. your power can be deadly, ' would have saved you from a lot of trouble. de cette agression qui les avait fait entreprendre un chemin sinueux et fait d'embûches et de contradictions. a waste, this is what it is. sur les lèvres, amertume face au gâchis que les plus affluents avaient mit sous veilleuse ; don't you want to get stronger? toujours cette quête de pouvoir, reflet de son âme - celui du gamin, qui s'indignait d'être victime. devenir le danger pour mieux survivre. i could be your training dummy. offre bâton pour se faire battre, sachant pertinemment que la souffrance ne serait que moindre mais, se dresse furibond pour se rapprocher de sa divine, répond à l'appel du vide pour s'enivrer de celle aux traits divins. au soupir qui laisse le temps s'éterniser, les lèvres se font face en même temps que les bourgeons s'attrapent - sans jamais s'unir pour un supplice aussi grandiose que les astres retenaient, eux aussi, leurs souffles. 'm pretty tough and i also like it rough. séduit et use des mêmes armes dont il était victime ; au rictus pimpant les lèvres, canines se montrent dans une satisfaction taquine. now, the question is, will you too? alors que gamin scrute, guette la moindre réaction qui finirait par bercer les chimères tempétueuses.

gronde alors dans bas ventre, éros et caprice d'attirance. careful nebula, you said i woudn't but believe me, i gladly would. confesse l'outrage une nouvelle fois et espère que cette fois-ci, reine lui portera une écoute attentive à ce qu'il refusait de prendre sous l'ivresse d'une frénésie bien distincte. so take it as my last warning alright? crapule s'extirpe enfin, alors que tout le long de sa colonne ; le frisson ne se dissipe pas. after that, game's on for me only. car le doute vacille et des confessions, il se souvient qu'elle était tout aussi apte que lui à se laisser tenter au lubrique de la luxure. now, now, ask me anything, 'll deliver. accorde corbeau alors que danse caresses sur derme couvert. but not on my work, you already took a glimpse of it and i think that's quite enough. condition ; échapper au terrible et à ce que l'horreur pouvait si facilement briser. l'idylle bien trop importante pour se faire entacher par les déboires qui lui couterait tant et plus. can't have you flee when you're finally mine, right? sienne. il pouvait, enfin, oser l'articuler.

11.05.23 19:59

heaven found

ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @raven savage

now that I've trapped you in my arms no need to fight it, no need to hide it, now that I've seen what's in your heart. I'm the only one who knows this side of you and, baby, you know that you can pull out what's inside of me even though it's wrong.

•••••••••

«do we bring him in the pit of zaun with a promess of a thank you and a sweet smile to pay him his glorious service? (…) private clinic ? nebula, we're poor. elle pince les lèvres, nebula — n'avait pas envisagé qu'ils puissent être démunis au point de n'avoir accès à des soins décents, pas envisagé qu'ils puissent en être à ne pouvoir se payer les services d'un guérisseur. ne connait pas ce genre de vie. alors elle n'offre pas de payer les frais suggérés, pas alors que sa propre fierté l'empêcherait d'accepter une telle offre si les rôles étaient inversés… mais : you could borrow the money from me and give it back later. i know you would pay me back—i trust your pride. don't say anything. just know that the offer is on the table, if needed. that you have a way out. parce qu'on parle d'une sœur, et que si jamais elle ne prendrait la responsabilité des finances de raven, nebula ne peut rester indifférente au poids d'une vie.

if she hear of you, she'll go berserk on us and would make my nights a living nightmare, reprend raven, lorsqu'elle évoque ce qu'auraient voulu les convenances. wants her big brother all for herself? the jealous type then. how surprising… et le constat est ouvertement sarcastique et amusé — the jealous type, à l'image de son frère. car nebula n'oublie pas la hargne avec laquelle il s'est interposé en l'apercevant avec un autre, si indésirable fut la présence en question. night could pass as my daughter if we weren't so close in age. et c'est étrange, de découvrir cette facette de lui. comme découvrir la face cachée de la lune — les pièces manquantes d'un puzzle ; le tableau se dessine peu à peu, des ombres aux couleurs. that's low of you, laisse-t-il échapper lorsque leurs silhouettes s'épousent, le temps d'un instant, et elle se laisse aller à un bref sourire, dans lequel mordent ses incisives, tentative de le contenir. fuck you very much for that? — you're welcome. also, language, qu'elle réplique, la malicieuse, tandis qu'elle s'éclipse sous son regard affamé.

délice particulier, qu'elle découvre, que celui de le torturer de toutes les manières possibles, y compris en lui soutirant des excuses plus élaborées. ou un semblant de, car l'exercice s'avère immensément difficile, le fait buter comme à l'escalade d'un obstacle infranchissable. please, don't drag my failed attempt even more and just accept whatever 'm trying to repent. — alright, alright, accalmie concédée à celui dont le tempérament frémit sous la taquinerie. you're just so fun to mess with, i couldn't resist, avoue-t-elle sans remord face à son indignation.

sitôt vêtue, retrouve sa place aux côtés de raven, pour s'égarer en récit du plus périlleux instant de son existence. considering you could have died, vient la conclusion à ses mots, celle qu'elle n'a su formuler elle-même. déglutit péniblement mais refuse de détourner les yeux, nebula qui confronte les choses, même les plus terribles ; qui se refuse à les fuir, si pénibles et traumatiques puissent-elles être. l'ambiance est plombée par la confession, lourde des implications du drame qui aurait pu signer la fin de tout, d'elle, d'eux, sans qu'il n'en sache rien sur le moment. we could die anytime, réalise-t-elle, corrige : well, especially you, car d'eux deux il mène la vie la plus impétueuse, à épouser le danger à la nuit tombée. or something bad could happen. and the other would know nothing about it. c'est le fardeau du secret : une barrière imperméable entre leurs deux mondes, leurs deux vies. un mur qu'ils gravissent à l'insu de ceux qui les connaissent, conscients que le choc d'origines et de culture serait inacceptable aux yeux de leurs pairs, d'un côté comme de l'autre. et il y a quelque chose de déplaisant à prendre conscience qu'elle ne saurait le contacter à distance, parce que ce qu'ils vivent n'existe que dans cette bulle. dans ces secondes volées, parenthèses dans deux quotidiens que tout oppose. guess you can finally come on my lap and not flee from it like you did not so long ago then, offre-t-il, détournant le dramatique de l'instant, l'attire sur lui comme si lendemains et inquiétudes n'avaient aucunement leur place entre eux deux. elle se laisse aller à rire à nouveau, s'émerveille presque d'en ressentir ne serait-ce que l'envie, elle habituellement si grave. i thought you didn't want me too, rappelle-t-elle, lui retournant ses mots, ses réticences. le chevauche pourtant sans résistance à sa poigne audacieuse, et ses mains trouvent son cou là où celles de raven s'égarent sur ses cuisses. il a le don de lui apporter cette légèreté, cette illusion d'escapade dans le confort même de sa chambre ; il a le don de la faire se sentir autre, loin des obligations et des ambitions dévorantes qui la dépeignent à merveille. il est cette touche d'indomptable et d'imprévisible dont elle ne pensait pas avoir besoin un jour, elle qui ne jure que par l'ordre et les règles ; il est l'ombre qui se glisse par sa fenêtre et qui bouleverse ses principes, et son goût intrépide a quelque chose d'addictif. a stryga, a lost brother, and powers that can't do really much. why didn't they train you ? — i've been trained, rétorque-t-elle, fierté piquée. relève le menton, reine d'orgueil. tempère toutefois : but not to protect or to be lethal. in case you didn't see, danger doesn't lurk in celestia like it does in the lower town. my power is useful but not meant for fights. — your power can be deadly, contre-t-il fermement, et elle fronce les sourcils, prête à le contredire. ' would have saved you from a lot of trouble. et à ce constat elle ne peut opposer de contre-argument légitime, car oui. peut-être aurait-elle pu développer un meilleur instinct, de meilleurs réflexes. peut-être aurait-elle pu contrer d'elle-même l'homme qui l'a menacée cette nuit-là, plutôt que n'être que proie face à sa poigne brutale. peut-être aurait-elle pu contrer l'opportun la nuit du bal et s'opposer à la stryge avec plus d'adresse, le pas sûr plutôt qu'hésitant, le geste vif plutôt que gracieux, les attaques dirigées plutôt qu'expérimentales. peut-être aurait-elle pu se défendre et mieux protéger sa petite sœur ; si tant est qu'elle ait un jour envisagé avoir à se défendre dans l'avenir. maybe, concède-t-elle avec réticence, détestant avoir tort. don't you want to get stronger? demande-t-il alors, et le scrute sans réellement le voir, plongée dans la réflexion qu'il impose. don't you want to get stronger? la réponse est un feu incandescent qui s'anime au creux de son ventre à chaque fois qu'est titillée son ambition. la réponse est une évidence propre à son caractère, à son tempérament indépendant : bien sûr qu'elle le veut. how? retourne-t-elle, pragmatique, car comment s'entraîner à ce qu'on ne connait pas ? comment apprendre à se protéger de risques que l'on n'imagine même pas ? i could be your training dummy. le regard s'illumine, les flammes en prennent possessions. would you? questionnement récurrent, celui qui revient toutes les fois où il la surprend : souvent.

i would like to, murmure-t-elle comme un aveu, un secret entre eux. car ses parents ne comprendraient pas ce qu'ils verraient comme une lubie : l'affubleraient d'un garde-du-corps tout au plus, mais n'envisageraient jamais qu'elle puisse se battre. or la perspective de ne dépendre de quiconque a tout d'alléchant. ses jambes se serrent autour de lui, dans un élan d'affection et de désir qui la surprend elle-même, battements de cœur lourds et affolés. careful nebula, you said i woudn't but believe me, i gladly would. et aux mise en garde qu'il énonce elle ferme les yeux, force une profonde inspiration pour reprendre de la distance. i'll be good, promet-elle, desserrant sur ses épaules sa prise pressante. i promise. — now, now, reprend-il, détournant le sujet pour offrir une échappatoire à leurs élans irrépressibles, ask me anything, 'll deliver. but not on my work, you already took a glimpse of it and i think that's quite enough. — are you afraid it would scare me off? — can't have you flee when you're finally mine, right? elle met un temps à acquiescer mais le fait, reconnaissant que trop d'informations risqueraient de taquiner des cordes sensibles ; car si son cœur est froid il n'en est pas moins pieux, pétri de principes que ne semble partager raven, et qui jetteraient entre eux l'opprobre de mésententes potentiellement fatales. tell me about your siblings, propose-t-elle, curieuse de découvrir son entourage et les liens qui les unissent. i know you have a twin. and now, a little sister. is that all? curieuse de découvrir son monde et ce qui l'ancre à cette terre.

18/02/2023

heaven found

ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @"nebula wicke"

j'ai résisté mais bon, aujourd'hui mes yeux sont noirs. chaque fois qu'j'dis ça, c'est pour qu'elle s'rappelle, que sans elle j'irai bien dans mes vieux souvenirs.

•••••••••

Aux horreurs du trépas ; le silence est gage de l'histoire évitée et de celles rencontrées. we could die anytime, well, especially you, or something bad could happen. and the other would know nothing about it. sous le tissu noir ; encre noir agit comme stèle mortuaire. peut sentir, ces cafards grondés sous sa peau. pauvre idiot humain, savait déjà que sa destination était la gare des macchabés, le cimetière des pleurés et des regrettés. one time was enough for me. qu'il répond, alors que s'étirent les babines pour former un sourire presque taquin. i may win against death now though, but you? hausse les épaules alors que l'animosité est mesquine, sujette de taquineries pour apaiser l'ambiance qui devenait un peu morose. 'll give you my number, just in case you need another saving, princess. déverrouille alors les possibles, ceux qui attendaient de se révéler à chaque rencontre prise par rendez-vous dans le carnet de la mascarade.

et de l'élan soudain, le rire éclate et réchauffe le battant. comme lors de cette dernière fois, quand la belle s'était laissée aller à faire résonner sa mélodie de joie. i thought you didn't want me too. glousse alors à son tour. faits de contradiction mais surtout, d'ivresse - only fools and dead men don't change their minds. qu'il commence de sa fausse bienséance. fools won't. dead men can't. how fortunate that 'm a vampire. et aux échanges partagés, les regards s'explorent car les deux astres se découvrent ; orbitent l'un autour de l'autre.

au pouvoir usé comme décoration, la proposition de l'entraîner : would you? il la voit, cette flamme, certes frilleuse mais qui ne demandait qu'à explorer les possibilités. would not be asking if i didn't. de l'offre, s'offrira à lui tant et plus - occuper le temps à ses côtés, plus qu'avant, plus que maintenant. sait déjà qu'il sera l'enfant taquin, à pousser dans les retranchements la belle sans pour autant négliger ces entraînements. i would like to. répond sa nymphe alors qu'elle se rapproche dangereusement mais sait parfaitement que cette fois-ci, c'est le signe d'une union de tendresse ; qui feront naître éros sans vraiment le vouloir. alors l'avertissement se dira être le dernier. i'll be good, i promise. à la pensée de ces réactions, résonne dans l'esprit : fucking cute. c'est presque à contre coeur qu'il la laisse se détacher de lui.

délivrer les langues, celles détentrices d'histoires en tout genre. tell me about your siblings. i know you have a twin. and now, a little sister. is that all? il hause les sourcils, au sourire qui se dessine ; annonce cataclysmes des nombreuses aventures d'une tribu. no, first born's a she, name's dawn, then came karma and me, night and the last one of the litter is dusk. héritiers de rien, même pas de cet artéfact familial. my father, kassian, was a mercenary hired to protect my mother, she's a mage, came from celestia too. conte les débuts du terrible. but shit went south really fast but i'll not go in detail on that so fast forward - laisse échapper un soupirs las aussi chargé d'ennuis qu'il se pouvait. mom is, even alive, dead to me. à cette tragédie vécut, génitrice rayée du battant. you saw karma's arm right? she did that. au souvenir désagréable, peut sentir son ire grapiller ses entrailles. i know it's not totaly her fault. alors, corbeau attrape avec douceur la main de sa sublime. alas, my twin is me and i'm him. aux bourgeons qui s'arrêtent sur les phalanges frêles, c'est les siennes qui se mettent à caresser l'épiderme. i can cope with loosing a parent, even both but him? donne l'impression de revivre l'effroi qui avait eu lieu, cette dernière année. things would get so ugly it wouldn't even be funny. laisse le timbre moqueur voyager de ses lippes, au gloussement qui suit ce sont les mains qui s'unissent et le regard qui se relève pour quitter le morbide et retrouver le parfait. but anyway- she's gone mad and flyed straight into an insane asylum. au chaud-froid des confidences - gage des dysfonctionnements notables et très bancal du gamin du bas-fond. like i told you, my father is in jail and i visit him once per month. c'est à ce moment-là qu'il se rend compte, qu'il n'avait jamais vraiment osé conter ses propres légendes ; well it was hard at first concède que lui aussi, n'était pas totalement un automate ; du moins. but now? i don't even care, my family see that as frightening. sans voir son dysfonctionnement ; cette capacité à se détacher des horreurs - so don't offer me your sympathy, i don't need it. à l'ordre qui pouvait s'imaginer clinquant, c'est justement tout le contraire qui se passe. car corbeau apporte la main volée, celle qu'il caressait, jusqu'à ses lippes pour y déposer un baiser. 'm here with you, what's more to need, hm?

c'est alors que s'anime le golem, délaissant la palme volée pour attraper de ses deux mains le bout de tissu qui couvrait l'art caché. here, let me show you something. se débarrasse alors du vêtement d'un coup de main pour le balancer plus loin. i know you find them awful but they got stories about me, alors que se libère encre noir dans l'obscurité ; so go ahead, take your guess with 'em. reprend ses aises ; laisse le dos de son crâne épouser la tête de lit, redéposant ses mains sur les cuisses de sa nymphe.

12.05.23 12:09

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ft. @raven savage

now that I've trapped you in my arms no need to fight it, no need to hide it, now that I've seen what's in your heart. I'm the only one who knows this side of you and, baby, you know that you can pull out what's inside of me even though it's wrong.

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Le minois bascule de côté dans l'attente exquise d'informations à croquer, elle qui se targue de se moquer d'autrui se surprend à se sentir diablement curieuse de ses secrets, de ses mystères, de tout ce qui le définit. se dessine dans son imaginaire la fratrie relativement nombreuse, de la première à la dernière, de l'aube au crépuscule. the names are kind of poetic, remarque-t-elle, appréciant le détail des pseudonymes pourvus de sens. mais le pire est à venir et le conte familial se fait cauchemar. you saw karma's arm right? she did that. elle se souvient de reine l'informant de la convalescence de son gifted, du désintérêt éprouvé ; se souvient du presque-dégoût éprouvé à la vue du métal venu remplacer la chair, abomination zaunarde — les celestiens se targuent, en cas de telles pertes, de remplacer les membres perdus par des imitations d'une rigoureuse précision, mais lui a choisi l'utile à l'esthétique, pour des raisons qui échappent à nebula. imaginer que le drame ait pu être causé par sa mère, néanmoins, y jette une lueur nouvelle, celle d'une tragédie. how- tant de questions qu'elle retient de justesse, par égard, se contente alors de : that's awful. issue d'une famille qu'elle pensait encore parfaite jusqu'à peu, elle ne peut imaginer au premier abord qu'un parent puisse ainsi mutiler sa progéniture.

mais alors se glissent dans ses pensées les doutes qui la taraudent depuis quelques semaines : les mystères pesant sur sa propre famille, sa propre fratrie, la folle impression que shade puisse encore être en vie. ça la dérange profondément, remue en elle quelque chose de terrible, une prise de conscience : les parents peuvent bel et bien s'avérer cruels. la leur, en l'occurrence, s'avère malade — et le père absent du tableau, par la force des choses. what did he do? demande-t-elle avec la naïveté de celleux qui croient en le système, qui croient en la justice. avec l'assurance qu'action entraîne conséquence, que conséquences impliquent crime ; et un brin de jugement pour cet homme qu'elle imagine avoir failli à ses responsabilités. don't offer me your sympathy, i don't need it, prévient raven, avant qu'elle n'ait pu même évoquer une once de compassion. looks like you live in the moment and don't let the past hold you back, répond-elle simplement alors, you're such a force. 'm here with you, what's more to need, hm? happiness, money, more than a broken family, pourrait-elle répondre, mais elle se tait, le laisse guider ses mains à sa lippe et y apposer un baiser qui la fait frissonner.

inattendu, l'instant où il se dévêt pour révéler au grand complet les tatouages qui lui maculent le corps. et le cœur qui s'affole immédiatement en retour, le réflexe de se couvrir les yeux de ses paumes. by the dragons, what are you doing! épiderme interdit dévoilé devant elle, et pudeur qui l'emporte. secoue la tête en négation, prude et désemparée. i can't look. se laisse doucement convaincre pourtant, jusqu'à consentir à écarter les phalanges, le découvrir entre ses doigts. know you find them awful but they got stories about me. hm, son étouffé portant un amalgame d'hésitation et d'embarras, tandis que raven explicite ses intentions. so go ahead, take your guess with them. les mains s'écartent lentement, dévoilant des joues embrasées et un regard encore fuyant. qui s'accroche puis s'égare, s'accroche puis s'égare, jusqu'à ce qu'elle chute sur sa main et décide de s'y fixer. la saisit des siennes, doigts se mêlant à ceux de raven tandis qu'elle les détaille pour la première fois. i don't know about the spider, commence-t-elle, remontant progressivement. the 'k'- i guess it's for your twin. 21 ? incertitude, la devinette lui échappe. reprend sa course une fois son questionnement contenté : danamebi the moon goddess, nom déchiffré avec le plus profond respect et une surprise nullement masquée : you're a believer. elle qui l'imaginait ne croire en rien — et le cœur se réchauffe tandis qu'elle caresse le nom sacré du bout du pouce, me too, indique-t-elle avec révérence. the raven is, well, you, obviously. the moon is for your… condition, évocation altérée de sa nature de vampire. sadness… i don't like this one, décide-t-elle. comprenant néanmoins, au poids de son histoire. i guess the man is also you. are the lines purely for aesthetic or…? ose remonter les yeux sur les muscles de son bras et se fait honteusement timide. can i touch? polie. even if i told you not to, you would, so... i would not! se défend-elle avec véhémence. renifle hautaine : who do you take me for? car si elle ne prend généralement pas les refus comme une réponse, jamais elle n'oserait l'effleurer ainsi sans son accord. pas alors que leur proximité se fait brûlante et qu'elle prétend ignorer, démunie, son désir entre ses cuisses, explicite et tentant — trop pétrie d'appréhension et de principes pour l'approcher, pourtant. you wear death as a sleeve. because of what you do… or because of what happened to you? et la main vagabonde jusqu'à l'emplacement de son cœur, dont les pulsations tambourinent délicatement sous la peau. what happened to you? et par là elle entend, bien sûr : how did you become a vampire?

18/02/2023

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ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @"nebula wicke"

j'ai résisté mais bon, aujourd'hui mes yeux sont noirs. chaque fois qu'j'dis ça, c'est pour qu'elle s'rappelle, que sans elle j'irai bien dans mes vieux souvenirs.

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C'est de l'art des prénoms désignant les minois de la tribut qu'elle se laisse aller au compliment ; car il était vrai, les savage étaient pourvu d'originalité et comme un adage, les prénoms étaient bien trop descriptif de ce qu'ils étaient devenu. moulés par le destin déjà tracé, craché sur route de malchance avec comme seul compagnon, poésie du dantesque.

quand la figure paternel se fait écrouer ; l'univers s'assombrit - ô il se souvient encore, de cette jeunesse fauchée, arrachée. dans la glotte réside l'amertume, rancœur palpable quand la question est prononcée par la nymphe du plaisir. what did he do? raven voudrait plaider sa cause, qu'il n'était que victime d'amour, victime des truands et des puissants, que des guerriers vivants - il était son idole, sa légende. cet homme qui s'était battu jusqu'à la fin, autant qu'il le pouvait. mais, son épée était rouillée et au fil des années, la hargne s'était tuée, à ce spartiate tombé raven, avait reprit ce poids et honorait l'héritage. that's a story for another time. produit meurtrier qui s'était instruit des erreurs du plus vieux, de là où est né ce dédain face aux bonnes morales ; la descendance s'était fait pire que l'originel pour s'éviter les regrets ainsi que la même déroute. s'était juré qu'il n'irait pas croupir en prison comme l'ancien, qu'il mourrait sur le champ de bataille après avoir épuisé toutes ses chances. lorsque le brutal et le cinglant ne seront plus les solutions évidentes.

c'est à l'exploration rendue possible que le contact nait ; au toucher contre peau glacée que la chaleur s'infuse - i don't know about the spider, the 'k'- i guess it's for your twin. 21 ? ancre sur le derme, le sens des événements, de ces actions qu'il commettait en répétition ; lui ce cerbère de famille. spiders are what you fear generally, but they trap and kill what you don't want to see enter your house, so protection - but it also represent manipulation and cruelty by the way they eat their prey. car s'identifie par l'horreur ; en hommage macabre à ses iris qui n'éprouvaient aucune lueur quand faucheuse suivait dans ses sillons. 21 is the name tag of my father in jail ; 21 savage. des portraits métaphoriques de ceux qu'il chérissait, dans chaque preuves fait d'encre noir, réside l'ombre de ces instants vécut ou d'un membre de la meute, encore présent ou parti trop tôt.

sous l'oeil affuté de la divine, celle qui s'illumine de découvrir la foi ; you're a believer, me too. divine contradiction car de ses courses terrifiques ; les principes s'étaient tués sans même avoir eu la chance de naître. i believe, it's true but- réside dans la crevasse de l'abandon, tous ces préceptes qu'il n'a jamais suivi ne serait-ce qu'un instant. i don't pray, i don't preach and certainly don't follow the holy laws. lui fait d'opprobres en tout genre, ne rejoindrait pas les saints une fois qu'il sera réclamé par karma, car l'horreur n'était jamais récompensé, qu'importe si elle était justifiée - car sonne le rappel des crimes impardonnables commit. ceux qui hurlaient à en perdre raison, ceux qu'il n'entendait plus. so don't expect to see me after we're both gone. aux ailes de sa douce colombe qui se déploieront pour le jardin du bien ; les siennes sombreront pour ne jamais trouver repos. the raven is, well, you, obviously. the moon is for your… condition hoche de la tête avant de prendre la parole ; my twin has the same, since he is a seer. same moon, different meaning so again, we're the same. commémore les différences qui les éloignaient tout en étant similaire. sadness… i don't like this one. glousse alors fripon, amusé de la réaction de la belle qui s'attelait à découvrir les nombreuses arabesques. wanted karma to have hapiness tatted on him, 'cause he's mine and also to mimic me but in the end he didn't, seems he's not that happy since he loves to whine for every little thing. my twin is- well, a control freak so i guess it's only normal to be depressed when nothing goes your way. jacte l'opportun et sait très bien que le miroir s'offusquerait de l'entendre parler de lui de la sorte mais, qu'importe - car de ses défauts, raven savait qu'amour n'était que la raison qui cachait ses dysfonctionnements. i guess the man is also you. are the lines purely for aesthetic or…? interroge l'aventurière. the man is me but also evral - he let himself fall into the void. lines are there to make the path to the moon, leaving the sun and all of that to reside in darkness. s'achève l'explication ; révérence à ce destin qu'il trouvait particulièrement similaire au sien.

quand se froisse la gracieuse de sa parole espiègle ; who do you take me for? juge alors celle dernière. a hypocrite, maybe? s'enquiert l'oiseau de son verdict, car dans le calme de la pièce, réside dans les esprits, les souvenirs de l'interaction des pêcheurs. you wear death as a sleeve. because of what you do… or because of what happened to you? au carnage interne et celui qu'il offrait aux autres ; une simple réponse. both. enfant du méfait ; à subir ou à accomplir. what happened to you? lui, conteur à la bouche cousue - n'éprouve pas le besoin d'étancher cette curiosité qu'il jugeait morbide car de ces rencontres, la fin s'y dessinait. a lot. et il appréhende l’aurore raven, ce moment où il devra vendre la mèche, mettre à nu l'âme éclatée. bousillée par le tragique et l'épouvante. how did you become a vampire? la question chagrine ; fait resserrer les mandibules, car il est difficile de cracher la noirceur quand en face, beauté était vertueuse. that's- ce n'était pas de la honte, loin de là - ni même l'effroi d'être jugé coupable. c'est au regard offert en biais qu'il se décide pourtant à laisser, ne serait-ce qu'une lumière tamisé sur l'un de ces moments tenu secret. related to my work. à cette roulette russe qui ce jour-ci, lui avait percée la jugulaire, assassiné le vivant. without getting too deep in it, i was assigned to do... something but in the end it really just was a fucking suicidal mission. fracas de cette ambiance fait de putride, celui maintenant aux quêtes fétides. entered the ruined place alive, leaved it dead. sonne du bout des lèvres, ironie sordide car s'articule le défunt des preuves de sa mort. skulls are my three deaths, two of them are spirituals? first one is when i was only a child, second one is when i entered adulthood, the last one is when i became a vampire. pointe de sa main libre les crânes un à un ; et à l'idée soudaine, celle de marquer une épitaphe sur chacune d'entre-elles. snake is there to represent malice and poison, cockroachs well, you know 'm a funny guy. se berce d'ironie pour apaiser le morbide. got other shit here and there but if we keep going, sun would rise up and i would be trapped here. se presse à mettre fin au détail du pourrissant ; car poupée se trouvait en face de lui, trésor non espéré et pourtant, clamé. there end your property tour, your majesty. se déguise en preux chevalier maintenant que l'éros s'était déjà estompé - dérouté quand les envies se savaient être inassouvies. malgré que la rétine se rend aveugle de sa délicieuse. anything else? car le cœur tonne à ne plus savoir quoi faire, tambourine et ordonne de la garder à jamais.

19.05.23 13:00

heaven found

ootd + song {{ 04·05·2023 }}
ft. @raven savage

now that I've trapped you in my arms no need to fight it, no need to hide it, now that I've seen what's in your heart. I'm the only one who knows this side of you and, baby, you know that you can pull out what's inside of me even though it's wrong.

•••••••••

S'est imaginé le père en truand, en déserteur ; coupable d'avoir cédé à l'appel du crime en laissant derrière lui une famille. découvrir que raven en porte le numéro de prisonnier sème alors un doute raisonnable : il n'y a pas de rancœur ou de haine dans sa manière de l'évoquer. now i'm really curious about him, glisse-t-elle dans l'espoir de grappiller quelques informations, mais il fait simplement glisser sa main vers le tatouage suivant et elle accepte de poursuivre son exploration. décrypte les tatouages à sa portée, se prend au jeu ; aime à découvrir les mystères ancrés à même sa peau. so don't expect to see me after we're both gone. i don't believe in paradise, signale-t-elle, songeuse. i think the souls survive and come back in other bodies, at their own time. elle se penche vers lui, risette amusée aux lèvres, so maybe we'll find each other in another life. maybe we even did already. who knows? continue son œuvre jusqu'à échouer contre son torse, et s'offusque lorsqu'il estime qu'elle se passerait de son autorisation pour l'effleurer. who do you take me for? a hypocrite, maybe? oh! poupée se redresse, bras se croisent et elle se détourne de lui la mine boudeuse. take that back. sans surprise il s'y refuse. the other night was different- it was dark so i could hardly see anything! and you were with that woman, qu'elle crache avec un mécontentement qu'elle ne masque nullement, elle qui jurait pourtant quelques temps plus tôt qu'elle ne s'embarrasserait jamais à s'interposer entre lui et une autre femme.

mais comme toujours avec nel, l'intrigue finit par l'emporter sur le reste, la ramenant à la tâche entamée et au milliers de questions qu'elle souhaiterait lui poser. that's- related to my work. oh… sujet qui fâche. parce qu'ils sont des opposés, elle et lui — qu'elle a défendu, là où lui attaque. et qu'à une autre époque, peut-être auraient-ils fini par se retrouver face à face, l'un contre l'autre. without getting too deep in it, i was assigned to do... something but in the end it really just was a fucking suicidal mission. entered the ruined place alive, leaved it dead. elle serre les lèvres. se demande, et non pour la première fois, comment il s'est retrouvé à faire ce qu'il fait au profit de monstres qui visiblement l'utilisent tel un pion.

((mais sur ce point, sont-ils à ce point différents en réalité ?))

they seem adorable, those bosses of yours…, grimace-t-elle en repoussant du front de raven une mèche de ses cheveux longs, alors qu'il détaille les symboles qui lui maculent le buste. there ends your property tour, your majesty. — well thank you for the details, sir. — anything else? — it's your turn to ask, qu'elle signale, is there nothing you want to know? — why did you come? the other night. et à cela elle se mord la lippe, réticente à répondre. another question, réclame-t-elle, sans succès. souffle. maybe i wasn't ready to let you go. et à sa mine tourmentée d'avoir été retenu : is it such a bad thing, questionne-t-elle en laissant glisser sa main, lentement, le long de son torse, to be mine? et de ronronner : poor little man… pour le seul plaisir de l'agacer. pour le seul plaisir de titiller son ego, de le pousser à inverser brutalement leurs positions, flashant un aperçu de ses crocs, dans l'attente des souffles mêlés et des regards brûlants, mais elle abdique au souvenir de sa promesse : alright, alright. i'll be good, i said, mains levées en signe de rémission.

et c'est alors qu'elle ne s'y attend pas que vient la plus difficile des interrogations : why did you stop being a hero? le souffle se coupe douloureusement et les paupières se pressent, le cœur s'affole, tambourine péniblement contre les côtes. s'insèrent au creux du ventre l'amertume du manque, la honte, la morsure d'une culpabilité brute que les années n'ont pas apaisée. it's none of your business, claque-t-elle avec une animosité mécanique, comme elle le fait toujours lorsqu'est évoqué le sujet sensible. all fun and games — jusqu'à cette soudaine tension qui s'épaissit entre eux, d'elle et sa mâchoire crispée à lui et son regard dur ; lui qui a exigé qu'elle cesse de le prendre de haut, cesse de le traiter comme un moins que rien. et soudain il n'est plus dans le lit avec elle, ombre vive et mouvante s'étant déplacée jusqu'à la porte fenêtre. elle se redresse sur ses coudes pour le chercher du regard, à travers les voilages que le vent berce. en dilemme : le laisser partir ou le retenir ?

nel se laisse retomber à plat sur le lit, le regard rivé sur le plafond. sans savoir s'il est ne serait-ce qu'encore présent, elle abdique, avoue tout bas : one of us disappeared because of me. guilt is a burden i shall bear for the rest of my life. une pause. how am i supposed to help people if i couldn't even save my own brother? la question sonne douloureusement dans le silence de la pièce. mais lorsqu'elle se tourne il est bien là, rhabillé, faisant face à la porte-fenêtre ; à nouveau fait de chair et d'os. c'est après une hésitation qu'elle se lève en silence pour le rejoindre, glisse lentement ses bras autour de sa taille et appuie son front contre ses omoplates. i shouldn't have talked to you like that, admet-elle. i didn't mean it. it's… a sore point.

	au mépris du début, germe convoitise - du cruor versé en offrande, s'ébauche dans la débauche désir des plaisirs interdits. c'est au nid partagé de secrets que l'attirance éclot quand le battant l'érige en divinité adulé. poupée marquée au fer rouge, dans la carne, dans l'esprit. se proclame alors comme monarque du siège de l'amour.
	i'd like to have some time with you, my hand, your lips, my head, your grip. let me tell you a thing or two, i got a kink 'bout girls like you. \| rosenfeld - like u \|
	"ces gens vous ennuient-ils autant que moi ? - je ne suis pas venu pour la fête, je suis venu pour vous. je vous observe depuis des jours, vous êtes la femme dont nous rêvons tous, il se s'agit pas que de votre visage, ou votre - votre allure, ou votre voix, ce sont vos yeux." \| mindpleasure & friends - où es-tu mon amour \|
	now you’re dripping down my body we got hours to fill all alone in the sheets i’m a sinner you’re getting the shivers cos’ I know the way you feel my body gives you chills. \| mickey valen - chills \|

	au permafrost qui s'est créée au fil du temps ; c'est de sa disparition qu'elle se voit payer l'addition - car gamin qui s'est sacrifié garde toute de même amertume face à la fuite de l'ainée, celle qui se devait de rester. c'est d'ignorance qu'est façonné leurs échanges pourtant, l'amour réside sous l'amas de l'opprobre, car la grande partage l'héritage des martyrs.
	même pièce, même trogne - pourtant aussi différent qu'ils peuvent l'être. c'est dans deux mondes bien distinct que l'un et l'autre ont poussés et malgré cette distance, les miroirs reflètent ce qu'ils possèdent de plus pur. à celui qui ne l'a jamais abandonné, celui qui lui tendra toujours sa main - raven, garde fou, lorgnera toujours dans les sillons de ce jumeau aux cornes malicieuses qu'il interprète comme halo de lumière. deux mais pourtant un, cette moitié aux douces effluves de sérénité.
	au corbeau appartient la nuit ; c'est peut-être pour ça que night est celle qui lui ressemble le plus. des échos d'impulsivités, de la hargne sans résilience, au sarcasme dans le timbre. la jeune femme s'est façonné dans la dureté des bas-fonds ; navigue par expérience et sait, que l'oiseau ne sera jamais très loin, à sillonner les cieux.
	dernier trésor de la famille, des héritiers au terrible destin ; dusk est ce crépuscule divin - de douceur ou d'horreur pour certains. raven se plait à la couver, peut-être même à la surprotéger car, la cadette n'est fautive de rien - se déçoit de la voir s'user à vouloir se plier aux problèmes de la famille. réconforte alors ses choix, quand son jumeau lui, la martèle de devoirs sans sens.

1986	dad mom un laboratoire secret opérant des recherches et expérimentations sur des créatures du fold perd le contrôle de quelques-uns de ses cobayes, qui parviennent à échapper aux locaux. les monstres se disséminent à Celestia, aussitôt traqués dans le plus grand secret — il ne faudrait pas que l’affaire s’ébruite, au risque de semer le chaos dans la haute-ville. l’une des créatures atteint toutefois la demeure de ben rixen ; tétanise sa famille de par son aptitude à plonger ses proies dans un cauchemar éveillé, et la décime. Seul l’une des filles survit : hazel, arrachée de justesse à la demeure par kassian savage, un jeune mercenaire engagé par les rixen pour assurer la sécurité de leur héritière. hazel le convainc de l’emmener loin, persuadée que le drame n’était en rien un accident mais un coup monté de sa tante eideen, dont la haine de ben ne cessait de se décupler depuis qu’il avait hérité de l’artefact familial à sa place. c’est à zaun qu’ils se terrent, mais même loin, hazel est encore prisonnière de ses démons : les pouvoirs de la créature et le traumatisme de cette nuit-là ont laissé leur effet sur son jeune esprit, tourmente éternelle. Elle tente de construire une nouvelle vie, devient épouse, devient mère, mais au fil des ans les crises se font plus fréquentes, plus violentes.
1989	dawn naissance d’une fille aînée, dawn.
09·09·97	karma raven naissance des jumeaux.
2001	night naissance de night.
09·09·97	dusk dawn mom naissance de dusk dans des circonstances troubles : contrairement à ce qu’on croit, c’est dawn qui a porté celle que sa mère lui offre d’appeler petite sœur ; cette enfant dont elle ne voulait pas, qu’elle a confiée à ses parents dans le plus grand secret…
2006	dawn mom dad autrefois très complices, dawn et sa mère s’éloigne : la vie à zaun est un trigger permanent pour hazel, les attaques de monstres éveillent des souvenirs cuisants. et si les savage se terrent dans la cave faisant office de bunker lors des crises, ils n’échappent pas pour autant aux sons, aux hurlements, aux râles de monstres. cauchemar sans fin — le traumatisme sans cesse ravivé nourrit des crises de plus en plus intenses. Entre dawn et kassian les disputes s’enchaînent : l’aînée pense sa mère dangereuse pour ses cadets, désormais, et elle ne comprend pas que son père se refuse à voir les risques. C’est dans l’espoir de leur offrir un meilleur avenir qu’elle finit par claquer la porte, quittant la maison en quête d’un travail dans la haute-ville.
02·07	dad mom internement d’hazel, au prix d’une dette contractée auprès d’un gang avec lequel kassian est habitué à faire affaire. il le sait cette fois, cependant, qu’il est f u c k e d, sitôt l’emprunt accordé.
03·07	mom dad eideen retrouve trace de sa nièce et se méprend sur sa survie. elle fait pression sur kassian : dans le flou quant au drame d’il y a quelques années, elle se persuade qu’il s’agissait d’un coup monté par hazel et son zaunard pour s’enfuir avec l’artefact familial. elle jure de l’envoyer croupir en prison, aux dépends de ses enfants, s’il ne lui dit pas la ~~vérité~~.
05·08	dad raven dawn • dans l’incapacité de lui donner ce qu’elle exige, kassian est arrêté et emprisonné sans procès sous les accusations d’eideen : condamné à la prison à vie pour enlèvement d’une celestienne et meurtre des rixen. Il tente de retenir le gang de venir réclamer l’argent à ses enfants ; deale pour eux en prison, mais ce n'est pas suffisant. • le gang s’impatiente et réclame l’argent sous la menace. en l’absence des parents, dans l'attente du retour de imminent de dawn mais privés de tout espoir de s’en sortir, raven offre sa vie en échange de quelques années de délai, du haut de ses 11 ans. • dawn rentre à la maison pour prendre la responsabilité des plus jeunes. En poche, un épuisant boulot de garde d’enfant auprès de familles midriaises et celestiennes. et chaque soir elle s’écroule sur le canapé en rentrant, vidée.
01·12·10	dusk karma raven c'est souvent qu'ils en sont réduits à mendier ou à tenter de récolter de quoi se nourrir, parfois aux abords du fold. ducky insiste toujours pour accompagner les jumeaux et ils acceptent ce jour-là — mais la faim qui la taraude rend plus alléchantes que jamais les baies qu'elle cueille sans se douter avoir en main une pleine poignée de mûres démoniaques. elle en goûte une, qui bouleverse le cours de son existence, manquant de la tuer — elle survit, transformée.
02·12·10	karma • les rêves de musique et de vie d’artiste de karma se heurtent à ce nouveau mur, celui de trop. il se promet de trouver une solution à leurs problèmes — à la dette, à la malédiction qui ronge ducky désormais daemonis, et même au fold. vocation mise sous scellé, c’est à la recherche qu’il consacrera son existence. Sa décision est prise dans la nuit : il échappe à la demeure familiale et traverse la ville, faisant du stop jusqu'à celestia, la lune sur son front révélée au grand jour. car un gifted n’est rien sans mécène. • les hydra, qui l’accueillent, sont agacés par son âge, mais intéressés par sa détermination à détruire le fold. ils le pousse vers la médecine, espérant qu'il achève leur propre quête en trouvant le remède qui aurait pu sauver leur fille perdue.
2018	dawn karma all quoi qu’ils gagnent, les frais s’accumulent et leur laissent les poches vides. karma et dawn s’acharnent à faire les comptes d’un désastre financier perdu d’avance : la dette les dévore vivants.
2019	dusk il aura fallu 1 an — les 15 ans de dusk — pour que la fratrie parviennent à mettre de côté de quoi lui payer une place en pensionnat, sur une suggestion de karma. à contre-cœur et bien contre sa volonté à elle, mais ils se le sont promis : plus rien ne mettra en péril la vie de leur sœur. elle quitte la maison en larmes.
31·10·19	raven TW// TRANSFORMATION. c'est après une mission qui consistait à piller une base d'une autre organisation qu'il fera la rencontre, pour la première fois, brièvement avec la mort. aux portes du trépas, il ne quémandera pas sa survie. à la jugulaire attaquée, au cruor qui s'échappe - seuls ces quelques mots lui garantiront de pouvoir bercer zaun de son cadavre. "turn me." ; engendrant alors une future décadence à la mélodie d'horreur, qui était plus que prévisible.
2020	night raven TW// MEURTRE. l'organisation punit raven d'un de ses échec ; à sa nouvelle transformation - le supplice d'aucun repas. il sera séquestré pendant 48 heures, avant d'être balancé dans une ruelle non loin de la demeure savage. c'est night, qui inquiète de ne pas le voir rentrer, partira à sa recherche et le trouvera, affaiblit, à garder ses dernières forces pour le premier innocent qui avait le malheur de s'égarer dans cette ruelle. avec le peu de raison qui lui restait, il arrivera cependant à la reconnaître ; lui demandant alors, de servir d'appât. elle gardera le secret sur sa condition mais aussi de cet évènement, pendant un an.

	au mépris du début, germe convoitise - du cruor versé en offrande, s'ébauche dans la débauche désir des plaisirs interdits. c'est au nid partagé de secrets que l'attirance éclot quand le battant l'érige en divinité adulé. poupée marquée au fer rouge, dans la carne, dans l'esprit. se proclame alors comme monarque du siège de l'amour.
	i'd like to have some time with you, my hand, your lips, my head, your grip. let me tell you a thing or two, i got a kink 'bout girls like you. \| rosenfeld - like u \|
	"ces gens vous ennuient-ils autant que moi ? - je ne suis pas venu pour la fête, je suis venu pour vous. je vous observe depuis des jours, vous êtes la femme dont nous rêvons tous, il se s'agit pas que de votre visage, ou votre - votre allure, ou votre voix, ce sont vos yeux." \| mindpleasure & friends - où es-tu mon amour \|
	now you’re dripping down my body we got hours to fill all alone in the sheets i’m a sinner you’re getting the shivers cos’ I know the way you feel my body gives you chills. \| mickey valen - chills \|

	au permafrost qui s'est créée au fil du temps ; c'est de sa disparition qu'elle se voit payer l'addition - car gamin qui s'est sacrifié garde toute de même amertume face à la fuite de l'ainée, celle qui se devait de rester. c'est d'ignorance qu'est façonné leurs échanges pourtant, l'amour réside sous l'amas de l'opprobre, car la grande partage l'héritage des martyrs.
	même pièce, même trogne - pourtant aussi différent qu'ils peuvent l'être. c'est dans deux mondes bien distinct que l'un et l'autre ont poussés et malgré cette distance, les miroirs reflètent ce qu'ils possèdent de plus pur. à celui qui ne l'a jamais abandonné, celui qui lui tendra toujours sa main - raven, garde fou, lorgnera toujours dans les sillons de ce jumeau aux cornes malicieuses qu'il interprète comme halo de lumière. deux mais pourtant un, cette moitié aux douces effluves de sérénité.
	au corbeau appartient la nuit ; c'est peut-être pour ça que night est celle qui lui ressemble le plus. des échos d'impulsivités, de la hargne sans résilience, au sarcasme dans le timbre. la jeune femme s'est façonné dans la dureté des bas-fonds ; navigue par expérience et sait, que l'oiseau ne sera jamais très loin, à sillonner les cieux.
	dernier trésor de la famille, des héritiers au terrible destin ; dusk est ce crépuscule divin - de douceur ou d'horreur pour certains. raven se plait à la couver, peut-être même à la surprotéger car, la cadette n'est fautive de rien - se déçoit de la voir s'user à vouloir se plier aux problèmes de la famille. réconforte alors ses choix, quand son jumeau lui, la martèle de devoirs sans sens.

heaven found,, (sick #4)

NAMU AMITABUL

gameplay -

✫ nebula lesphira

✫ dawn savage ; karma savage ; night savage ; dusk savage

. *. ⋆ 2023 — 1/6

11·02·23

04·03·23

22·03·23

31·03·23

07·04·23

11·04·23

27·04·23

01·05·23

04·05·23

17·05·23

18·05·23

21·05·23

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dad

mom

dawn

karma

raven

night

dusk

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fratrie

fratrie

NAMU AMITABUL

gameplay -

✫ nebula lesphira

✫ dawn savage ; karma savage ; night savage ; dusk savage

. *. ⋆ 2023 — 1/6

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