hate the way you lie

20/08/2022

i ~~love~~ hate the way you lie

31.03.23 ↠ playground ↠ with / @syaoran strauss

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

Welcome to the playground - le panneau neonlight qui affiche le nom du club n'a pas survécu entièrement au rude hiver, seule quelques lettres font de la résistance ; mais les habitués n'y prêtent aucune attention, car l'apparat n'a pas vraiment d'importance ici. Seules comptent les intentions, pour la plupart honteuses et scandaleuses, lorsque les hommes se retrouvent dans l'antre viciée d'une basse-ville aux reflets pourpres, tachés d'un ichor souillé. Tâche dans le décor, ou voilà qu'il est à sa place, Zhao, posé contre l'un des murs sales du playground, à jouer nerveusement avec une fine lame qui tourne entre ses doigts tandis que les orbes scrutateurs ne quittent pas l'assemblée autour. Les basses assourdissantes ne l'empêchent pas de réfléchir, elles accentuent sa concentration et il observe. Les dealers les plus efficaces, ceux qui sont les plus discrets. Les clients drogués, ceux qui vont causer des problèmes, prêt à dégueuler leur haine pour une énième dose sacrilège. Gouffre flamboyant du désastre, l'Offa Magicae se sniffe à même l'air, et la constatation qu'il persifle, la mâchoire serrée. This place is fucking dead. Aucun style, aucune élégance ; l'ère du playground était définitivement over, c'est ce qu'il ressentait. Car plus personne ne s'y tenait correctement, tous les coups étaient permis et sensiblement, aucune sécurité ne pourrait venir contrebalancer cela. Si les pacifieurs ignoraient l'endroit sciemment, c'est parce qu'ils s'évitaient la plaie d'une longue nuit d'arrestations. Laissons les drogués se tuer entre eux, c'est mieux. Ils n'avaient pas tort, qui plus est. Il agirait exactement pareil. Néanmoins, il était temps pour l'Onyx de plier bagage pour ne pas être associé à la décrépitude de l'endroit. D'autres rivages à conquérir, d'autres terrains de jeux. Depuis la fin de l'hiver, les cartes semblaient redistribués, et le mur, plus accessible que jamais. Cerveau des opérations, Zhao voyait grand. Visionnaire, tête pensante qui en référait directement au diable en personne. Il avait toujours un plan.

Alors que son regard désabusé sillonne la foule, il tombe sur la silhouette ô combien fascinante d'un Sya qui ne le lâche pas du regard ; et qui semble contrarié. Un petit sourire prend naissance à la commissure de ses lèvres, car cet air renfrogné l'amusait plus que tout, tant il aimait provoquer n'importe quelle réaction chez lui. Il ne se rend pas tout de suite compte de sa méprise, le danger ayant été occulté l'espace d'un instant, mais lorsqu'on le bouscule, instantanément il retourne au présent. Un molosse lui fait face, et le menace. "Retourne chez les tiens, t'es trop bien fringué pour ce genre d'endroits, l'richou". Sombre erreur que de le confondre avec un Célestien, sa mâchoire se serre avec une force prête à lui péter les maxillaires, et sa lame brille au creux de sa paume recouverte de gants noirs. Excuse me for having style, you tramp. Why don't you go fuck yourself somewhere else ? Le sang chaud qui bout dans les veines, il vient de Zaun et n'en a oublié aucun enseignement ; le premier étant de frapper avant de l'être. Pour cela que sa lame vient cisailler la peau du molosse, faisant gicler le sang autour d'eux, d'un geste vif. Il le coupe au visage, et profite de l'effet de surprise pour s'éloigner le plus rapidement possible, car il n'est guère de taille à affronter plus lourd et plus fort que lui. Et dans la foule qui se presse, il cherche son odeur, espère retrouver rapidement son dreamer.

22/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @zhao kozuki

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

can you hear me ? how much i love you.

welcome to the playground. failure. taudit aux allures de palace et la g a n g r è n e qui ronge le ventre de la bête ; l'hiver a été rude Syaoran et pas que pour les pauvres âmes vivant à Zaun. débauche. ramassis putride de violence et la réputation qui n'est plus à faire. et tu ne l'aimes pas spécialement Sya. cet endroit. repaire favoris de tous les drogués du coin et le prestige qui disparaît peu à peu, laisse place à la fatalité, compagne terrible de beaucoup de monde ici. et si tu es là ce soir Syaoran, ce n'est pas par simple hasard, oh ça non. si tu es ici, accoudé contre l'une des tables haute de la salle, c'est parce qu'il est là, parce qu'il t'a demandé de le rejoindre, de venir égayer sa soirée ou, du moins, venir passer du temps avec lui. d'habitude, ce n'est pas toi qui vient ici. d'habitude, ce sont les receleurs de M o r p h e u s qui se retrouvent ici, vendent, notent, reçoivent les paiements. regard circulaire tout autour de toi pour les repérer, constater qu'ils sont bien là, à faire ce pour quoi tu les paie si grassement. temps d'arrêt et les prunelles vert-gris stoppées sur la silhouette de Zhao contre ce mur, à jouer avec ce couteau sans vraiment se soucier de ce qui pourrait arriver, Celestien détonnant dans le décor, les vêtements beaucoup trop beaux, beaucoup trop neufs pour que quiconque puisse se laisser b e r n e r.

et ce qui devait arriver, arriva. irrémédiablement. agression et la lame qui tombe, assurée, tranche dans le vif, Zhao enfant de Zaun qui ne se laisse pas faire, ne plie devant rien ni personne. « fuck ! » juron échappé alors que la carcasse bouge rapidement, ondule entre les corps pour venir le retrouver, lui qui a soudainement p r o f i t é du mouvement de foule provoqué par l'altercation pour s'éclipser, fuir un combat que de toute façon, il ne gagnerait pas. doigts refermés sur sa main pour le traîner à ta suite, fuir avec lui. « come with me ! » et cet endroit Syaoran, tu le connais par cœur. chance certaine de vous trouver sur ton terrain de jeu alors que tes pas vous mènent plus en arrière du bâtiment, vers les escaliers menants aux salles VIP ; endroit de riches, uniquement réservés à ceux qui peuvent payer.

porte ouverte à la volée pour le pousser dans la pièce préalablement réservée (quelle aubaine d'y avoir pensé !) avant de faire claquer le battant derrière toi, carcasse pressée contre la sienne le temps de verrouiller l'endroit, sécurité relative. « did you really have to slash is face ? » question rhétorique dont tu connais déjà la réponse, soupir s'échappe de tes lèvres alors que tu te tournes vers lui, sans t'éloigner, p r o x i m i t é adorée, réclamée. revendiquée. « are you okay ? did he hurt you ? » mains qui p a l p e n t, cherchent, se mettent à retracer ses bras, ses épaules, son torse, pour ensuite remonter dans son cou, encadrer ses joues. « you should be more carefull when you come here... » inquiétude réelle malgré le sang froid avec lequel tu as gérée la situation, réussi à vous emmener jusqu'ici sans mal. « next time, let me dress you, okay ? »

20/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @syaoran strauss

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

Welcome to the playground - esquive, entre les corps pressés, dans le brouillard généré par la fumée ; il est fin, Zhao, il disparaît facilement. au fond de lui, les cendres de l'orphelin qu'il a été. réflexe de survie. mordre avant d'être mordu, frapper avant de l'être, la loi de la rue, celle qui l'avait bercé en son sein avant de le recracher aux portes dorées, cage qu'aucun oisillon ne souhaiterait quitter ;

sauf lui.

la paume ferme enserre son poignet, modifie sa trajectoire. dérape, puis glisse et se rattrape. il lui emboîte le pas sans se poser plus de question ; la confiance aveugle. astre diurne à sa rescousse et la garantie que sa soirée n'en sera que plus exaltante. enfin.

« did you really have to slash his face ? »
- is it a real question ?

l'insolence drapé sur le visage, alors qu'il repousse ses cheveux vers l'arrière. l'endocarde bat à un rythme effréné, il guette la porte, scrute la minuscule fenêtre avant de revenir vers lui. he insulted me. called me a fucking celestial. you know i hate that. parce qu'il ne l'est pas. un célestien. quand pourtant ses vêtements hurlent le contraire, que son air hautain ne lui rend pas service et qu'il se drape de mépris. fier, le menton qu'il porte haut et la colère, irradiant ses prunelles qui, soudain, viennent à l'encontre des siennes.

syaoran ; fracas des astres, de sa beauté hors-norme qui fait scandale, ses yeux aussi délicats que merveilleux, son petit nez retroussé et ses lèvres, qui s'étirent si souvent en un air gêné. il le connait par coeur, et s'il avait la capacité de rêver, lui ; il retracerait le moindre de ses traits à la perfection. i'm a healer, sya... voix morne, éteinte. i can take care of myself, you know ? provocation ; quand il avait bien envie qu'il prenne soin de lui. malice dans le regard, quand il s'amuse du brouhaha qui se rapproche de la pièce. il faut qu'ils se tirent. maintenant.

don't you wanna undress me now, instead ?

22/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @zhao kozuki

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

can you hear me ? how much i love you.

welcome to the playground. fuite, et la main qui se referme sur son poignet pour l'entraîner à ta suite, l'emmener là où il ne lui arrivera rien et vous enfermer dans cette pièce où personne n'est censé pouvoir pénétrer, s é c u r i t é relative alors que tu sais Syaoran, que bientôt, vous devrez à nouveau trouver un refuge. parce qu'ils ne lâcheront rien et que tant que vous serez ici, à leur merci, ils n'auront de relâche de vous trouver, pour lui faire payer. « is a real question, yes. » et les mains qui palpent, c h e r c h e n t, tentent de déceler la moindre blessure, la moindre douleur sur ses bras, son torse. « yes, he did. but you're not a prince of words ? » regard qui remonte le long de son cou, vient retrouver ses yeux pour s'y plonger, doucement t'y noyer, lui offrir une moue concernée, inquiète. « you could have just blurted out those words that only you know how to do, right ? » mains contre ses joues pour l'obliger à te regarder, à faire face à la réalité : maintenant qu'il vous a mis dans une merde sans nom, c'est toi qui va devoir gérer.

parce que cet endroit Syaoran, tu le connais par cœur. nombreuses nuit passées à observer, décortiquer et imaginer, besoin de savoir si ici ton business pourrait fonctionner. et même si personne ne sait qui tu es réellement, M o r p h e u s dont on a jamais vu le visage, il t'était indispensable Syaoran, de savoir si tu n'allais pas doit dans le mur, droit à la catastrophe. mais pour le moment, la catastrophe était ailleurs, de l'autre côté de cette porte verrouillée. « you're a heal but there, you should be more careful. » parce qu'il a beau dire Zhao, ici, l' a g r e s s i v i t é appelle l'agressivité et bien souvent, les altercation finissent par la mort. purement et simplement. « i don't want to find you hurt, or worse... » et ça Sya, tu ne le supporterait pas. de le perdre encore, de devoir vivre sans lui.

regard rapide vers l'extérieur et la grimace qui tord le visage, i n q u i é t u d e vorace jusqu'à ce que soudainement, la demande tombe, te force à te retourner pour le fixer, intensément ; comme s'il venait de dire la plus grosse ineptie de sa vie. « not now... » empressement, dans la voix, urgence d'une situation qu'il ne saisit pas Zhao, car s'il vous tombent dessus, c'est la fain. « we need to go. now. » et les doigts qui se glissent entre les siens, crochètent ses phalanges pour les lier aux tiennes et le forcer à te suivre alors que tu te diriges vers la sortie de secours, dédale de couloirs que peu de gens ici ont l'avantage de connaître. « you're lucky i live next door... » immense loft caché tout en haut de l'immeuble voisin, assurance que là bas, personne ne vous trouvera. et tu sourit Syaoran, de cette proposition qu'il vient de te faire, demande claire et net d'attention, d'un Zhao qui peine toujours à r é c l a m e r, préférant toujours ordonner plutôt que d'avouer ses envies, ses émotions. « i'll undress you where we're safe, don't worry... »

20/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @syaoran strauss

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

Welcome to the playground - aux piètres remontrances, ne renvoyait il qu'une accablante nonchalance ; Zhao, aux allures de prince rebelle à planifier le renversement de la société. ça commençait ici, à chaque seconde, dans les bas fonds crasseux de la cité lumière. he wouldn't have understood. les mots, l'ironie ou encore le sarcasme. ici, seuls les poings fonctionnaient réellement lorsqu'on voulait se faire comprendre. il le savait. Syaoran aussi. i am no prince here. either i am one behind the wall. et si cela pouvait sembler réducteur, il ne l'entendait pas de cette oreille. un prince avait des obligations ; un orphelin n'était redevable de personne. lequel est le plus libre ?

stop it, i'm fine. pousse-t-il un soupir d'exaspération en repoussant ses mains qui le palpent comme s'il était une petite chose fragile - réducteur. évidemment, Syaoran ne le faisait pas avec cette intention, sa petite ride du lion prononcée indiquait qu'il était inquiet. worse like what, sya ? you're the one living here. celui qu'il ne pouvait pas sauver, c'était lui. resté dans la basse-ville, à souffrir du mépris des autres. il était plus en danger que lui. peut-être.

les pas se rapprochent, ce n'est plus qu'une question de seconde avant que la porte ne cède sous l'assaut de leurs poursuivants. mais Zhao sourit, provoque Syaoran et s'amuse de sa réaction. qu'il aimait titiller le diable, avec déraison.

les doigts s'enroulent autour des siens, la course reprend. dans les dédales du quartier aux reflets changeants, il le suit sans se poser de question. Sya sait où il va. ouuh... lucky you're taking me at yours... rire taquin, et l'envie qui déjà, déborde. flirts avec la mort pour mieux ressentir, il heurte son torse en arrivant devant l'entrée de l'immeuble. i got no worries... you know perfectly how to undress me... concupiscence croissante au fond des iris, alors qu'il reste, alangui, contre lui.

22/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @zhao kozuki

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

can you hear me ? how much i love you.

welcome to the playground. nonchalance flagrante, pragmatisme à la fois accablant et a f f o l a n t, d'un Zhao qui sait parfaitement comment les choses se passent par ici, bas fond où la violence appelle la violence et où règne la loi du plus fort ; Ketterdam pourtant largement aseptisée comparée à la triste réalité d'une Zaun en proie au c h a o, à l'ignorance.

marche, ou crève.

et tu le sais aussi bien que lui Syaoran. que c'était la seule solutions possible. que même avec des mots, cette brute épaisse n'aurait rien compris. « i know... but... slash his face ? more dangerous than anything... » soupir s'échappe de tes lèvres alors qu'il réfute chacun de tes mots, Zhao qui ne s'est jamais considéré comme un prince, quand bien même là bas, à Celestia, c'était parfois le cas. « but you are... » et la phrase qui reste en suspend, quand lui avouer que le roi de tes rêves n'est nul autre que lui trahirait chacun de tes sentiments, amour muselé par une trop grand fierté, incapacité crasse face à cette terrible réalité, de ton cœur à jamais lié au sien, âme sœur dont tu ne peux plus te passer et les heures passées loin de lui qui deviennent, peu à peu, t o r t u r e difficile à gérer, à aborder et ce, à chaque fois qu'il retourne là bas.

stop it i'm fine. il déteste ça. il a toujours détesté ça. ride du lion accentuée par son rejet, endocarde qui ne cesse de se f i s s u r e r sans que tu ne puisses rien y faire alors que tes mains retombent de chaque côté de ton corps et que tu l'observes quelques seconde, tes grands yeux emprunt d'une douleur qu'il ne remarquera pas vraiment Zhao, amant bien trop fixé sur cette réalité qui ne cesse de vous séparer, peut importe les efforts que les efforts déployés. « you know perfectly what i'm saying. » or worse. m o r t. disparu. définitivement arraché de ton existence. « yes i live here and i know how save myself. » mots bien plus durs que tu ne l'aurais pensé et le ton qui claque dans l'atmosphère comme une sorte d'avertissement, une mise en garde masqué, quand pour toi, vivre sans lui relève de l'impossible.

mais vous n'avez plus le temps Syaoran. discussion coupée court par les bruits de pas qui se rapprochent, les coups pour faire céder la porte et voilà que tu l' e m p o r t e à ta suite Zhao, les doigts fermement liés aux siens pour t'assurer qu'il ne te lâche pas, qu'il ne se décide pas à partir de son côté pour tenter de les semer et peut-être, te donner une chance de t'en sortir sans dommages. mais tu ne le laissera pas. jamais.

course poursuite rapidement transformée en simple course lorsque tu te rends compte que vous avez réussi, que vos poursuivants vous ont perdus, ne vous retrouveront pas de sitôt. les pas qui ralentissent à l'approche de l'immeuble, le souffle est court, l'endocarde pulse v i o l e m m e n t dans la poitrine, heurte sans ménagement les poumons devenus douloureux. mais tu ne le lâches toujours pas Zhao, refus catégorique de le voir s'éloigner ne serait ce que de quelques mètres, quelques centimètres. « but you know him well... » mouvement pour ouvrir la porte usée du bâtiment et dans l'instant, le corps de Zhao qui vient heurter le tien, s'y coller pour te pousser à le réceptionner, tout en reculant précipitamment sous la surprise, proximité à laquelle tu ne t'attendais pas, du moins, pas ici, pas comme ça. « Zhao ? » le dos qui claque lourdement contre le mur à côté du vieil ascenseur alors que tes bras enserrent sa taille, que tes prunelles claire viennent se p e r d r e à n'en plus finir au fond de son regard empli de désir, concupiscence visible à des kilomètres à la ronde, à t'en arracher frissons sur frissons, sans que jamais le calme ne revienne. « do u want me to undress you right here ? » murmure au creux de son oreille et pourtant, les mains qui se glissent déjà sous ses vêtement, viennent effleurer sa peau à la douceur enivrante, retraçant morceaux par morceaux la ligne de son dos, tout en gardant son bassin fermement plaqué contre le tien, gestes à la lenteur calculée, exacerbée. « kiss me... baby... kiss me... »

20/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @syaoran strauss

vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

Welcome to the playground - au jeu du chat et de la souris, il savait se faire tour à tour rongeur et félin, esquivant les coups de griffes avec agilité avant de devenir traqueur de sa proie. l'art du changement, aux variations aussi déroutantes que déplaisantes pour un Syaoran qui trop souvent, s'en retrouvait délaissé, allait de paire avec la conquête d'un monde qui lui avait causé beaucoup trop de torts. là où il se voulait justicier des inégalités, Syaoran aurait sûrement souhaité qu'il se montre plus égoïste et se préoccupe davantage de leur bonheur, au lieu de courir après un leurre... et ce n'était pas tant qu'il n'en avait pas conscience, mais plutôt une histoire de fierté ou de devoir qu'il s'était imposé jeune et qui dictait sa conduite désormais (et excusait toutes ses fautes).

Zhao ? What ? fusion, qu'il recherche. dans la provocation, dans les gestes. corps collé contre les siens, et le sourire taquin ; de le voir ainsi s'affoler pour rien. I'm curious, baby... What would you have done if he'd hit me ? aux caprices dignes d'un vrai prince, quand l'exaltation trouvait sa source dans les shots d'adrénaline. il est dit qu'ils en sont tous accros, ici. frôler le danger pour mieux réussir à respirer.

étrangement, il ne le rejette pas, le laisse toucher ce corps soigné, robuste et en pleine santé. car il le veut à sa merci. Would you take the risk of being seen naked ? il sait bien que non. Syaoran, trop possessif pour accepter de le partager avec quiconque, quand bien même il ne lui a jamais accordé aucun signe d'exclusivité. relation cachée, masquée aux yeux de tous et Zhao qui ne laisse rien filtrer, aucune indication sur ses sentiments. jamais.

des frissons dévalent son échine, et la cambrure naturelle de ses reins sollicitent davantage son toucher quand il sent son excitation, dure, contre son aine. You're already so hard, baby. il ne pouvait ni le nier, ni le cacher. et à sa requête, il attrape son menton entre deux doigts, le jauge du regard comme s'il avait le pouvoir de le rejeter (il aime le lui faire penser). Not sure you deserve it... pour le frustrer davantage, avant de le faire fondre sous sa langue. baiser avide, cupide, de celui qui prend son dû avec fermeté, tout en le poussant vers la porte de son loft. et il n'avouera pas, Zhao, qu'il n'y a que Syaoran qui puisse lui faire ressentir ces choses, que seuls ses baisers ont un goût d'éternité, que son odeur transporte des subtiles fragrances de fleurs aux propriétés lumineuses, que son toucher le fait vibrer jusqu'aux tréfonds de sa personne et qu'il se damnerait pour le savoir toujours en sécurité.

Let me treat you right... la porte claque dans leur dos, quand leurs gestes se coordonnent. à la va-vite, empressés. une veste tombe, une chaussure la suit. quelques mètres plus loin, c'est au tour d'un pantalon. un bracelet. le manteau, enfin. la seconde chaussure finit par trouver le sol aussi. et la course se termine lorsqu'ils sont enfin nus, sur le canapé, à recouvrir leurs corps laiteux de leurs mains aventureuses.

22/08/2022

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vulgarités, un peu de sang, un peu de drogue, maybe un peu de sexe

can you hear me ? how much i love you.

welcome to the playground. aux fluctuations d'un Zhao toujours c h a n g e a n t qui ne tient pas en place, amant sous l'égide d'une mission qu'il s'était lui même donné, healer qui espère pouvoir tous les sauver, allant même jusqu'à s'en oublier lui même et parfois, peut-être à t'oublier, toi. désir d'équité qu'il met si souvent en avant pour excuser les fautes commises, toutes ces fois où il n'était pas là et toi, l'enfant dreamer à l'égoïsme sans bornes, tu as bien du mal Syaoran, à ne serait-ce qu'accepter cette réalité, d'un Zhao qui ne sera jamais tien, du moins pas entièrement.

carcasse collée à la tienne, endocarde affolé, incapable de se calmer et la poitrine qui réclame, de ce m a n q u e de plus en plus dur à gérer, esprit inventif et florissant et l'imagination qui bat son plein, fait son chemin. est ce qu'un jour, tu finira par me laisser ? crainte terrible d'être au final a b a n d o n n é, laissé de côté. tu peine Syaoran. à faire avec. à composer avec cette situation. à le laisser partir, puis revenir. what would you have done if he'd hit me ? les yeux qui s'agrandissent de surprise face à sa question, toi qui n'y avait pas vraiment réfléchit, toi qui t'étais contenté de l'emmener avec toi, f u i t e honteuse jusqu'à ton appartement. « i don't know ? » court instant pour réfléchir, lui servir une réponse sincère. « maybe kill him ? » parce que tu ne supportes pas Sya, que l'on touche à Zhao. jalousie quasi maladive, quand les quelques années où vous avez été séparés a fait naître en toi une possessivité sans bornes, crainte traumatisante d'un jour encore, avoir à survivre à sa disparition. et si cette fois tu aurais pu (aurais dû) le r e j e t t e r, tu n'y parviens pas Syaoran, alors que ton dos claque contre le mur, poumons vidés de tout leur contenu d'un coup et les mains qui se font possessives, gourmandes. « never... » à quoi bon tergiverser ?

« you're mine. no one should be able to see you naked, except me. » parce qu'un jour, il partira. tu le sais. au fond de toi, tu sais qu'il s'en ira, loin de toi. Zhao bien trop éprit de sa liberté et bien souvent, l'impression de n'être qu'un point de chute, une accalmie brève dans la tempête quand tu voudrais plus, cœur éperdument a m o u r e u x qui se voudrait phare dans sa tempête, point d'ancrage et de chute. sauf que tu ne le lui dera jamais, qu'il ne l'acceptera sans doute jamais.

alors tu le réclame Syaoran. si fort qu'il lui est facile de constater à quel point tu peux le désirer, excitation si dure contre son aine, à t'en filer des milliers de frissons à chaque frottement, chaque mouvement. « i'm always hard for you... » tu minaudes Sya, alors que tu lui réclames un baiser sans cesser de caresser son dos, phalanges affamées à la recherche de sa peau, besoin irrépressible de contacts et le manque qui ne cesse de se rappeler à toi, hante ton esprit, fait si souvent divaguer tes pensées. « but i juste saved your fucking ass... » plainte et la f r u s t r a t i o n qui entre en jeu, de ces mots joueurs qui te font toujours câbler, gémissement presque plaintif échappé, quand parfois, tu pourrais presque en arriver à trépigner, émotions si dure à montrer.

parce qu'il est celui qui mène la danse

Zhao bien trop heureux de savoir exactement comment te faire flancher, comment te rendre fou avant de te faire sombrer la seconde d'après, connaissance parfaite de ton mode de fonctionnement et voilà qu'il lit en toi comme dans un livre ouvert ; provoque p a n i q u e et craintes ; quand te rejeter serait si facile, si amusant.

baiser f u s i o n et sa langue qui retrouve subitement la tienne, provoque mille sensations, mille frissons et soudainement, la déconnexion. l'esprit qui s'embrouille, les doigts qui s'accrochent à lui, dépendance terrible contre laquelle tu ne peux pas ne veux pas lutter et ses mots qui pourraient te faire pleurer, sombrer, gémir et supplier, tout ça à la fois. let me treat you right... langueur absente et les gestes qui s'affolent, les vêtements qui volent, peinent à abandonner vos corps, vous laisser libre accès à la peau de l'autre, font monter la frustration, à t'en rendre complètement fou, intenable. « love me... just for once... please... love me... » appel désespoir lorsque vos corps s'effondrent sur le canapé, que tes mains ne cessent de parcourir sa peau, recherche frénétique de proximité, de contacts et de tout ce qui pourra te conforter dans l'idée que Zhao est à toi, que jamais il ne t'abandonnera.

20/08/2022

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31.03.23 ↠ playground ↠ with / @syaoran strauss

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Welcome to the playground - il se gardera bien de lui dire que personne n'avait la chance de le voir nu à part lui, préférant garder le mystère plein et entier sur ses fréquentations célestiennes. c'était malsain que de le vouloir jaloux, mais c'était ainsi que Syaoran lui prouvait son attachement, et Zhao ne s'en lassait pas vraiment. ô combien même ses crises jalousie pouvaient le rendre fou et l'énerver, elles lui criaient aussi son amour au visage et venait confortait son besoin d'attention. car si jamais il lui avouait tout, ne le trouverait-il pas bien fade finalement ? de l'abandon, il avait peur ; et dans sa quête de reconnaissance, il ne voyait pas à quel point, il pouvait lui faire du mal. ou alors il choisissait sciemment de l'ignorer.

Only you in my world.

22/08/2022

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can you hear me ? how much i love you.

welcome to the playground. besoin maladif de le garder près de toi né de cette c r a i n t e traumatisante d'être à nouveau séparé de lui, souvenirs terrifiants de son dos qui s'éloigne, emporté par les pacifieurs, enlevé par l'armée. healer. et il se devait de rejoindre l'ordre Zhao, laissant derrière lui sa vie, son enfance et cet avenir sombre qui aurait été le sien s'il ne s'était pas fait repérer, attraper. et c'est uniquement pour ça Syaoran ; que tu ne supporte pas l'idée qu'il puisse allez voir ailleurs, jalousie entêtante et les sentiments qui s'étalent un peu partout autour de toi, alors que ton cœur ne cesse d'appeler le sien, amour vain. alors tu t'offres à lui Syaoran. sans concessions, sans hésitations. parce qu'à tes yeux, il n'y a que lui.

hate the way you lie - syhao#1

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Gifted, healer

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Objets

Bracelet Rêvé

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Talisman porte bonheur

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childhood

soulmate

passion

eternity

MOT CLÉ

MOT CLÉ

MOT CLÉ

MOT CLÉ

pain

growth

fear

tenderness

soft

healer

flower boy

help

strengh

vengeance

power

trust

OFF

Iron Gates Academy

Midrias

RP ON

Embers and ashes

Zaun

OFF

Paradise Road

Zaun

OFF

Iron Gates Academy

Midrias

OFF

Last stop

Ketterdam

OFF

Iron Gates Academy

Midrias

OFF

Demeure Saranto, chambre de Zhao

Célestia

RP ON

Playground

Ketterdam

RP ON

At Sya's loft

Zaun

RP ON

Iron Gates Academy, Healers' Order

Midrias

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