( when I take a look at my life )

23/04/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

lover
of mine

Solitude à laquelle il est habitué et pourtant, ce sentiment terriblement dérangeant qui ne veut pas te quitter, quand parfois, tu as juste l'impression de l' a b a n d o n n e r là, dans cette maison beaucoup trop grande pour lui ; journée à rallonge qui ne te permettent pas toujours de rentrer tôt et Azur qui s'enferme dans la chambre, Ruiz et Cruz beaucoup trop amicaux et ton amant qui n'aime pas les chats, ne parvient pas à voir les différences entre ceux qu'il connaît et les compagnons d o c i l e s de Storm, préfère les fuir plutôt que d'avoir à leur faire face, animaux qualifiés de méchants quand pourtant leurs seules occupations de la journée étant de manger et dormir. emploi du temps allégé pour la journée et voilà que tu y vois l'opportunité de rentrer Mahem, juste tout passer un peu plus de temps avec lui, profiter de l'absence des garçons pour lui parler, tenter d'appréhender l'avenir à ses côtés.

portée d'entée ouverte pour contempler un instant les deux pachas étalés sur les canapés du salon, les gratifier d'une caresse chacun avant de te redresser, regard rivés vers l'escalier menant au couloir de ta chambre, i m m e n s e suite au confort faste et soudainement, la voix qui s'élève, l'appelle. « Azur ?! » manteau léger abandonné sur le dossier d'une chaise et le nez qui s'en vient à fouiner dans le réfrigérateur faim mordante tenaillant ton estomac. « i'm home ! wanna eat something ? » et tu ne montera volontairement pas Mahem, pour forcer ton amoureux à descendre, à passer outre sa r é p u l s i o n pour les félin ronronnant sur les sofa à quelques pas. « cats won't disturb you again, i swear. can you come and kiss me ? » et le buste qui s'en vient à se pencher dans les escaliers pour qu'il t'entende plus facilement, cuisine pour quelques instants abandonnée, attention réclamée pour éloigner ce m a n q u e qui étreint ton coeur à chaque fois que tu t'éloigne de lui, crainte un peu stupide qu'il disparaisse et qu'à nouveau, les autorités menacent de te l'arracher. « i missed you so much love, wanna see you... »

12/05/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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O

isiveté nouvelle, aux contours étranges, qu'il découvrait ; dans les silences allongés qui rythmaient ses journées, dans les regards furtifs qu'il croisait, rares, mais plein de questions auxquels il ne saurait répondre, dans les occupations diverses et variées proposées par son petit ami ; Azur appréhendait la vie d'un point de vue Midrien et cela lui était, à la fois perturbant, et très intéressant.

pas d'urgence ; il pouvait prendre son temps. cela était un concept inexistant à zaun où chaque seconde avait son importance. ici, les heures défilaient sans inquiétudes. la maison baignait dans une quiétude particulière, rythmée par les allées et venues des membres du groupe de mahem. night howl qu'il connaissait, mais commençait à réellement découvrir avec les médias à sa disposition ici. live, interview, clips et directs qu'il regardait avec un réel plaisir, quand la voix du maknae lui était si douce et précieuse à l'écoute. et cela lui donnait l'impression qu'il ne le quittait pas vraiment. enveloppe physique éloignée, mais psychiquement bien présent.

mais il restait, en dépit de tout, un enfant sauvage ; et si le confort avait ses avantages, sa liberté, elle, revendiquait qu'il puisse aller et venir librement. malheureusement, la lune sur son front pouvait être à la fois synonyme de préciosité et de malédiction ; quand elle régissait sa vie entière, l'obligeait à se cacher, s'entourer de mystères et restreignait considérablement ses mouvements. faux papiers qu'il lui demande, à son ami dreamer, qui soulèvent un problème ; il connait mal la haute-ville et ses codes, ne sait comment s'y comporter, comment fuir ou s'échapper en cas de problèmes. zaun était son terrain de jeu, son labyrinthe préféré ; ici, il n'était qu'un gosse apeuré. les yeux azuréens tournés vers les grands buildings dont les façades semblaient refléter le soleil, il se demande, azur, si un jour il pourra vraiment faire partie de ce monde.

« Azur ?! I'm home ! wanna eat something ? »

Porte qui claque dans son sillage, quand il avait repéré le taxi s'approchant de la maison depuis quelques minutes déjà ; azur dont l'attention était férocement décuplée pour prévenir tout danger. il pose le lit sur le canapé installé tout contre la baie vitrée, ouvrage de médecine avancée sur les progrès de la chirurgie réparatrice grâce à l'arcane. clonage qui semble presque dangereux, et pourtant résonne comme une solution politique ; tous les moyens immoraux sont bons lorsqu'il s'agit de survie. il ouvre la porte et sourit en l'entendant insister. les pieds nus, sans un bruit, il descend dans la cuisine ; vêtu d'un simple jogging et d'un t-shirt extra-large. et il se pose contre la porte, un sourire flottant sur les lèvres en l'observant. you finished early today... ce qui n'était pas pour lui déplaire. il s'avance, impatient et ses doigts glissent aussitôt sur sa taille qu'il enlace. mine. i was reading something... what are you cooking ? plus intéressé par le contact physique, le nez qui vient se caler dans son cou, le hume ; douce fragrance qui le fait frissonner ; que par ce qu'il était en train de préparer.

23/04/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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Silence en réponse à tes appels et pourtant, les sens s u r d é v e l o p p é s qui guettent, à l'affut du moindre bruit, du moins mouvement dans la maison, pleine lune en approche et peu à peu les émotions qui débordent, les trais lupins bien plus présents, tant et si bien que tu n'as pas besoin de te retourner Mahem, pour savoir qu'il est là, qu'Azur est enfin descendu, qu'il t'observe un instant, certainement en souriant, à en juger par la joie qui pointe dans sa voix, de te savoir enfin rentré et à ses côtés. « yes, i just wanted to be with you... » et si tu ne te retournes pas Mahem, c'est uniquement parce que tes mains sont occupées, préparation m i n u t i e u s e de ces sandwitch dont toi seul à le secret, plat simple mais remportant si souvent du succès auprès des garçons, membres gourmands toujours bien trop heureux de ne pas toujours avoir à cuisiner ; Luhn pourtant si doué. « i hope you're hungry baby, because.... mhh ! » étreinte surprise à laquelle tu ne t'attendais pas, back hug te refilant un millier de frissions et immédiatement, les émotions qui s'envolent dans tous les sens, les joues qui rougissent et le corps qui frissonne, s e n s i b i l i t é accrue à l'approche de la lune pleine, terrible malédiction et pourtant parfois, ces instants de bonheur qu'elle t'accorde, te permet de vivre. « i'm trying to make us sandwiches but... » abandon total et le corps qui se retourne entre ses bras pour lui faire face, plonger tes yeux dans l'océan des siens et t'y noyer, sans même tenter de lutter, de te battre pour ta survie. « ...if you do that i think i'll just give up... »

et t'as les yeux qui brillent étrangement Mahem, c o n c u p i s c e n c e visible à des kilomètres alors que tes doigts se glissent doucement sous son tee-shirt, derme recherché, quémandé sans même avoir besoin de parler pendant que les envies se dessinent délicatement contre sa peau, remontent le long de son dos. « should we eat or just go hm ? » le sourcil qui se lève, le sourire qui s'étend et la seconde d'après, les bassins qui s'entrechoquent, a p p e l on ne peut plus clair alors que le désir luit clairement au fond de tes yeux, besoins toujours plus violents en cette période du mois, louveteau soumis à sa propre nature et pourtant cette fois, le rejet qui ne se fait pas, cession totale quand face à toi se trouve ton amant, Azur si beau ; Azur dont tu est si é p e r d u m e n t amoureux. « i missed you so much love... » murmure contre ses lèvres alors que tu le gardes contre toi, les mains plaquées sur ses hanches et le bassin toujours contre le sien, fléau affamé, prêt à tout pour séduire à nouveau et, peut être, profiter d'une après midi cosy avec son homme.

12/05/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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I

l avait appris le plaisir, à travers ces contacts chaleureux, empreintes de douceur furtives qui guérissaient des maux inexpliqués ; et, de plus en plus, il se prêtait au jeu et initiait les mouvements.

A Zaun, chacun reste à distance. Car, on ne sait jamais réellement si le face à face ne déviera pas en affrontement. Les contacts physiques sont redoutés, parfois même craints, quand il est plus prudent de ne pas se retrouver à portée d'une lame empoisonnée.

Les bras enlacés autour de son corps musclé, il sourit contre sa nuque et se hisse sur la pointe des pieds pour observer le plan de travail. I am.. Murmure contre sa peau, et les doigts qui agrippent le bas de son t-shirt pour glisser furtivement dessous, caresser sa peau nue et chaude. Mais alors qu'il prenait plaisir à le câliner tendrement, Mahem se retourne et dans l'éclat de son regard, il y voit l'envie et le désir briller férocement. Give up on making sandwiches ? Il sourit, quand désormais il arrive bien plus vite à comprendre les nuances de son homme. Son toucher lui provoque mille frissons et il se met à sourire en l'entendant. Should we ? Questions toute renvoyées, avec un brin d'amusement, quand l'empressement soudain le rend légèrement fébrile. Lèvres câlines s'effleurent, avant qu'il ne l'embrasse. Lentement. Les yeux fermés. Il profite des sensations que ces baisers offrent à son corps tout entier. Il s'embrase et se consume ainsi, adore sentir crépiter en lui le désir brûlant, flammes qui l'ensevelissent sous leur voracité.

Il pose ses mains sur les avant-bras de son homme, les fait remonter jusqu'à ses épaules, puis sa nuque à laquelle il se suspend, avant de finir par relâcher ses lèvres pour reprendre son souffle. I was reading about the science of cloning... But these emotions can't be reproduced, it's just not possible. Réflexion qu'il lui partage, avant de s'écarter très légèrement. Non, il était tout bonnement impossible de reproduire ce qu'il ressentait, car à décrypter l'euphorie dans laquelle les baisers le plongeaient, il y avait trop de nuances. Et l'excitation était telle, si dense, jamais réellement la même, toujours légèrement différente. Trop de détails, trop de variantes. Aucun code ne pourra jamais s'approprier l'humanité. We should go upstairs but... Coup d'oeil vers le plan de travail et les ingrédients sortis. if you leave it there, the cats will eat it.

23/04/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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Emotions aux fluctuations parfois ingérables et il a juste à glisser ses doigts sous ton tee-shirt Mahem, pour totalement t' e n f l a m m e r, t'arracher un petit gémissement de plaisir avant que tu ne te retourne pour lui faire face, l'attirer à toi, plaquer son bassin contre le tien et ne lui laisser aucun doute possible sur ces envies qu'il vient lui même de provoquer, peut-être sans réellement le vouloir, le chercher. et si jusqu'ici ton idée première était de manger, là, de suite, ce n'est plus vraiment le cas. « yes, i give up... » tu abandonnes Mahem. purement et simplement. « should we, yes... » lèvres gourmandes contre les siennes et enfin, la satisfaction faisant littéralement gronder la poitrine, baiser passion au goût du b e s o i n, lèvres câlines dansant sensuellement contre les siennes et une nouvelle fois, l'embrasement complet, la maîtrise qui faiblit au profit du désir, animal vorace prêt à tout pour arriver à ses fins, obtenir ce qu'il veut.

et il s'accroche à toi Azur, pour littéralement se pendre à ton cou, se laisser reposer dans tes bras pour p r o f i t e r un maximum du baiser avant d'y mettre fin, vous permettant de reprendre vos souffle, d'analyser ce qui est en train de se dérouler. « science of clonage ? why ? » et si tu tentes de comprendre Mahem, tu sais pourtant que tu n'y arrivera pas, face à un Azur-tentation qui ne semble pas se rendre compte à quel point il est d é s i r a b l e, à quel point il t'attire, à quel point tu as envie de lui. à quel point tu peux l'aimer. le désirer. « you want to clone something ? » question posée entre deux caresses, là, le front posé contre le sien à l'écouter parler, littéralement boire ses paroles en souriant, tendresse équivoque au fond de tes grands yeux d'or qui le fixent, l' a d m i r e n t. il est beau Azur. avec son sourire angélique, ses longs cheveux qui attirent tes doigts, ses yeux magnifiques dans lesquels tu te plais à te perdre, pour ne jamais en revenir, perdition chérie. « you know, emotions aren't a question of science. they depend on so much more love... » explications que tu tente de lui donner alors que tu peines toi même à garder l'esprit froid, concentré. « you know that ? dreams have emotions... why should they be the only exception hm ? » et si tu sais que ta question pourrais le pousser à se concentrer dessus, pour autrant ne te laisses tu pas faire, Azur à l'esprit bien plus éclairé que la plupart des gens que tu connais, i n t e l l i g e n c e particulière que tu as parfois du mal à suivre et pourtant, l'amour qui ne s'en trouve que renforcé, poussé par une affection et une admiration sans bornes pour l'enfant sauvage qu'il est, qu'il ne cessera jamais d'être.

et c'est comme ça que je t'aime
le sourire qui s'étend à cette pensée alors que tes mains le ramènent à nouveau vers toi, pour lui voler un nouveau baiser, accentuer encore la chaleur dans ton corps, b r a s i e r indescriptiblement puissant, difficile à gérer, à apaiser. if you leave it there, the cats will eat it. léger rire à sa reflexion, Azur aux reflexes qui ne changent pas et les chats qu'il continue de garder en respect, ne parvient pas à a p p r é c i e r, à regarder autrement que comme des parasites profitant de la moindre faille pour se glisser dedans, semer le chaos, la zizanie. « i'll just put this in the fridge. » et le geste qui se joint à la parole, carcasse qui pourtant ne se décolle pas de la sienne, l'emporte dans chacun de tes mouvements jusqu'à ce qu'enfin, la cuisine soit propre, libre de tout éventuel vol. « now, can we... go ? » et la voix qui chantonne légèrement, gorgée d'envie, d é s i r palpable s'échappant par tous les pores de ta peau pour venir s'échouer tout contre la sienne, s'imprégner en lui. « i want you to love me... »

12/05/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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B

aisers brouillons qui s'envolent, et les paroles n'ont aucun sens, quand elles ne sont pas vraiment écoutées, juste un murmure qui comble un silence dénigré. no... i don't want to clone something... was just reading... car c'est à cela qu'il passe son temps désormais. retraite forcée entre les murs de midrias et sa liberté disparue quand la marque sur son front pourrait l'emprisonner loin de son amant, vers de mauvais traitements redoutés ; alors ce temps oisif devait être mis à contribution et Azur avait listé les ouvrages souhaités, redécorant l'immense chambre de Mahem de bouquins, ouvrages et plans divers. sa touche personnelle, son bazar étalé un peu partout. et ce coin, près de la fenêtre, qu'il aimait tant. car le soleil y était visible, il venait caresser son visage (l'avait brûlé au tout début) et réchauffer son coeur. il affectionnait particulièrement de lire, bercé par l'éclat de ses rayons. science can explain and help a lot, but humanity has so many variables. réflexion qu'il poursuit, quand il suivait ses idées avec une logique implacable ; toujours un peu dans son monde, Azur, toujours un peu là. partagé, à cause des méninges tournant à plein régime, tout le temps. cela ne l'empêchait pas d'être présent, d'être actif, d'être dévoué. baisers qu'il donne, caresses qu'il se plait à offrir quand Mahem y réagit aussitôt, le corps brûlant d'excitation. loup exalté à l'approche de l'astre plein, et Azur qui avait étudié tous les cycles lunaires pour s'y adapter au mieux, comprendre les besoins du fléau de son homme (pour l'aider, pour l'apaiser). dreams are made by humans, so... that makes sense, honey. il s'amuse des efforts qu'il fournit. à l'écouter. à lui répondre. parfois même à s'emballer pour les curiosités qu'il lui montrait. bien loin de son monde, bien loin de son quotidien d'idol. fréquences différentes, pourtant accordées ; et le temps passé ensemble toujours mis à profit, toujours enjoué. valse dans la cuisine alors qu'il range, nettoie, et lui, qui suit le mouvement, lâchant des éclats de rire devant son empressement. oh really ? i didn't notice... brin de malice, et voici qu'il s'essayait à l'humour. petit à petit, il s'ouvrait au monde. c'était plutôt facile de le faire ici, la maison s'y prêtait, l'environnement y était propice. chacun ici, arrivait avec douceur et gentillesse, les éclats de voix étaient en général des rires, ou des chants heureux. et cet apaisement général faisait du bien à son coeur, même si parfois encore, son regard errait au-dehors en se demandant quel quotidien pouvait bien affronter ceux de son quartier. marches montées bien vite, et les vêtements qui s'enlèvent, effeuillage rapide car les corps se désirent. et le magnétisme qui surcharge la pièce se gonfle de stupre et d'une voracité sans précédent. quand Azur sait désormais ce qu'il aime, qu'il écoute son corps se tordre sous ses mains devenues expertes, à le saisir là, l'embrasser ailleurs ; il l'emmène au septième ciel. corps alanguis et souffles courts, désormais capable de lui faire l'amour pendant des heures, jusqu'à l'épuisement. jusqu'à la satisfaction d'être l'acteur de son plaisir. réconfortant. cela donnait un baume immense en son coeur. il était la source de son bonheur.

23/04/2022

ft. @Azur Tengen — night howl's colocation

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Concentration aux abonnés absents et les mots qui te parviennent sans vraiment t'atteindre alors que la chaleur continue de se répandre en toi comme une trainée de poudre prête à exploser, à tout ravager sur son passage. et voilà que tu l u t t e s contre toi même Mahem, louveteau en perdition face à ses propres désirs et bien souvent, l'impression de devenir cinglé, que tu ne sera jamais capable de te maîtriser. esprit forcé à écouter et à analyser, bataille acharnée pour rester connecter, ne pas te laisser emporter trop vite, trop précipitamment. i was just reading. parce qu'il ne peut faire que ça ici Azur.

maison immense qui pourtant n'a rien d'adapté pour lui, enfant sauvage qui parfois (souvent) s'ennuie ici et au fond de ton cœur, la peur. celle de l'entraver, celle d'un jour le voir dépérir ou même pire, vouloir retourner là bas où il n'a plus de foyer, où tout a explosé. « i see... » sourire perdu contre ses lèvres et à nouveau, l'esprit qui divague, les corps qui se cherchent et s'appellent, endocarde affolé en réponse à ses gestes, à ses mots. « science is a little complicated for me but... » nouveau baiser alors que tu tentes toujours de rester c o n c e n t r é, efforts immenses pour ne pas laisser tes envies te dominer totalement et immédiatement quand, au fond, tout ce qu'il partage avec toi attise ta curiosité, te pousse à vouloir en voir plus, en savoir plus. « ... i swear, one day i'll be able to understand... » promesse entre deux baisers, de l'amant qui désire vraiment savoir, être capable d'aider, de suivre.

mais en cet instant, c'est ton instinct que tu peines à suivre Mahem. e m p r e s s e m e n t visible et les éclats de rire d'Azur qui te font frissonner, t'arrêter un instant pour l'observer, plonger à nouveau dans ses yeux, te perdre dans ta contemplation. « i really like when you laugh baby... » parce qu'il ne rigolait pas souvent Azur. avant. parce que son sourire est l'un de tes trésors les plus précieux, parce qu'à tes yeux, seul son bonheur compte. (serais tu prêt à tout abandonner pour lui Mahem ?) frisson le long de l'échine et les corps qui abandonnent la cuisine, disparaissent dans les escaliers pour rejoindre ta chambre (votre chambre), recherche instinctive l'un de l'autre, besoin réel et pressant de l'avoir là, tout contre toi. de ressentir son amour à travers ses caresses, ses mots, sa peau contre la tienne ; Azur source de ton bonheur.

( when I take a look at my life ) - Zurmah #8

◇ GAMEPLAY ◇

◇ CONTACT ◇

ten of them

( ILLUSIONIST )

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( WOLF )

( HUMAN )

( IN LOVE )

( MIDRIAS )

Objets

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Protections

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potions

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DREAMER

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DREAMER

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SUNRISE

SMOLL

HYUNG

VOCALIST

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HYUNG

RAPPER

CUTE

HEARTBEAT

SOFT

ZAUN

SAFE PLACE

FIRST LOVE

SECRET

CHILDHOOD

TEARS

CLOSED

PUB SECRET

KETTERDAM

CLOSED

OZELA PLACE

MIDRIAS

CLOSED

REDWOOD ROAD

ZAUN

CLOSED

ICAES AVENUE

CELESTIA

CLOSED

STARLIGHT BASIN

KETTERDAM

CLOSED

SOMEWHERE

ZAUN

CLOSED

SOMEWHERE

KETTERDAM

EN COURS

PARADISE ROAD

ZAUN

EN COURS

GOLD AVENUE

MIDRIAS

STATUT RP

LIEU

QUARTIER

STATUT RP

LIEU

QUARTIER

STATUT RP

LIEU

QUARTIER

◇ GAMEPLAY ◇