if you could fly (greylord)
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Alors que le cours se termine au même titre que cette journée à l’académie, la demoiselle semble concentrée sur l’état de ses mains. Fragilisée par les travaux pratiques et les températures glaciales dominant l’ensemble de Vélaris depuis des semaines, elle récupère une crème dans le tiroir de son bureau. Le tube touche à sa fin, provoquant un soupir à cette fille d’habitude enthousiaste. Si elle n’a pas besoin de se rendre à Célestia pour effectuer son stage ce soir, d’autres aventures l’attendent et l’empêchent de s’arrêter dans une boutique. Têtue comme elle est, Aelia ne peut pas déléguer les soins à prodiguer sur ses squealies et les alimenter. Tout le monde est occupé en ce moment. La fatigue se lit sur tous les visages et le sien ne fait pas exception. Rare constat qui touche le dynamisme de l’étudiante, elle qui a du mal à quitter son lit éphémère quand le réveil décide de rompre ses rêveries. S’étirant en baillant, le professeur lui laisse pour consigne de ranger et fermer la pièce. Apparemment, celui-ci se venge du comportement plus ou moins discutable d’Aelia. Ou peut-être de son quartier de résidence et de son statut. Elle n‘était pas dotée de pouvoir, ni de don. Une simple humaine n’intéresse plus grand monde mais c’était sûrement la meilleure option pour sa survie et leurs santés mentales. Se défendre est certainement l’occupation préférée de la demoiselle. Enfin, ces temps-ci, chacun exprime ses valeurs, d’autres n’oublient pas de rappeler la hiérarchie aux supposés gueux. Mais elle ne braille pas, bien que l’idée de vider le contenu de la poubelle sur son bureau personnel réveille une once d’excitation chez la jeune femme. Malheureusement ou non, la belle a d’autres chats à fouetter. Un phénomène rare se concrétise quand elle quitte la pièce après avoir verrouillé la porte. Il ne faudrait pas que des voleurs récupèrent les chefs d’œuvre de ses fils à papa.
Avec cette belle perte de temps, elle ne pourra pas apercevoir son voisin avant de s’échapper vers ces horizons devenus quotidiens. Sa compagnie doit certainement beaucoup lui manquer. Qui peut lui raconter des blagues aussi bonnes que les siennes ? Personne. Qui peut être aussi collante qu’elle ? Personne. Greylord devrait donc saisir cette opportunité pour pouvoir respirer et rencontrer de nouvelles personnes, si son cœur veut bien se prêter au jeu - même si ça semble compromis -. Elle, de son côté, serait contente de pouvoir se balader avec lui. Rentrer chez elle aussi mais avec une telle activité, la demoiselle a des responsabilités, qui contribuent à un retard sur ses restaurations. Cette histoire n’a pas de fin. Se disant que Grey n’était plus dans les parages, elle quitte l’Iron Gates Academy et se dirige vers une zone plus au nord de Midrias. Les minutes passent tranquillement avant d’être dérangée par une drôle de sensation, son casque audio sur les oreilles. Si elle n’a pas un squealy à portée de main pour signaler un danger, elle s’arme de sa bombe de peinture – qu'elle utilise pour le street art – et appuie sur le spray en se retournant violemment. Mais Aelia Pankratz est connue pour être un boulet et risque de rater sa cible.
Avec cette belle perte de temps, elle ne pourra pas apercevoir son voisin avant de s’échapper vers ces horizons devenus quotidiens. Sa compagnie doit certainement beaucoup lui manquer. Qui peut lui raconter des blagues aussi bonnes que les siennes ? Personne. Qui peut être aussi collante qu’elle ? Personne. Greylord devrait donc saisir cette opportunité pour pouvoir respirer et rencontrer de nouvelles personnes, si son cœur veut bien se prêter au jeu - même si ça semble compromis -. Elle, de son côté, serait contente de pouvoir se balader avec lui. Rentrer chez elle aussi mais avec une telle activité, la demoiselle a des responsabilités, qui contribuent à un retard sur ses restaurations. Cette histoire n’a pas de fin. Se disant que Grey n’était plus dans les parages, elle quitte l’Iron Gates Academy et se dirige vers une zone plus au nord de Midrias. Les minutes passent tranquillement avant d’être dérangée par une drôle de sensation, son casque audio sur les oreilles. Si elle n’a pas un squealy à portée de main pour signaler un danger, elle s’arme de sa bombe de peinture – qu'elle utilise pour le street art – et appuie sur le spray en se retournant violemment. Mais Aelia Pankratz est connue pour être un boulet et risque de rater sa cible.
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Janvier 2023 ↠ Midrias
with / @Aelia Pankratz Depuis qu’il réside à Ketterdam et s’habitue lentement mais surement à la vie d’indépendance loin de ses parents, Grey n’a pas eu l’occasion de créer beaucoup d’amitiés. Certes, il a autrefois été un mec assez populaire, sauf que ça lui semble littéralement avoir été dans une autre vie tellement les choses ont changées. Par mesure de précaution et aussi pour ne pas trop attirer l’attention sur lui, l’étudiant de l’académie d’Iron Gates s’est volontairement mis à l’écart au niveau social. Une personne en particulier est venue briser cette règle, sans même s’en rendre compte, probablement. Aelia s’est imposée dans sa nouvelle vie solitaire, au point où le jeune homme n’a pas été en mesure de l’ignorer davantage. Si ça semble négatif décrit ainsi, c’est pourtant une amitié sincère et bienvenue qui s’est formée entre les deux pies. Puisque, l’un comme l’autre, ils bavardent pendant des heures et des heures sans manquer de sujets de conversations. Puis, elle est également sa voisine, une agréable coïncidence qui justifie leur chemin du retour à Ketterdam ensemble. L’habitude s’est installée et s’est désormais presque traditionnel de l’avoir en sa compagnie après leur journée à l’académie. Ainsi, lorsque la jeune demoiselle s’est mise à s’absenter de leur routine sans explication, naturellement le loup l’a remarqué. Si seulement l’absence avait été unique, l’inquiétude ne se serait pas mêlée de cette histoire. Sauf que cela devient de plus en plus régulier et maintenant Grey ne la croise presque plus. Que se passe t-il? Est-ce en lien avec lorsqu’elle avait perdu sa voix, il y a maintenant un an. Le brun se remémore encore si clairement la panique dans les yeux d’Aelia lorsqu’elle est venue chercher de l’aide et du réconfort après cette histoire. Même si Grey n’est pas au courant des moindres détails de ce moment traumatisant, en partie puisque Aelia était muette, il garde à l’esprit que quelque chose de pire pourrait un jour arriver à sa seule véritable amie à Ketterdam. Si l’angoisse n’avait jamais eu rien pour la nourrir avant, désormais qu’il voit la plus jeune manquer à l’appel si fréquemment, son instinct lui dicte d’agir. D’abord, il lui faut savoir où va Aelia en secret. Son plan s’arrête après la filature, car il n’a absolument aucune idée dans quoi il s’embarque et s’il sera en mesure de la suivre. Qui sait s’il ne va pas tomber dans un lieu où les loup-garou sont physiquement incapable de pénétrer. Pour avoir vu la magie et les fléaux à l’œuvre, il sait que les limites ne sont parfois qu’une illusion.
Ainsi, Grey veille par la fenêtre afin de surveiller quand Aelia va quitter le local de cours. Le professeur l’a gardé pour corvée de nettoyage et si d’ordinaire cela irrite le duo dépourvu de pouvoir ou de don, cette fois il est content d'arriver à garder un œil sur son amie dès sa sortie de l’académie. Il a beau être un loup désormais, le jeune homme n’est pas du tout doué pour la filature. Il l'a démontré déjà quelques fois récemment et toujours à Midrias étrangement, voilà un bien étrange mois de janvier! Lui qui sait pertinemment que sa présence dans la haute-ville dérange et pourrait lui apporter des ennuies, voilà qu’il y traîne encore une fois. Un jour, Grey va réellement se faire choper et ça lui servira de leçon! Ses pensées chaotiques font en sorte qu’il piste Aelia de bien trop près. C’est donc assurer qu’il finira par se faire repérer tôt ou tard. Tôt, dans le cas présent. La demoiselle se retourne subitement et un jet de peinture en spray vient coloré orange un cercle de tissu de la manche du louveteau. Sous la surprise, le voilà qui lâche un petit hoquet, avant de lever son bras pour voir la peinture fraiche sur sa veste. « Hey mais pourquoi tu as fait ça! » Il râle, venant étendre la peinture en frottant avec ses doigts. Il fait pire que mieux et cela le pousse à poursuivre ses plaintes exagérées. « Aeliaaa, tu es méchante! Moi je voulais juste savoir pourquoi tu ne veux plus faire le chemin du retour avec moi! Et pourquoi tu n’es presque plus jamais là! Je commence à m’inquiéter, moi! Mais c’est pas une raison pour m’attaquer! » Comme un gamin, il commence à bouder en croisant les bras sur sa poitrine. Grey regarde même dans une autre direction volontairement, signe qu’il est déçu, mais pas réellement fâché. Après tout, il la suivait de trop près, c’est de sa faute à lui… mais ça, il préfère ne pas l’avouer si facilement.
Ainsi, Grey veille par la fenêtre afin de surveiller quand Aelia va quitter le local de cours. Le professeur l’a gardé pour corvée de nettoyage et si d’ordinaire cela irrite le duo dépourvu de pouvoir ou de don, cette fois il est content d'arriver à garder un œil sur son amie dès sa sortie de l’académie. Il a beau être un loup désormais, le jeune homme n’est pas du tout doué pour la filature. Il l'a démontré déjà quelques fois récemment et toujours à Midrias étrangement, voilà un bien étrange mois de janvier! Lui qui sait pertinemment que sa présence dans la haute-ville dérange et pourrait lui apporter des ennuies, voilà qu’il y traîne encore une fois. Un jour, Grey va réellement se faire choper et ça lui servira de leçon! Ses pensées chaotiques font en sorte qu’il piste Aelia de bien trop près. C’est donc assurer qu’il finira par se faire repérer tôt ou tard. Tôt, dans le cas présent. La demoiselle se retourne subitement et un jet de peinture en spray vient coloré orange un cercle de tissu de la manche du louveteau. Sous la surprise, le voilà qui lâche un petit hoquet, avant de lever son bras pour voir la peinture fraiche sur sa veste. « Hey mais pourquoi tu as fait ça! » Il râle, venant étendre la peinture en frottant avec ses doigts. Il fait pire que mieux et cela le pousse à poursuivre ses plaintes exagérées. « Aeliaaa, tu es méchante! Moi je voulais juste savoir pourquoi tu ne veux plus faire le chemin du retour avec moi! Et pourquoi tu n’es presque plus jamais là! Je commence à m’inquiéter, moi! Mais c’est pas une raison pour m’attaquer! » Comme un gamin, il commence à bouder en croisant les bras sur sa poitrine. Grey regarde même dans une autre direction volontairement, signe qu’il est déçu, mais pas réellement fâché. Après tout, il la suivait de trop près, c’est de sa faute à lui… mais ça, il préfère ne pas l’avouer si facilement.
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S’aventurer dans les ruelles de Midrias devrait rimer la tranquillité. Mais, en étant élevée depuis toujours dans le quartier voisin, la demoiselle a dû apprendre certains réflexes. Les vols et les activités illicites sont monnaie courante dans les bas quartiers, et, en plus, elle a le malheur d’être une femme. Ainsi, elle a développé un radar qui lui permet de ressentir la présence d’autres personnes qui se tiennent non loin d’elle. Aujourd’hui ne fait pas exception mais Aelia n’a pas songé à prendre son spray à poivres dans son sac en mains. Pour une fois qu’elle pourrait rentabiliser son achat, voici qu’elle préfère gâcher de la peinture pour troubler la vue de son agresseur ! Elle ne prend pas la peine de l’identifier avant de secouer la bombe, avec discrétion. Si certains voisins se plaignent de son style d’art, l’inconnu aurait, lui, toutes les bonnes raisons de geindre. Dans sa générosité absolue, Aelia a opté pour la couleur orange. Si son attention première était de lui refaire le portrait, cette teinte permettra au voyou d’avoir un effet bonne mine en plein milieu de l’hiver. Pour cela, elle va devoir viser son visage. Se retournant, elle appuie sur le bouton et jette un regard sombre au garçon, qui devrait se pétrifier de peur. Malheureusement, elle réalise que son ciblage n’est pas aussi précis que prévu. Un visage intact contrairement à la manche d’une veste qui n’a rien demandé, si ce n’est peut-être changer de propriétaire. D’ailleurs, en parlant de propriétaire, c’est avec un temps de retard que la demoiselle l’identifie. Elle articule en lâchant la peinture au sol. “ Oh mon dieu. “ L’étudiante est étonnée de voir son voisin ici. Voilà qu’elle vient tout juste d’agresser son ami dans une confusion certaine. Mais pourquoi est-il dans les parages ? Est-ce qu’il a déménagé ? Bon sang, elle ne l’a pas vu pendant des semaines mais de là, à changer d’adresse, c’est tout bonnement surprenant ! Elle le regarde gênée tandis que son petit cœur tout mou commence à battre. Il s’est inquiété pour elle ? Elle avait manqué à Grey comme sa présence et son soutien lui avaient marqué ces derniers temps ? Un sourire se dessine sur ses lèvres. Ce n’était pas dans ses intentions d’être méchante, ni de provoquer de tels sentiments à son camarade. Depuis qu’ils se sont croisés à Ketterdam, Aelia lui fait une confiance aveugle alors pourquoi n’a-t-elle rien dit ? Greylord avait été une épaule sur laquelle elle avait pu pleurer quand elle a perdu sa voix et surtout son premier squealy. Une part de culpabilité l’envahit. “ Je suis désolée, je ne savais pas que c’était toi ! Je pensais qu’on me voulait du mal... Alors j’ai voulu me défendre ! Pourquoi tu ne m’as pas interpelé toi aussi. “ C’est évident, non ? Ou cherche-t-il à découvrir son secret ? “ J’aurais dû te prévenir mais j’ai été pas mal préoccupée et je n’avais pas envie de te déranger. “ La Pankratz aurait pu trouver une meilleure excuse franchement. Pourtant, ses airs boudeurs attendrissent peu à peu la jeune femme mais c’est sans compter sur ses yeux qui zieutent la tâche orange. Si celle-ci avait fini sur la manche de sa veste, il avait commis une nouvelle erreur entre temps. “ Ce n’était pas l’idée du siècle de croiser tes bras... Tu sais. “ Elle mordille sa lèvre inférieure et désigne son torse d’un mouvement de menton. “ Je crois que tu as tâché encore plus ta veste avec la... peinture fraîche. “ Et la garce se met à rire, moqueuse. “ Sauf si tu aimes vraiment cette couleur. Dans ce cas, je peux te laisser la bombe pour me racheter. “ Et lui laisser la possibilité de se venger ? Décidément, être malin ne semble pas être une qualité du duo.
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Janvier 2023 ↠ Midrias
with / @Aelia Pankratz Pour un chien, enfin un loup, Grey est vraiment un très mauvais pisteur! C’est pourtant évident qu’en la suivant de trop près elle allait finir par non seulement remarquer sa présence, mais aussi réagir à sa gentille petite approche non-discrète. Le jeune homme a aussi eu la mauvaise expérience avec Xeno il y a quelques jours à peine! Ainsi, c’était prévisible. Très prévisible. Il faut croire que l’homme-garou n’apprend pas de ses erreurs et les répète presque aussitôt. Cette fois, un spot de peinture en spray est sa conséquence. C’est mieux qu’un coup de poing en pleine tronche. Boudeur comme il est, c’est excessivement qu’il le fait savoir à Aelia. Sa bouche demeure dans une moue enfantine tandis qu’il écoute les justifications de son amie. Il finit par soupirer, incapable de rester en colère bien longtemps de toute façon. « Tu ne déranges jamais, je te l’ai déjà dis, petite tête. Je suis aussi discret qu’un homme orchestre, donc c’était à prévoir que tu allais finir par me remarquer. Je sais bien que j’aurais dû t’interpeler, sauf que je ne voulais pas que tu me sortes que "tout va bien" et que ça continue ta, ton, ce que tu fais et que j’ignore. » À défaut de savoir ce que c’est, Grey exprime cela maladroitement avec des grands gestes des bras. Lorsque Aelia se moque de lui et de sa veste complètement ruinée par la peinture suite à sa propre intervention (à force d’y toucher et de l’étendre), l’autre lui répond avec une grimace. « C’est pas de ma faute si la peinture est si liquide! Ça se répand partout! Regarde mes doigts! » Il ouvre ses paumes orangés et les montre à Aelia en les mettant bien près de son nez volontairement. « Garde ta bombe! Au cas où un autre mec nul en filature s’approche. Je n’aimais pas cette veste de toute façon. » Faux. C’est la seule veste que l’étudiant en médecine possède et qu’il porte toujours, donc. Du temps qu’il vivait avec ses parents, l’argent ne manquait pas donc ça n’avait aucune importance. Mais maintenant qu’il compte chaque sou avec précaution, il n’a pas les moyens de s’en acheter une nouvelle. Pour prouver que ce n’est pas très grave, Grey retire le vêtement et le remue dans le vide quelques coups afin de terminer de sécher la peinture. Ensuite, il retourne la veste sur elle-même et porte le tout à l’envers, mais pas d'orange fluo de visible. « Voilà, réparé. » Indique le plus vieux en cessant enfin de bouder comme un gamin mal élevé. « Montre moi ce que tu caches, maintenant. Tu vas où, au juste? Pitié ne me dit pas une bibliothèque parce que je me retiens de parler depuis des semaines puisque tu n’es plus là. Faut que ça sorte! » Le louveteau lui fait un signe de la main pour qu’elle prenne les devants afin qu’ils ne demeurent pas trop longtemps sans bouger. Il est toujours conscient qu’ils sont à Midrias et qu’il n’a pas le droit d’y être. Sauf que ça, Aelia l’ignore. Il ne lui a encore jamais dit pour ses parents, pour la bête coincée dans son corps qui a détruit sa vie il y a presque trois ans. La jeune femme sait seulement qu’il a déjà résidé dans ce quartier riche, sans plus. Puisque c’était beaucoup trop ardu de lui cacher complètement qui il était, son éducation bourgeoise, son absence de connaissances de la basse-ville. « C’est loin? » Il exprime d’un coup, retrouvant si naturellement ses airs de gamin bien qu’il soit le plus vieux des deux. Grey est un peu impatient, surtout que ça fait un moment déjà qu’il se demande ce que Aelia fait en secret. Au moins maintenant il a de la compagnie. Il peut parler. Le silence est tellement ennuyant!
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Pourquoi Greylord Brendy et Aelia Pankratz sont-ils devenus amis ?
Ils sont tous les deux dérangés. La logique est un concept abstrait et les deux bavards créent toujours des situations inédites avec leur génie incompris. Il est vrai que la demoiselle est gênée de l’avoir aspergé de peinture mais en même temps, c’est tellement grotesque qu’elle ne parvient pas à s’empêcher de rire. Personne n’est mort, si ce n’est la honte elle-même. Elle fait la moue. “ Tu crois que je pourrais te mentir ? “ Ce n’est pas une question piège. La jeune femme aime être positive. Elle n’aurait jamais cherché à dissimuler la vérité mais il est vrai qu’elle aurait arrondi les angles. C’est dans sa nature de ne pas trop s’inquiéter. Elle fait de son maximum... Mais d’un autre côté, Greylord est certainement la personne à laquelle elle s’est confiée le plus, ces derniers temps. Non pas qu’elle ne fasse pas confiance à ses proches, mais disons que tout lui semble naturel quand elle est en sa compagnie. Elle l’apprécie car par moment, elle a l’impression qu’il est bien le seul à pouvoir la comprendre. Elle et ses idées de génie. Un léger sourire se dessine sur ses lèvres, touchée par son inquiétude. L’étudiante l’observe faire des grands mouvements avant de ruiner sa veste. “ Hey, je t’interdis de critiquer ma peinture ! “ Liquide, liquide, il ne faut pas exagérer. Par principe, elle n’est pas censée s’écouler partout comme elle n’est pas censée finir sur les vestes des gens. Un air dégouté fait froncer ses sourcils quand Grey la menace avec la peinture orange. Elle recule d’un pas ou deux. “ Non non.. Je te crois hein. Vraiment trop nulle cette peinture !!! “ Tous les voyants d’alerte sont allumés avant que son cœur prenne une pause quand son camarade décide de jouer les apprentis fashionnistas. “ Tu rigoles ? Tu la portes tous les jours depuis que je te connais. Je me suis toujours demandée si tu prenais le temps de la laver... “ Elle jette un coup d’oeil sur la veste sacrifiée. Aelia lui en doit une maintenant... “ En plus, t’étais mignon avec. “ Elle mordille sa lèvre inférieure et se dit qu’à leur prochaine sortie, elle lui offrira une nouvelle veste. Elan a sûrement une veste de trop dans son dressing... Et si un étudiant oublie sa veste à la bibliothèque, la Pankratz pourrait devenir une voleuse.
D’ailleurs, en parlant de bibliothèque, le Greylord n’est pas partisan de s’y rendre. “Tu t’es retenu de parler pendant des semaines ? Le pronostic vital est engagé !!! “ Mais elle n’a pas sa trousse de secours dans son sac. “ Parle-moi, Grey. Raconte-moi tous tes malheurs... Raconte-moi les fois où tu as entouré toutes les dates du calendrier pour compter le nombre de jours où j’étais absente dans ta précieuse vie. “ Elle exagère bien entendu. Aelia prend ensuite son bras. “ Il nous faut au moins 45 minutes de marche. Aller. Tu es endurant, j’espère ? “ Pour marcher 45 minutes, ce n’est pas non plus sorcier. Elle prend un ton plus sérieux. “ Est-ce que je t’ai déjà parlé de mon grand-père ? “ Oui, à maintes reprises. La demoiselle vante les mérites de sa famille toutes les dix secondes. “ Je me rends dans son champ tous les soirs maintenant. Je surveille et j’apporte de la nourriture aux squealies... Maintenant que les vols sont de plus en plus fréquents... J’ai décidé de monter la garde avec ma peinture... orange. “ Mais comme Aelia n’est pas très maligne, elle s’y rend toute seule comme si elle était immortelle. “ Alors tu acceptes toujours de m’accompagner ou tu préfères la bibliothèque ? Ils sont très gentils mais il faut aimer les oiseaux ! “
Ils sont tous les deux dérangés. La logique est un concept abstrait et les deux bavards créent toujours des situations inédites avec leur génie incompris. Il est vrai que la demoiselle est gênée de l’avoir aspergé de peinture mais en même temps, c’est tellement grotesque qu’elle ne parvient pas à s’empêcher de rire. Personne n’est mort, si ce n’est la honte elle-même. Elle fait la moue. “
D’ailleurs, en parlant de bibliothèque, le Greylord n’est pas partisan de s’y rendre. “
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Janvier 2023 ↠ Midrias
with / @Aelia Pankratz Grey lui réponds avec des gros yeux et une grimace puisqu’il ne sait pas trop ce qui se passe dans la vie d’Aelia. Donc pouvait-il affirmer avec certitude qu’elle lui aurait menti s’il l’avait confronté pour découvrir ce qui se passe? Pas vraiment. Mais en même temps, il lui faisait confiance puisqu’elle est son amie. Donc, difficile à prédire comme ça, d’un coup, complètement au hasard. Qu’importe, maintenant ils se confrontent et c’est ce qui compte. Bien que le jeune homme se retrouve du coup coloré de peinture. Au final, voilà qu’il retourne sa veste et essaye de paraître aussi naturel que possible en la portant à l’envers. Sauf que bon, son idée est assez tordue. L’artiste le tease sur son attachement pour cette veste et bien évidemment qu’il mord à l’hameçon avec tout son être. « Oh hey! Je la lave! De temps à autre! Aucune idée de la fréquence recommandée, mais c’est pas comme si elle était couverte de boue donc pourquoi la ruiner en la lavant à outrance! » La réplique suivante est comme un pique de plus pour lequel il se doit de donner des justifications. « J’étais mignon? Je suis totalement mignon avec autre chose. Je suis toujours mignon! Même maintenant. Surtout maintenant! » Grand bébé qu’il est parfois, voilà qu’il boude à nouveau parce que le compliment est apprécié, mais pourquoi l’employé au passé de la sorte? À croire que tout ce qui le rendait attirant depuis qu’ils se connaissent est cette foutue veste!
Les deux pies qu’ils sont savent comment stimuler l’autre dans sa véritable nature de pie. Toutefois, le Brendy est un peu submergé par le bombardement verbal de son amie. Surtout que ça ressemble à un évitement de sa question, lui qui veut savoir où elle se rend depuis tout ce temps en cachète. Petite futée d’Aelia. Distraire son cerveau de la sorte risque de fonctionner et qu’il arrête de jouer les détectives. Il cligne donc des yeux en la fixant, toujours une moue de gamin sur le visage. « Comment tu sais que j’ai un calendrier sur lequel j’encercle des trucs… tu me connais trop bien. J’ai peur, maintenant. » Lui aussi il exagère, sauf qu’il utilise en effet ce système pour se rappeler quand sera la prochaine pleine lune. Inutile de le dire à son interlocutrice, toutefois. 45 minutes? Ah bah tiens, c’est sacrément loin comme destination. Sauf que sa curiosité est piquée. Il se laisse donc volontiers prendre par le bras afin de suivre le mouvement initiée par l’étudiante en art. « Je peux suivre, évidemment. » Il se surestime, mais 45 minutes ça ne lui semble pas non plus dramatique s’ils ne se limitent qu’à la marche comme exercice et pas à un marathon ou une course à obstacles, par exemples. ENFIN il apprend ce qui se passe avec Aelia et tout ce qu’elle lui dit est tellement typiquement elle qu’il manque de crier d’exaspération. « Toi! Tu es impossible! » Il utilise la propre main de son amie pour se facepalmer son propre large front. « Pourquoi ton grand-père te laisse faire ça toute seule? Il est pas au courant que tu joues aux bergères, c’est ça? » Il assume, puisque la demoiselle a suffisamment de brillantes idées de la sorte pour ne les garder que pour elle. « Bien sûr que je t’accompagne! Oublie la bibliothèque! Juste que tu sais que j’ai encore jamais eu d’expériences avec des squealies donc il faudra m’enseigner GENTIMENT comment m’y prendre pour ne pas faire de bourdes ou… me retrouver encore plus orange. » Le loup insiste sur le gentiment en particulier puisqu’il aimerait qu’on le traite avec patience, surtout qu’il est parfois un peu malhabile sans le vouloir. Ça fait partie de son charme, mais ça peut aussi causer des petits soucis dans des situations nouvelles, comme celle à venir dans le champ de son grand-père.
Les deux pies qu’ils sont savent comment stimuler l’autre dans sa véritable nature de pie. Toutefois, le Brendy est un peu submergé par le bombardement verbal de son amie. Surtout que ça ressemble à un évitement de sa question, lui qui veut savoir où elle se rend depuis tout ce temps en cachète. Petite futée d’Aelia. Distraire son cerveau de la sorte risque de fonctionner et qu’il arrête de jouer les détectives. Il cligne donc des yeux en la fixant, toujours une moue de gamin sur le visage. « Comment tu sais que j’ai un calendrier sur lequel j’encercle des trucs… tu me connais trop bien. J’ai peur, maintenant. » Lui aussi il exagère, sauf qu’il utilise en effet ce système pour se rappeler quand sera la prochaine pleine lune. Inutile de le dire à son interlocutrice, toutefois. 45 minutes? Ah bah tiens, c’est sacrément loin comme destination. Sauf que sa curiosité est piquée. Il se laisse donc volontiers prendre par le bras afin de suivre le mouvement initiée par l’étudiante en art. « Je peux suivre, évidemment. » Il se surestime, mais 45 minutes ça ne lui semble pas non plus dramatique s’ils ne se limitent qu’à la marche comme exercice et pas à un marathon ou une course à obstacles, par exemples. ENFIN il apprend ce qui se passe avec Aelia et tout ce qu’elle lui dit est tellement typiquement elle qu’il manque de crier d’exaspération. « Toi! Tu es impossible! » Il utilise la propre main de son amie pour se facepalmer son propre large front. « Pourquoi ton grand-père te laisse faire ça toute seule? Il est pas au courant que tu joues aux bergères, c’est ça? » Il assume, puisque la demoiselle a suffisamment de brillantes idées de la sorte pour ne les garder que pour elle. « Bien sûr que je t’accompagne! Oublie la bibliothèque! Juste que tu sais que j’ai encore jamais eu d’expériences avec des squealies donc il faudra m’enseigner GENTIMENT comment m’y prendre pour ne pas faire de bourdes ou… me retrouver encore plus orange. » Le loup insiste sur le gentiment en particulier puisqu’il aimerait qu’on le traite avec patience, surtout qu’il est parfois un peu malhabile sans le vouloir. Ça fait partie de son charme, mais ça peut aussi causer des petits soucis dans des situations nouvelles, comme celle à venir dans le champ de son grand-père.
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Cette pauvre veste est désormais ruinée mais au lieu de lui rendre hommage, elle fait l’objet d’un débat endiablé. La jeune femme provoque son ami pour tisser à nouveau le lien, endommagé par son absence qui a duré plusieurs semaines. Elle est une parfaite excuse pour le charrier sur ses habitudes et apparemment, son manque de propreté. Un sourire moqueur s’étire sur ses lèvres. “ Ah oui, oui, elle n’est pas couverte de boue donc c’est pas grave si elle pue. Le principal, c’est que la couleur ne soit pas délavée. “ Comment peut-elle le critiquer ainsi puis le complimenter ? Aelia voulait se montrer plus sincère tout en se faisant pardonner. Toutefois, l’étudiante n’a pas anticipé la réaction de son camarade. Est-ce qu’il va lui faire une scène car elle a employé le passé ? A son tour, elle pose ses mains sur ses hanches, se donnant une attitude de grand-mère agacée. Ses sourcils se froncent. “ C’est toujours moi qui te complimente ! Tu m’as déjà dit que j’étais mignonne une fois ? Non jamais ! ALORS JE FAIS ET DIS CE QUE JE VEUX. “ Il lui en demande beaucoup trop et la pauvre finit par soupirer. Elle aussi, est une sacrée gamine mais une gamine qui doit se faire pardonner, d’une façon ou d’une autre. Elle joue avec les mots et trouve un moyen pour lui montrer à quel point il tient à elle. Toutefois, les images sont peu naturelles, rendant la situation grotesque comme elle aime tant le faire. “ Je te regarde tous les soirs, depuis la rue... Grey. “ Si seulement c’était le cas, Aelia aurait découvert bien des secrets et aurait fini en prison depuis longtemps. Quelqu’un l’aurait forcément dénoncé. Est-ce que le jeu en vaudrait la chandelle ? Pas vraiment. La demoiselle aime sa liberté et marcher pendant au moins 45 minutes. Elle annonce le temps de trajet et de peur qu’il s’échappe, elle prend son bras pour le diriger vers la bonne direction. S’ils veulent arriver avant que le soleil se couche, ils ne peuvent pas s’éterniser ici pendant dix ans. Elle passe aux aveux pour ne pas le rendre encore plus impatient. Aelia s’interroge quand il saisit sa main pour la coller contre son front ? Cette vue la fait rire. Vraiment, elle ne sait pas comment il s’y prend pour être aussi imaginatif. Non, il n’y a pas deux Greylord dans ce monde et cet idiot lui avait terriblement manqué. Si elle lui avait dit plus tôt, il aurait peut-être voulu faire les trajets avec elle, tous les jours. Comme avant... C’est un peu ce qui avait forgé leur amitié et cette pensée lui réchauffe légèrement le cœur. “ Alors, il est peut-être au courant s’il me regarde de là-haut. “ Elle pointe le ciel de son index. “ En fait, c’est lui qui a commencé à faire cet élevage et mon père n’a pas pu continuer par manque d’argent. Tu sais, les squealies préviennent des dangers. On peut les éduquer et ils peuvent nous prévenir si une créature débarque ou autre chose... Les gens en adoptaient beaucoup avant mais ce n’est plus vraiment le cas maintenant. “ Elle s’offre un temps de répit afin de reprendre sa respiration. ” Du coup, j’ai décidé de me débrouiller toute seule... Les terrains nous appartiennent toujours mais mon père les utilise pour les célébrations de mariage. Ca fait partie de la famille et on ne sait jamais de quoi demain sera fait... La preuve maintenant, les gens seraient capables de les voler pour pouvoir manger... Je suppose. “ Son visage est peiné. “ Je ne veux pas que mes bébés servent de repas. “ Elle avait déjà mal supporté la perte de son premier squealy, ce soir-là. Elle relève le menton vers Greylord, ne voulant pas ruiner leurs retrouvailles. “ Je suis sûre que tu vas te débrouiller comme un chef. “ Elle lève le poing en l’air et se donne un air de héros de shonen. “ Tu aimes les animaux ? Et promis, je leur dirais de faire leur commission plus loin que sur ta veste. “ dit-elle en rigolant.
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If you could fly
Janvier 2023 ↠ Midrias
with / @Aelia Pankratz Deux gamins ensemble, on pourrait presque croire à un frère et à une sœur en train de se chamailler. Grey est pourtant enfant unique. Même si parfois il aurait souhaité avoir un frère ou une sœur, en voyant comment les autres qui en avait se plaignaient, disons que le jeune homme a finis par cesser de se trouver malchanceux. Cet instinct fraternel semble pourtant bien présent alors qu’il est engagé dans d’interminables discussions avec sa voisine. Piqué par le commentaire que sa veste pue, voilà que le loup-garou amène sa manche à son nez afin de la renifler. Mensonges, une fois de plus! « Le seul truc qu’elle sent c’est la peinture et c’est de ta faute, mademoiselle! » Oui, puisqu’il compte envenimer lui aussi la discussion avec ses gamineries. Ses yeux s’écarquillent fortement tandis qu’Aelia affirme qu’il ne l’a encore jamais complimenté auparavant. Grey se met à réfléchir à propos de cela. En effet, il lui est impossible de se remémorer un moment où il l’aurait sincèrement complimenté. Voilà qui est embarrassant. Il l’observe soupirer, sentant l’obligation de sortir un truc à l’arrache même si le compliment risque d’être complètement nul. « Tu… tu… tu es... une voisine cool. » Grey détourne le regard, lui-même embarrassé par la pauvreté de sa trouvaille. Un jour, il lui sortira un véritable compliment et son amie en sera subjuguée. Un jour. Elle le regarde tous les soirs depuis la rue? Vraiment? « Tellement creepy. » L’étudiant en médecine lâche, le même ton moqueur qui ne le quitte jamais en sa présence. Acceptant volontiers de se faire entraîner par le bras pendant 45 minutes, découvrir la vérité est à la fois un soulagement et une nouvelle source de confusion. Il sait qu’Aelia adore les squealies, mais n’est-ce pas un peu excessif d’aller s’occuper de ces créatures comme s’ils étaient ses propres enfants? Malgré tout, son ami ne peut pas vraiment lui en vouloir puisque son empathie pourrait très bien le pousser à adopter des comportements similaires. Au moins, il est rassuré que ça ne soit rien de grave, qu’elle ne se soit pas enrôlée dans la mafia, par exemple. Grey ferme les yeux en réalisant que le grand-père d’Aelia n’était plus parmi eux. Comment il a pu oublier un tel détail?! Il s’en veut de ne pas avoir pris le temps de réfléchir avant de s’ouvrir les lèvres pour dire de pareilles idioties irrespectueuses. Un visage choquée se tourne vers celui de son interlocutrice. « Attend, quoi? Euh, non, je refuse aussi! Manger des squealies! Les gens sont vraiment tordus pour en arriver là! » Un réel dégoût face à ce crime est palpable. Ce n'est pas du tout dans sa nature de tolérer un mauvais traitement face à des créatures magiques de leur monde. Le jeune homme souhaite donc pouvoir tenter l’expérience d’approcher les bébés d’Aelia. Sauf qu’il n’a aucune expérience en la matière et une crainte de l’échec. Ricanant en voyant ce que fait l’autre étudiante, voilà qu’il lève un poing également en essayant de l’imiter sans pouffer de rire. « J’aime les animaux! » Il répète après elle, ayant altéré sa voix afin de se donner un ton ultra sérieux et surprenamment grave. Sauf qu’impossible de conserver ce personnage sans éclater de rire en même temps qu’elle. Que c’était agréable de rigoler autant comme avant. Observant le visage d’Aelia, cela lui permet de faire une constatation. « Tu as un sourire magnifique. » Sa voix est normale. Il est parfaitement sérieux, honnête. Quelques secondes passent avant qu’il finisse par la pointer du doigt. « Bon, tu vois, je peux t’en donner des compliments! Et ce ne sera pas le dernier, regarde-moi bien! » Gonflant presque le torse, le voilà tout fière d’avoir réussi à la surprendre. C’est fou comment le temps passe si vite alors qu’ils sont en compagnie l’un de l’autre. Au loin, on peut maintenant voir ce qu’il imagine être la maison des squealies. Grey décide de se mettre derrière Aelia, voulant qu’elle ouvre la marche afin que ses bébés ne prennent pas peur s’il est le premier à les engager. « Ça se comporte comment un squealy? Ça mord? Ça pique? C’est gluant? » Néophyte absolu, il a besoin d’un cours de rattrapage express avant de rencontrer les créatures, il semblerait.
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Son regard en dit long. Le compliment de Greylord n’atteint pas sa cible. Pire encore, il a l’effet inverse. A l’image de sa veste, le cœur de la Pankratz n’est plus intact. Cette attaque massive affaiblit son moral. Alors, est-elle une simple voisine pour lui ? Elle ne comprend pas pourquoi il s’est inquiété autant au point de la suivre sans prévenir. Qui est le plus creepy des deux ici ? Elle souligne un point important. “ Dixit le mec qui suit sa voisine. “ Par chance, la conversation reprend de son sens quand la demoiselle parle de ses enfants ou des oiseaux qu’elle considère comme tels. Elle serait la cheffe d’une famille nombreuse et ce n’est pas pour lui déplaire. Elle les voit grandir et pourtant, ils continuent toujours de l’écouter. Ils progressent même dans leurs apprentissages mais elle sait qu’un jour, elle devra peut-être les faire adopter pour qu’ils puissent prévenir des dangers pour d’autres familles. C’est son objectif depuis plusieurs années maintenant mais cette idée continue de lui déchirer le cœur. Décidément, ce n’est peut-être pas sa journée aujourd’hui. Et pourtant, Aelia continue d’avoir le sourire tandis qu’ils font une célébration ensemble en l’honneur de leur amour pour les animaux. Ce spectacle mérite même un compliment inattendu. Un sourire magnifique ? Elle ? Il n’est pas simplement joli, ni beau mais magnifique ? Elle est surprise, agréablement et la pauvre fille est incapable de contrôler le feu qui prend possession de ses joues. Peut-être que l’étudiante n’a pas l’habitude d’être flattée. Elle ne va pas s’en plaindre mais elle se sent ridicule d’être -encore- excessive. Elle tapote amicalement le torse qu’il est en train de gonfler. “ C’est bon, c’est bon. N’en fais pas tout un cirque… Mais merci. “
Arrivée à destination, Aelia est impatiente de les retrouver mais elle doit pour l’instant répondre aux interrogations de son camarade. Il sait à quoi ressemble un squealy ? “Non non, ça peut pincer avec leur bec mais ils ne sont pas agressifs. Si tu veux, tu pourras en tenir un ? “ Puis, elle attrape l’avant-bras de Grey. “ Regarde, tu ne les vois pas au loin ? C’est les oiseaux là-bas. “ Ils sont magnifiques eux aussi. “ Leurs plumes sont phosphorescentes. Ils sont facilement repérables, ce qui n’arrange pas mes affaires.. Mais je ne peux pas me lasser les voir voler la nuit. “ Elle lui offrira ce spectacle à son ami. “ Je leur ai appris quelques chants pour qu’ils nous préviennent si des créatures du Fold s’approchent… Tu sais, c’est comme ça que j’ai perdu mon premier squealy. “ Elle ravale difficilement sa salive. C’est de cette façon qu’ils se sont rapprochés tous les deux. Un mal pour un bien, c’est vrai mais encore à ce jour, la jeune femme a beaucoup de remords. “ Tu te sens prêt ? Ne sois pas effrayé par leurs battements d’ailes. C’est beaucoup de bruit pour pas grand-chose. “ Elle lui fait signe de le suivre tandis que l’étudiante se met à siffler pour les attirer. Nino est le premier à arriver. C’est certainement avec lequel elle est le plus proche. Il se pose sur sa main tandis qu’il se met à chantonner. “ Ras, Nino ? “ Elle se retourne pour voir Grey. “ Tu veux que je le mette sur ta main ? “ Pendant ce temps-là, elle pourrait remplir les bacs de nourriture mais elle ne veut pas l’imposer à Grey. La jeune femme est contente de pouvoir profiter de sa compagnie et celle des oiseaux. Comme quoi, elle aurait peut-être dû lui dire. C’est agréable de moins se sentir seule.
Arrivée à destination, Aelia est impatiente de les retrouver mais elle doit pour l’instant répondre aux interrogations de son camarade. Il sait à quoi ressemble un squealy ? “
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