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WHISPERin the night
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La paix n'est plus, pas même de façade. Dans une débâcle de bombes et de hurlements, Zaun a réclamé son indépendance en détruisant le siège du Council. La haute-ville se reconstruit sur des airs dictatoriaux tandis qu'à Zaun, les lois s'effondrent, les rues ne sont plus que passages à tabac en règle, pour dépouiller autrui ou par simple plaisir de semer le chaos.
C H. N L G
The Council
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HERESY.
hiatus Nebula + Karma + Neomä + Kane + Hinatea + Reagan + Samaël
NEIR.
présente Soleil + Rose + Dusk + Reine
Last Waltz
présente Niyah + Nyx + Nevoria + Maxine + Lola + Night + Aqua + Neela
Gekyume
présente Raven + Daemon + Maddox + Caïn

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les anges de l'oubli - choi aeri

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02.06.22 13:14
les anges de l'oubli


velvet spire ;; 01.24 AM
song


i can't wait to get you all alone, once i'm in, there ain't no letting go,
watch me turn your mind into my
home - mind games until you lose control.



il avait les yeux étincelants d'ivresse mais surtout de méchanceté cependant, ça, ce n'était qu'un léger détail qui n'était percevable par personne d'autre que son miroir. et actuellement, son jumeau, n'était pas là pour lui remonter les bretelles sur son comportement alors, il s'autorisait à imaginer toutes les manières possible qu'il lui était donné pour effectuer un carnage sur ce rooftop. il discute, se joint à la foule. mimique cette plèbe qu'il méprise tellement, habillé de manière toute aussi clinquante qu'eux. un smoking au prix indécent ; il préférait cependant son bleu de travail - plus à l'aise. de manière surprenante il tolère aussi la présence féminine qui a décidé de se l'accaparer pour certainement booster son égo, ou alors pour tenter sa chance rien que pour la nuit. certainement à cause de mon aura, ça fait longtemps que je n'ai pas calmé mes déviances. alors il joue lui aussi et seul la lune sait à quel point il est bon joueur. l'expression qui lisait dans les yeux de la demoiselle était changeante, diverse ; intriguée, surprise, amusée. il ne la connaissait pas mais, il arrivait tout de même à la lire - il avait déjà eu dans le passé l'occasion de rencontrer des femmes et elle, avait l'aspect d'une gamine qui était perdue. une proie de choix et pourtant, ce soir, il passera son tour. « i'm sorry, i'm nervous, you're like very pretty. » finit-il par dire dans un rire chanteur. et pourtant, il mentait comme un arracheur de dents. elle était belle certes mais, de là à dire que cela le rendait nerveux était totalement faux. si je lui fracasse mon verre en pleine gueule, il est très probable que je lui éclate la moitié des dents. songea le tueur-à-gage, comme par habitude - macabre certes mais, bel et bien par habitude. peut-être qu'elle arrêtera enfin de glousser comme une gamine. raven se montrait un tantinet plus généreux que d'habitude dans sa mascarade. peut-être était-ce dû à ce jeu d'idylle que les deux partageaient - ou peut-être voulait-il simplement arriver à ses fins le plus vite possible. car son réel but en ces lieux, n'était autre que son obsession du moment ;  le corbeau désire dévorer un éden pour le transformer en chaos, à son image. celle qui détient les étoiles de son désir, de son espoir, elle (in)aspire d'un regard et fait tomber dans son trou noir tous ceux qui se retrouvent sur son passage et il le sait. il est persuadé qu'en s'y jetant ; il irait retrouver ces lumières aspirées. car dans sa propre galaxie, plus rien ne vit et tout se meurt. malicieusement - égoïstement, il veut y faire faner les fleurs, assombrir le paysage, que seule sa carcasse morbide puisse servir d'œuvre d'art. être l'unique et le singulier. pourtant le monstre n'est qu'une farce sous les iris de sa belle - une sorte d'abomination sans nom ; à la fois sincère mais malsaine. il désire faire divaguer sa nymphe, son fantasme, de vagues douces mais traîtresses. l'inconscient funambule marche sur une ligne fine, qui ne le mènera que très probablement vers un terrible vide. inachevé. car c'est dans son habitude, s'accrocher, détruire et repartir.

mais la chasse, l'adrénaline en vallait le coup - l'amazone le refuse, se rapproche pour le fuir, taquine son instinct et quand il mord à l'appât ;; elle le renie, lui claque la porte au nez. mais pas ce soir, pas comme ça. blessé, il ne supporte pas l'ignorance qu'elle lui offre, il ne sait comment ravaler son égo et son cadeau du silence, sera rendu avec bonté. si elle voulait jouer, il allait rentrer dans la danse et des deux, il avait plus d'expérience qu'elle. un coup facile, un coup de pute. mais les guerres n'avaient aucune règle, raven n'en avait aucune. la jalousie est un vilain défaut et actuellement, la main qui glisse le long du bras de l'inconnue se veut langoureuse. il n'allait pas chercher un plan très grandiose, de tous les pièges celui-ci se trouvait être le plus basique mais aussi, le plus efficace. aeri, voyons, jusqu'à où tu vas supporter ce cirque ? même moi, ça m'ennuie. et comme une prophétie, il l'entend enfin, ses talons claquer contre le sol, s'approcher d'eux. si prévisible. il jubile comme un gamin qui découvrait les cadeaux qu'il avait reçu pour son anniversaire. cinq. il se délecte des prochains instants. quatre. un pas clinquant, il la reconnaît agité. trois. un pas un peu trop pressé, peut-être ? deux. il ne bouge pas, fait mine de ne pas l'entendre. un. trickster ne désire que glousser, éclater de rire - il compte. ce n'est pas le moment d'enfiler le masque - ce n'est certainement pas la même chose... même si ça y ressemble, je veux bien l'admettre. le drame se veut délectable. il l'a voit. les deux astres se menaient bataille, qui allait engloutir l'autre ? son coeur se mit à battre la chamade, tel un adolescent. comme d'habitude, avec elle c'était comme ça. il ne souhaitait rien d'aussi fort au monde que de la prendre dans ses bras. pourtant, il ne fait que sourire, taquin. pour peu, si elle prenait le temps de le regarder, elle pouvait distingué son amusement particulier mélangé d'une faim bien distincte. il reste planté là pour s'offrir un brin de spectacle. il se laisse se noyer par son parfum, se laisse éblouir par ce diamant qui se trouvait dans l'écrin de ses onyx. il admire sa muse. y'a les femmes et y'a la mienne. songea ce dernier dans une pensée enivrante.

elle explose, déverse le nectar de son verre sur l'inconnue. compréhensible et prévisible. se mit à penser le narcissique alors qu'il retient un gloussement face à la scène. comme punition, il n'obtient qu'une simple insulte. « asshole. » l'air d'un vieux couple et pourtant, ils n'étaient rien. c'est bien ça qui chagrinait le corbeau, ils n'étaient rien et il comptait bien changer cela, après tout, il n'était pas présent pour rien. la nuit se faisait douce, la lune invitante - il n'avait que donné un coup de pouce au... destin. elle repart, aussi vite qu'elle est arrivée, il feint une excuse bien déplorable à la jeune femme pour courir après sa nymphe, comme un chiot - aux dents sacrément bien affutées. tous les yeux sont posés sur eux - il n'en est que plus ravis. de tous ici, ils n'étaient que les plus intéressants. « that was not very nice of you, little dove. » sa colombe se voulait bestiale ce soir, il allait lui laisser cette chance - le jeu en valait bien la chandelle. à ses côtés, il ne sait pas où elle désire aller mais, il la suit - aveuglément, sans jamais louper un battement. il l'avait enfin piégée, il était hors de question qu'elle pense pouvoir s'échapper. un léger sourire venait étirer ses croissants de chairs alors qu'il vient lui toucher le bras d'une manière aussi douce que cela pouvait sincèrement se comparer à une caresse. « come on, i was just chatting with her, nothing more ! » ricane le charognar d'un air enfantin.

ils terminent leurs chemin dans une pièce, à vrai dire, raven n'y avait pas fait attention. le silence, il l'avait toujours adoré - tout autant qu'il adorait le briser. lui. il soupire, sa nymphe décide de l'ignorer encore une énième fois mais, cette fois-ci, il la savait faible et le nectar divin qui parcourait les veines de chacun, faisait pencher la balance encore plus en sa faveur et si il se devait de miser, il faisait tapis pour les cartes qu'il avait en main. il leva son verre. trinquant au drame qui venait de survenir, avant d'y déposer ses lippes arrogantes contre ce dernier, ingérant le peu de liquide qui lui restait à l'intérieur. ce liquide qui fait réveiller les sens et laisse assimiler l'âme de nouvelles effluves dont seuls les privilégiés de ce monde peuvent avoir la chance de découvrir. ah oui, le liquide coule le long du gosier et ira ensuite nager dans ses veines. ivre de tout, d'alcool mais, surtout d'elle.

la bête est agile, il sait comment se tenir et alors qu'il dépose sa coupe contre une table, une de ses mains trouve refuge dans la poche de son pantalon. « see, i always knew you were the jealous type. » chuchote raven - un murmure presque inaudible mais si lourd de sens et ce satané regard, si sûr de lui. il avouait, il avouait sans vergogne que tout ceci n'était qu'un jeu. « but i don't understand, why are you jealous... after all you don't want me. » il penche légèrement son visage sur le côté alors qu'il se rapproche de la jeune femme, d'un pas lent. la mine pensive, il feint la réflexion. il désire lever le voile sur l'incertain, ça lui brûle les lèvres - la vérité est réclamé et pourtant il n'ose faire résonner ses mots. il est hors de question que cela soit lui qui ploie l'échine, il l'avait déjà fait une fois, ce n'était pas pour subir une nouvelle fois un rejet alors, il se contenta de laisser échapper un long soupir de ses lippes. il cuirassa son coeur, comme ci il se devait de repartir en guerre ; qui l'eut cru que l'amour s'y rapprochait tant ? son dernier pas prend fin face à elle alors qu'il fait remonter ses prunelles dans celle de l'amazone. « i don't mind playing childish games from time to time but my patience has limit, aeri. » finit-il par dire, approchant son visage dans le creux du cou de sa belle, faisant glisser ses deux bras autour de ses hanches - retrouvant la chaleur qu'il désirait tant - les rêves n'étant plus dans son monde depuis ses 8 ans, il ne pouvait que fantasmer en étant éveillé. mais il était certain que s'il avait eu ce luxe là, elle aurait hanté ses nuits. oui, je la veux, qu'elle soit de célestia ou d'ailleurs, riche, pauvre, belle, laide ou va savoir quoi. je veux la réconforter. je veux entendre son rire. je veux qu'elle vienne à moi de son plein gré, qu'elle m'apporte ses joies, ses peines et son désir. ô oui, il en était fou et dépendant.
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03.06.22 16:58
les anges de l'oubli


velvet spire ;; 01.24 AM
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i can't wait to get you all alone, once i'm in, there ain't no letting go,
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les même soirées ennuyantes auxquelles elle se prête pour oublier l'enfer d'un quotidien qui l'éreinte. les yeux abimés — autant que l'âme, les liquides divers qui viennent couler dans ses veines, obstruer l'esprit pour l'empêcher de se souvenir jusqu'au petit matin. et le jeu est éreintant, davantage quand il te concerne, princesse aguicheuse qui se joue de toi pour mieux te repousser par la suite, refuse l'idée de réellement t'offrir quoi que ce soit. sûrement qu'elle le sent, le sait au fond d'elle que tu serais responsable de sa chute la plus douloureuse, l'entrainerait dans les tréfonds du néant pour la laisser s'y noyer définitivement. peut être qu'elle est consciente de l'aura sombre qui surplombe un visage pour lequel elle irait presque se damner. et si de l'enfer tu es roi, elle ne connait que trop bien le feu brûlant qui y règne, préserve le peu qui lui reste pour éviter le saut fatal que tu finirais par lui infliger en dépit des sourires que tu lui offres — tous plus carnassiers que les autres. pas toi. elle refuse l'éventualité depuis des semaines aeri, ne glisse que pour mieux se rattraper, finalité où elle n'a de cesse de t'envoyer au loin, prétention d'avancer que tu n'étais rien.

pourquoi ? le coeur qui refuse de jouer le même jeu que l'esprit, bat dans les tempes à une vitesse folle quand du haut de son perchoir, elle t'observes toi et celle qui s'agite à tes côtés, le rictus mauvais en preuve d'une colère vulgairement dissimulée. les ongles peints de noirs, griffes acérées qu'elle se surprend vouloir planter dans la peau de l'inconnue — juste pour lui apprendre où trouver sa place et quand ne pas empiéter sur les autres. et c'est ridicule, des sourires qu'elle voit se dessiner à la voix haut perchée qui retentit pour mieux l'irriter, offre un spectacle mielleux qui tout au plus était à gerber. et elle te hait aeri, du plus profond de son âme. pour réussir à lui faire ressentir ces envies de violence, ce sentiment détestable ou sans te vouloir, tu restais à elle. jeu dangereux, poison répandu dans les veines depuis sûrement trop longtemps pour prétendre pouvoir y échapper, laisse la colère dicter les mouvements, les pieds qui foulent le sol avec férocité. et quand elle se plante devant vous, devant elle, les opales semblent s'être entièrement noircit - loin de son don pourtant, simple reflet d'une haine oppressante. et c'est le contenu pourpre de son verre qu'elle vide sur une robe probablement hors de prix, laisse entendre son mécontentement, sifflement colérique entre les dents. asshole. ni plus ni moins que ce que tu représentais actuellement à jouer de ses nerfs de cette façon.

les longueurs ébènes qui volent avec le vent, silhouette qui déjà disparait au milieu des multiples regards posés sur eux, les interrogations qu'elle entend d'ici à savoir pourquoi avait-elle réagit ainsi. et elle n'a ni le temps ni l'envie d'expliquer le comportement déplorable, dictée par une rancoeur persistante où le son de ta voix suffit à accroître l'irritation déjà omniprésente. rooftop en arrière plan, les escaliers qui défilent dans une fuite pourtant lente, ferme les yeux quelques secondes. no. loin de la simple discussion, c'était la carte du flirt qui s'était abattu devant ses yeux pour mieux la prendre au piège d'une situation déjà incontrôlable, les excuses qui ne trouveraient pas grâce à ses yeux. et elle pousse les portes de l'enfer sans prendre conscience de l'action, le calme qui lui est refusé quand tu continues de virevolter dans son périmètre, nouveau duel qui verrait les jours — à croire que les autres n'avaient pas été suffisant. et elle boue aeri, incapacité à retrouver un tant soit peu de clarté, la poitrine qui se soulève avec force comme pour laisser exploser un palpitant déjà sérieusement amoché.

les iris qui se perdent un instant sur les lumières de celestia, observe un paysage brillant de mille feux même au beau milieu de la nuit avant que la silhouette ne se décide enfin à se tourner vers toi. et c'est les ongles qui viennent ravager l'intérieur de ses mains, marquent les paumes de ses colères. i'm not claque dans l'air, les iris fuyants contrastant avec les propos qu'elle tente d'avancer. pas jalouse. qui y croirait après les coups d'éclats dont elle avait fait preuve, incapable de retenir le venin venant battre dans ses veines. et bien sûr qu'elle ne te voulais pas, pourquoi te voudrait-elle ? le pas en arrière quand le tien gagne du terrain, trahi par les battements sourds dans sa poitrine, foutu myocarde. avance, recule, le même jeu éternel jusqu'à la sensation froide du mur dans son dos, traque incessante où cette fois, elle se retrouvait acculée. i don't.. mais toute la conviction du monde ne serait encore une fois pas suffisante pour te faire croire à son désintérêt, les iris qui s'accrochent pour une fraction de seconde juste avant d'abandonner. please.. le murmure est plaintif cette fois, les doigts qui s'accrochent à tes bras sans réellement te repousser comme elle aurait pourtant voulu le faire.

et ton parfum est poison, tout chez toi lui souffle l'intérêt de fuir pour ne pas y laisser bien plus que ce qu'elle pouvait posséder. why ? pourquoi est-ce qu'au milieu de toutes les autres, t'avais choisi de ne lui laisser aucun répit. pourquoi est-ce que tu n'avais de cesse de revenir la hanter quitte à la coincer dans un échiquier où elle ne pourrait jamais réellement gagner la partie ? et les doigts se crispent davantage sur ta peau, la faute à ton souffle qui agresse la sienne. why do i want you that bad ? question résonnant davantage pour elle même, torture infime qu'elle inflige à son esprit quand t'es capable de la polluer en tout temps, t’immiscer jusqu'à ronger son âme en dépit des vaines protestations qu'elle émet de temps à autre. please.. mais les griffes se sont refermées depuis sûrement trop longtemps pour la laisser sauve, les paupières qui s'ouvrent difficilement sur les traits qu'elle déteste autant qu'elle réclame.
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