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WHISPERin the night
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La paix n'est plus, pas même de façade. Dans une débâcle de bombes et de hurlements, Zaun a réclamé son indépendance en détruisant le siège du Council. La haute-ville se reconstruit sur des airs dictatoriaux tandis qu'à Zaun, les lois s'effondrent, les rues ne sont plus que passages à tabac en règle, pour dépouiller autrui ou par simple plaisir de semer le chaos.
C H. N L G
The Council
pnj compte fondateur & maître du jeu, PNJ ; à mp pour toutes demandes liées à l'administration
HERESY.
hiatus Nebula + Karma + Neomä + Kane + Hinatea + Reagan + Samaël
NEIR.
présente Soleil + Rose + Dusk + Reine
Last Waltz
présente Niyah + Nyx + Nevoria + Maxine + Lola + Night + Aqua + Neela
Gekyume
présente Raven + Daemon + Maddox + Caïn

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01.07 vers. 17, découvre les nouveautés ♡

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lonely day (felicia)

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17.07.22 20:38

・such a lonely day (and it's mine)
17.07.2022 ❫ ・ @felicia snyder


 A peine Felicia arrivée que les yeux de Reyn (Sage would be better suited for me, I think – a-t-il mentionné plus tôt dans la journée, en laissant son menton reposer sur l’épaule valide de Karma) s’arriment à sa silhouette. Dans l’immédiat, les émotions sont contrôlées. Obtempèrent volontiers sous chaque impulsion narguant les nerfs de son visage, ou ceux de ses membres qui, irrépressiblement, se tendent sous sa peau.

Son regard sombre, dans lequel brille un éclat étrange, particulier, darde la nouvelle venue dans la salle de réception. La reconnaitrait entre mille, alors qu’ils n’ont jamais vraiment parlé ; qu’ils ne se connaissent finalement qu’à peine. Après ce qui lui semble être une éternité (alors qu’à l’évidence son corps s’est immédiatement mis en branle à sa vue), les semelles de ses chaussures cirées virevoltent sur le carrelage en marbre. Dans son cheminement jusqu’à Felicia, ses doigts se tendent vers deux coupes de champagne qu’il emprisonne entre ses phalanges, contre ses deux paumes. Le sourire de circonstance est à peine relevé, creux taillé à l’aube de chaque pommette.

Elle le voit également, tandis qu’il fend la foule afin de la rejoindre. Ses doutes s’enveniment. She’s going to destroy your life. She knows you’re a fraud. Les regards s’arriment en une ligne de mire qui le fait déglutir, bien qu’il s’efforce de pas le montrer, commissure perpétuellement à moitié relevée. Ses zygomatiques commencent à farder ses joues d’une étrange affliction.

She knows. He knows.

Seul point que Reyn (maybe try and start calling me Sage? See how it feels?, a-t-il quémandé) pourrait se permettre d’exploiter. Felicia l’a vu, à Ketterdam. Il l’a remarquée, également. Deux poids qui tendent d’un côté comme de l’autre. Cependant, plutôt que de se rassurer, c’est l’estomac qui s’ankylose en songeant que deux familles pourraient se retrouver à lamenter la perte de deux enfants, si leurs lèvres commençaient à battre la cadence des connaissances qu’ils détiennent l’un de l’autre ; de l’un envers l’autre.
Puisque Sage ne connait finalement Felicia que de réputation. Et celle-ci semble avoir été morcelée d’anecdotes peu glorieuses qui lui ont été contées. She’s a snitch. And that’s pretty much what you need to know about her. Concert de conversations passées qui se distille inexorablement dans ses méninges, se répercutant sur la manière dont il la considère désormais.

Une fois arrivé à sa hauteur, Reyn (no, no, Sage) lui tend une coupe de champagne en guise de salut. Presqu’aussi grande que lui, Fairburn doit toutefois baisser le menton afin de permettre à leurs regards de s’aligner. « Care to have a drink with me? » Sa main se suspend, en attendant sa réponse. « I thought you were not going to come after all, avoue-t-il – malgré les messages échangés, plus tôt dans la journée. Shall we— go outside? Unless you want to greet some other guests. My apologies, I don’t mean for you to hurry. » Noie sa précipitation dans une gorgée pétillante qui court le long de sa gorge, dilate l’étau de sa gorge jusqu’à réchauffer le creux de son ventre engourdi.
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25.07.22 21:12

Hi, my name is lonely, lonely,
thought you'd never know me
Lock me in a closet
but the darkness keeps me growing

such a lonely day
mention de trafic d'organe
Tu soupires en reposant ton portable, mais l’angoisse que tu as ressenti en voyant s’afficher son prénom sur l’écran ne quitte pas le fond de ta gorge. C’était dangereux de faire ça, tu le savais - ce n’est pas tant l’illégalité qui te fait peur, que le fait d’être prise. Tu n’as pas été parfaite, Lux, tu as fait une erreur et tu détestes ça. Tu sembles en faire de plus en plus en ce moment, tu commences à dérailler de la voie de la perfection dans laquelle tu t’es engagé. Il faut que tu fasses attention à ne pas en tomber, parce que cette route n’a pas de garde-fou : si tu en sors un peu trop, il n’y a qu’un précipice et la chute qui t'attendent, Felicia. Et si l’appel du vide est attrayant pour certain, son chant de sirène est loin de t’enchanter, tu en es plutôt terrifiée.

C’est bien parce qu’il est au courant de quelque chose que tu t'es sentie obligée de répondre. À ses messages d'abord, puis à son invitation dont tu ne sais que faire, que tu aurais rejeté d'habitude sans plus de sommation. Il y a toujours plus important à faire que d'aller à une soirée mondaine - tu n'es pas là pour te faire des amis, Felicia. Tu pourrais travailler, étudier, t’entraîner jusqu’à t’en faire mal aux paumes, car c’est tout ce qui compte, tout ce qui doit compter. Tu n’as jamais été comme Jazz, comme Neomä, qui faisaient le mur et toutes les bêtises du monde au cours de leurs soirées qui duraient toute la nuit durant. Ça n’a jamais été un univers où tu t’es souvent retrouvé, où tu as souvent voulu aller, où tu avais seulement une place. Ça n’a jamais été ton univers, à toi.

Tu n’aimes pas sortir de ta tour de verre Lux, tant pis si en y vivant tu t’écorches sur ses bouts trop coupants. Tu as toujours peur que la porte transparente se referme derrière toi et que tu ne puisses plus y retourner ; tu n’as pas les cheveux assez longs pour la grimper. Et en dehors de ses murs scintillants, tu n’as jamais su trouver ta place. Il vaut mieux rester sous ta cloche de cristal, là où tu peux ignorer qu’un jour tu seras trop fanée, un jour tu seras trop usée pour encore pouvoir t’y éterniser.

Sauf que tu ne peux pas lui dire non, parce que sinon il en détruira les fondations, te détruira avec. Et pouvoir l’entraîner avec toi dans ta chute n’est qu’une maigre consolation. Alors tu t’es habillée, Felicia, tu as mis un tailleur en soie blanc cassé. Pas une robe parce que tu as peur que ça ne t’aille pas, qu’on te scrute, qu’on voit toutes les parties de toi qui ne vont pas. Ta poitrine désespérément plate, ta taille trop peu marquée, peu importe le défaut, il le remarqueront si même toi tu peux le trouver. Tu préfères te cacher sous une tenue distinguée sans être trop déshabillée, quand bien même tu rêverais de piller la garde robe de ta sœur ou de ta mère.

Tu le cherches du regard directement quand tu arrives. Tu es là pour lui, Lux, pas pour le reste de ces gens que tu ne côtoies de toute façon jamais, d’ailleurs certains risquent d’être bien surpris de te voir par ici. Tu es là pour le surveiller, pour vérifier qu’il n’est pas déjà en train de prononcer les mots qui mèneront à ta sentence, à ta condamnation.

Il t’aperçoit aussi et vos yeux s’accrochent - tu n’as jamais appris à lire dans ceux des autres, mais tu te demandes s’il est aussi méfiant et angoissé que toi. Il te propose une flûte de champagne, et c’est vrai que tu te fondrais mieux dans la masse avec, ou au moins tu pourrais faire semblant d’avoir une raison d’être là. Alors tu l’attrapes, même si tu ne la boiras pas.

Il la boit, lui, et tu te dis qu’il a l’air nerveux tout de même. Est-ce que toi aussi, on peut ressentir ton malaise comme ça ? Tu n’as plus qu’à espérer que non, ou bien que personne ne devine pourquoi.

-Thank you. Well, I’m here now, so there’s no need to worry.

Est-ce qu’il ne s’attendait pas à te voir car il a déjà révélé ce qu’il sait ? Pensait-il que tu étais déjà derrière les barreaux, enfermée ? Tout un tas de pensée, de folle théorie envahit ton crâne, glisse dans tes failles pour mieux se planter dans ton esprit.

-I told you I would be here, so…

Alors, pourquoi, Reyn, pourquoi tu pensais que je n’étais pas censé être là ?

-But yes, if you’d like, I would be more at ease outside. I don’t have anyone else to greet.

Ça te mettrais plus à l’aise qu’au milieu de la foule c’est certain, mais alors que tu t’approches de la sortie sans le lâcher des yeux, tu es soudain horrifiée. Et si ça aussi, c’était un piège, s’il ne t’emmenait à l’extérieur que pour mieux te livrer ? Sauf que c’est trop tard, Lux. Tu ne peux plus reculer.


crédit : bambieeyes, mortispbf
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13.08.22 22:24

・such a lonely day (and it's mine)
17.07.2022 ❫ ・ @felicia snyder


La nervosité à l’affût de la carne, quand ses cils frémissent, dégueulant une myriade d’interrogations fébriles qui jamais ne passeront la barrière de ses lippes scellées.  Felicia n’en mène pas large. Il le remarque aussitôt en l’avisant de son regard sérieux, et d’une coupe de champagne. S’accroche à la sienne avec une ferveur étrange, désespérée, phalanges blanchies sous la poigne qui s’orchestre contre la flûte. « Thank you. Well, I’m here now, so there’s no need to worry, siffle sa vis-à-vis en retour. — I wasn’t worried, mais sa voix, vrombissante dans la trachée, le trahit. Trahit l’univers qui s’étire en son sein – celui qu’il dissimule. I told you I would be here, so…, ajoute-t-elle – à raison, sans doute, bien que la trogne de Sage se froisse brièvement face à l’évidence de sa réprimande. — That’s true. You’re right. Apologies. » Easier said than done.

Aussitôt, dents blanches qui claquent sur le verre en y sifflant une seconde gorgée afin d’apaiser l’acidité qui se multiplie dans son réseau sanguin, palpitations calées sous le poitrail, à se tendre machinalement vers elle plus qu’il ne le ferait d’habitude, de sorte à préserver suffisamment d’intimité, calfeutrer leur bulle, de certaines oreilles qui se voudraient malicieuses. Force est toutefois de constater que Sage se répand en maladresses, en œillades appuyées, en déglutitions douloureuses.

Ainsi, la tentation de tendre la main et de se saisir de son mouchoir en tissu, soigneusement plié dans la pochette de sa veste de costume, afin de tamponner son front moite est grande. Remercie l’absence de Karma, en l’occasion, qui aurait sûrement été susceptible de remarquer son inconfort. « But yes, if you’d like, I would be more at ease outside. I don’t have anyone else to greet. » Sage se redresse, laissant les regards se rencontrer naturellement et s’aligner. En silence alors, sourcils arqués sur la demande acceptée, son bras s’étend et vient léviter à quelques millimètres des omoplates de Felicia, afin de la diriger jusqu’aux jardins.

Joue des coudes afin de fendre la foule, prenant toutefois grand soin de ne pas égarer sa comparse en chemin, jusqu’aux grandes portes en verre qu’il passe de son pas guindé, Felicia flanquée à ses côtés.

La soirée est fraîche. Etreint ses joues de son vent léger, sous la lune brillante, presque orangée. Autour d’eux, d’autres convives. Les conversations battent leur plein, corps drapés de satin, les papilles imbibées d’éthanol, quand les rires semblent faire brutalement vibrer ses tympans. Pour un peu qu’il s’enfoncerait volontiers ses index dans ses oreilles, à essayer d’aligner ses idées comme il le voudrait – à vrai dire, peut-être est-ce la première fois de sa vie qu’il ne se sent pas en mesure de réfléchir comme il le voudrait ; que les mots lui manquent ; que les battements chancèlent, éclatent comme des feux d’artifice derrière ses paupières frémissantes.

« There’s a botanical garden. Let’s go have a look. » Sourire de circonstance quand les saluts se multiplient, et que l’échine se courbe ponctuellement.

Enfin, le cheminement s’amorce de nouveau, entre la bâtisse et la serre. Mains croisées dans son dos, l’œil dépeignant la flore. Sous la pluie d’étoiles, qu’il énonce froidement : « I don’t need to know why you were in Ketterdam. » Et, la vérité est telle qu’elle sort plus facilement qu’il ne l’avait escompté : il n’en a cure, tant que la pareille lui est rendue. « I won’t say a thing. » Only if you keep what you saw to yourself.

Only if I can trust you.


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14.08.22 0:36

Hi, my name is lonely, lonely,
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such a lonely day
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Ton interlocuteur se redresse un peu trop vite, comme si une mouche l’avait piquée. Et dès que tu lui as donné ton accord, Felicia, il fonce dehors avec un empressement qui accentue tes angoisses. Mais tu es bien obligée de le suivre et tu t’efforces de garder la tête droite, alors qu’il jette des regards vers toi comme pour vérifier que tu es toujours derrière lui.

Dehors, il n’y a pas de piège encore, mais toujours autant de monde et ça te fait tourner la tête. Est-ce que c’est donc impossible d’avoir un endroit plus au calme ici ? Comment est-ce que les gens peuvent apprécier ça, d’être si proche, presque collé à autant d’autres, connus ou inconnus ? Tu peux sentir les effluves de la foule, de la sueur jusqu’à l’alcool, et ça agresse ton odorat. Finalement c’était peut-être ça le traquenard, de t’emmener là où tu n’arriverais rien à supporter.

Seulement, Reyn a l’air d’être aussi pressé que toi d’échapper aux rassemblements. Il te propose d’aller jusqu’au jardin botanique, et si tu te méfies encore Lux, tu préfères encore te jeter au milieu de la toile d’araignée plutôt que continuer à endurer tous ces contacts, tout ce bruit et tout ce monde. Lui fait des courbettes, salue à la volée comme s’il connaissait ces gens, et tu te dis que peut-être tu les connais aussi mais tu refuses obstinément de regarder qui que ce soit, un air glacial plaqué sur ton visage - et personne ne se risque à te dire bonsoir, ou te demander ce que tu fais là. Même si tu sais bien qu’on risque de te reconnaître, et que nombre de rumeurs vont se demander ce que tu faisais là. C’est vrai que tu avais bien besoin de toute cette attention. Ils essayeront sans doute de trouver la raison, aussi, et tu pries pour que personne ne trouve la bonne ; quitte à ce qu’ils questionnent ta relation avec Reyn, mais ça tu n’en a pas grand chose à faire. Ça serait son problème, pas le tien Lux. Et puis il n’a qu’à avoir l’air moins nerveux, les gens se questionneraient moins.

Finalement, vous arrivez dans une zone où il n’y a plus personne, pas même les Pacifieurs que tu t’attendais peut-être à voir. Tu respires un coup, Felicia - au moins il ne t’a pas déjà trahi. Pas de cette manière là en tout cas, parce que tout chez lui risque de vous signaler, tant il a déjà l’air coupable, prêt à avouer ses crimes au premier venu.

Toi aussi Lux tu es tendue, et quand il finit par te parler tu démarres au quart de tour ; tu ne cries pas mais tes mots se font acérés, pics de glace que tu aimerais presque voir s’enfoncer dans sa peau.

-What- while I appreciate you trying to prove to me how good of a liar you are, you don’t have to pretend in front of me. Those tunnels aren’t for the idiots who only wants to party down there, they’re for… (ta voix baisse encore, se transforme en murmure assassin)...for fucking traffics.

Tu ne jures pas d’habitude, Felicia, mais l’angoisse te pousse à des extrémités que tu ne te connaissais pas. Alors tu t’approches encore, tentant de te faire plus menaçante que tu ne l’es réellement ; tu n’es pas sûre de vraiment pouvoir lui faire du mal, mais tes yeux sont deux billes de givre meurtrier.

-So don’t play games with me, or I’ll make sure you’ll lose.

En réalité c’est toi qui a le plus à perdre ici, tu as aperçu ce qu’il avait récupéré et ce n’était qu’un rêve ; tandis que toi, tu risques bien plus gros, avec tes organes humains dont tu ignores scrupuleusement la provenance. Tu n’as pas envie de la connaître, ni que quiconque d’autre ne l'apprenne.

-Also, get a damn grip on yourself, or you’ll get us caught. You’re acting very suspicious and someone will start asking questions if you continue like that.

Tu n’es pas tendre, Lux, mais tu ne l’a jamais été et ce n’est pas pour lui que tu vas commencer, quand bien même il aurait le pouvoir de te faire chuter. C'est peut-être même encore pire, justement parce qu’il l’a.

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