oh ! sweet and beautiful disaster — tu n'aurais pas dû Helyo. revenir ici. revenir à Ketterdam. quartier aux mille danger pour un f u g i t i f comme toi et pourtant, l'enfant qui n'y résiste pas. pourquoi revenir là Hell ? pourquoi te faire tant de mal en remettant les pieds ici ? souvenirs par milliers et peu à peu, l'impression grisante d'exister à nouveau, d'enfin être capable de respirer. tu n'aurais pas dû revenir ici Helyo. et pourtant, tu l'as fais. tu l'as fais juste pour pour pouvoir les revoir, juste pour t'assurer qu'ils vont bien. juste parce qu'ils te manquaient. étreintes et pleurs par centaines, r e t r o u v a i l l e s que tu n'espérais plus, journée passée rien qu'avec eux avant de devoir prendre congé, t'éclipser une fois le soleil couché, nouveau refuge qu'il te tarde de retrouver.


promesse de revenir vite, derniers câlins, dernières larmes et doucement, la porte qui se referme derrière toi après avoir juré de faire attention, de ne plus te laisser embobiner et ce, par qui que ce soit. et ça Helyo, tu ne l'as pas promis qu'à tes parents. ça, tu l'as aussi promis à Ryu. profond soupir de s o u l a g e m e n t et le front appuyé sur la porte d'entrée comme pour prendre le temps de réaliser pour ensuite décompresser avant de faire volte face pour quitter la petite propriété, prendre le chemin du retour vers Zaun afin de rentrer, retrouver cette sécurité apaisante que t'offre la maison d'Akio. mais tu n'as pu faire que quelques mètres Helyo, lorsque soudainement, ton cœur ne peux s'empêcher de bondir dans ta poitrine. silhouette repérée à l'odeur et, à quelques pas de toi, l u i.


instant d'arrêt, hésitation. et ce ne serait vraiment pas approprié Hell, de te laisser aller. poitrine affolée et dans tes poches, les poings qui se serrent, prière(s) intérieure(s) pour qu'il ne t'aie pas vu, infime espoir qu'il ne t'aie pas reconnu et ce, malgré le rouge f l a m b o y a n t de tes cheveux à la lueur des néons environnants, éclairage faiblard qui pourtant ne manquera pas de te trahir. alors tu traces ton chemin Helyo, en évitant soigneusement de croiser son regard, d'attirer son attention. et lorsque ton prénom fendra l'air (parce qu'il t'appellera Baby, oh ça oui, il le fera), tout ton corps se raidira sur place et au fond de ton cœur, le désastre étendra ses tentacules à n'en plus finir, prison émotionnelle contre laquelle tu ne pourra peut-être pas lutter, s o u f f r a n c e du manque et l'amour à sens unique qui reviendra te hanter, finira de lacérer ton endocarde déjà bien abîmé.

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@Babylon Sa'Adar juillet 2023 around Kreiss house outfit

oh ! sweet and beautiful disaster — Marcheur de l’ombre, le pas déterminé et sec, fugace est sa silhouette qui traverse les ruelles de plus en plus malfamées de Ketterdam. Il aime de moins en moins ce quartier, Babylon, son odeur et ses couleurs le ramènent à trop de souvenirs douloureux. Parmi les pires, il y a le sien, ainsi il évite soigneusement de jeter un oeil à cette maison sans prétention dans laquelle il a grandi, cette même demeure où le roi fantôme est venu l’arracher aux siens. Il baisse alors le regard, la braise de sa cigarette comme seule source de lumière dans la nuit noire, ainsi que les lampes qui projettent leur éclat vif aux travers des fenêtres et des rideaux, ne pas regarder, ne pas céder à la tentation. Babylon était un mauvais perdant, mais plus encore, il était un terrible résigné. Abandonner était une chose qui lui coûtait énormément, aussi lorsqu’il avait décidé de cesser toutes les recherches pour Helyo, cela avait été douloureux. Le retrouver n’a jamais été le fond du problème, à peine s’était-il révélé au monde que ses informateurs avaient pisté sa trace, la vraie question qui n’avait jamais trouvé de réponse, c’était pourquoi il voulait à tout prix le fuir. La démarche habituelle et logique aurait été de le confronter, de le ramener parmi les siens, ou de mettre fin à ses jours. Les déserteurs seront toujours des traîtres, n’est-ce pas ?

Toutefois, Babylon ne s’y résout pas. Et bien qu’il veuille à tout prix se débarrasser de cette pensée envahissante, il sait parfaitement que leur relation finirait par le tuer à petit feu. La loyauté sans bornes avait un prix, et si lui était prêt à se sacrifier pour sa meute, il ne pouvait se résoudre à leur en demander autant. Alors si Helyo voulait partir… qu’il parte. Ça heurtait son égo, ses sentiments aussi, parfois, il lui manquait, viscéralement. Présence qui était devenue comme son ombre, et son odeur continue à hanter les rues de la basse-ville, l’image des lys qui fleurissaient sur sa peau se sont gravées dans sa cornée et se reflète parfois sur les murs blancs. Fumée laiteuse de sa cigarette qui crée un brouillard autour de sa silhouette, il se tue à éliminer les souvenirs en se projetant dans le futur, pense à toutes les choses qu’il doit encore entreprendre maintenant que son plan auto-destructif avait été lancé… Mais dans le silence de la nuit pleine, une silhouette qu’il serait capable de redessiner les yeux fermés. Ses paupières se plissent légèrement et ses sourcils se froncent, son pas se ralentit un peu, tentant tant bien que mal de lutter contre l’idée que ce fantôme qui se glisse dans les ombres est bien réel, que c’est bien lui. La présence bien tangible accélère le pas sans lui accorder un regard, quand lui ne le lâche pas, il le frôle presque, et Babylon s’arrête dans sa course.

Helyo ? Voix grave qui tranche le calme, le prénom qui lui a échappé dans l’urgence. Il se fige net, et sur le visage de Babylon, un sourire léger se nait. Grâce aux travaux de recherches de la troupe fantôme, il avait régulièrement des nouvelles de son louveteau, trop dangereux pour ne pas être mis sous son surveillance… toutefois, le voir là, devant lui, bien vivant, semble irrémédiablement soulager son coeur. Nice hair colour. Le cynisme un peu moqueur comme une seconde nature, et parce qu’il est trop difficile de dire autre chose, c’est jeté comme une bouteille à la mer.

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@Babylon Sa'Adar juillet 2023 around Kreiss house outfit

oh ! sweet and beautiful disaster — carcasse désespérément figée lorsque la voix s'élève, prénom lâché comme une u r g e n c e et dans la poitrine, en cataclysme. Helyo ? paupières fermées pour tenter de conserver un semblant de calme, façade effritée, abimée. et si tu pouvais partir Helyo, si tu pouvais tracer ton chemin, pour autant ne le fais tu pas, louveteau indécis qui ne sais pas, ne peut pas lui résister. Babylon à la fois tant aimé et tant détesté, Babylon qui sait exactement comment te cerner, Babylon qui ne manquera pas de te rendre cinglé. nice hair colour. cynisme dont tu te serais bien passé alors que la tempête fait rage au fond de ton cœur, menace de tout foutre en l'air. ( pas ici Helyo. pas comme ça. reste calme, ne t'énerve pas. ) mais comment rester calme lorsque tout est propice à vous faire chavirer ? et tu ne t'es toujours pas retourné Hell, c o u r a g e de lui faire face que tu n'as pas, certitude de ne pas être capable de lui résister, de rester de marbre face à l'être aimé. parce que tu l'aimes encore Babylon. stupidement. désespérément. mais lui, ne t'aimera jamais. « and ? » mot lâché sans le regarder ni même lui donner le plaisir de te retourner, quand les mois passés enfermé pour tenter de l'oublier n'ont servit qu'à t'apprendre à avancer pour ne plus jamais te faire piéger, manipuler.

mais tu sais Helyo, un jour donné, il faudra bien que tu fasse face à ton passé. un jour, tu devra cesser de te cacher. « what are you doing here ? » geste lent pour te retourner et enfin laisser vos regards se croiser, orbes azuréens venus se loger dans les siens et au fond des abysses de ton âme, le feu de l'enfer. colère emplie de douleur et de ressentiments pour cet homme à qui tu as v e n d u e ton existence et qui finalement, n'as pas été capable de te protéger, de tenir ses promesses. « you don't belong here. » et encore moins dans cette rue, près de cette maison. Ketterdam loin d'être son fief et le Celestien qui doit certainement chercher quelqu'un ou quelque chose, Babylon qui ne se déplace que pour les sujets les plus importants, pour ce qui lui tient vraiment à cœur. « go home Babylon. there's nothing for you here. » mots auxquels tu voudrais toi même croire, combat douloureux de l'âme contre le cœur et ce hurlement intérieur que personne autour de vous n'entendra, de cette douleurs insuportable de l'avoir là, devant toi.

« please, go away... » résolution qui flanche légèrement et malgré les prunelles incendiaires, malgré la colère, l' a m o u r est encore là, vivace, douloureux et terriblement blessant. parce que cette confrontation Helyo, tu n'es pas encore prêt à y faire face. émotions encore difficiles à maîtriser malgré les heures passées à traîner, à tenter de combler ce vide qu'il a laissé, louveteau éternellement attaché à son premier amour et parfois, le simple fait de le v o i r te donne l'impression de suffoquer, de mourir de l'intérieur. faille dans la défense dont il se saisira certainement alors que tu lui fais maintenant face Helyo, tout en réfléchissant à ce que tu peux faire et ne pas faire, esprit en fusion. « if you want to sink me again, don't bother. » parce que je ne sombrerai plus jamais pour toi. never again.

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@Babylon Sa'Adar juillet 2023 around Kreiss house outfit

oh ! sweet and beautiful disaster — And ? Helyo n’a pas vraiment l’air d’avoir changé. Il a toujours cette colère abrasive qui sillonne sous sa chaire, transpire dans ses mots, dans ses actions et dans ses traits. C’est cette agressivité brutale qui avait attrapée son attention, c’est ce potentiel, cette tendance au chaos qu’il avait su détecter le jour même de leur rencontre qui l’avait poussé à l’enrôler dans une guerre qui n’avait jamais été la sienne. Hell s’était battu pour Babylon, jamais pour leur cause. A simple thank you would've been enough. Froid jeté immédiatement, le sourire agaçant et suffisant du roi des invisibles survit pourtant, victoire que de se dire que le petit enfer n’avait rien perdu de son explosivité. La demi-plaisanterie empreinte d’un cynisme habituel ne déride pas le ton sec de leurs échanges, aussitôt Helyo l’interroge dans la méfiance. Il cède à la tentation, fait volte-face, et enfin, les yeux peuvent se rencontrer à nouveau. C’est à ce moment précis que le rictus fier du fils Sa’Adar fondra comme neige au soleil, lorsqu’il fera face à cette haine qu’il lui a toujours connue… mais qui cette fois, se tourne contre lui. You don't belong here. Le soldat céleste ne pipe mot, il observe son pair sans émotions, du moins, il ne les laisse aucunement transparaître. Cela faisait partie du jeu. Formidable manipulateur qu’il était, lorsque les armes qu’il avait forgé se retournaient contre lui, cela faisait partie du jeu. Il encaisse les mots du garçon dans le silence, termine sa clope calmement, l’écrase d’un geste sec du talon sur le sol déjà jonché de déchets. Please, go away… Enfin, il agit. Pas de prédateur, il avance lentement vers Helyo, réduit la distance qui les sépare d’un faible mètre. I didn’t come here to bring you back, if it’s your question. Sa voix est dénuée de toute sa chaleur habituelle, elle est d’une neutralité à en faire peur. But let me tell you something, puppy… surnom prononcé avec effronterie, se pare d’une aura de menace quand il plonge dans son regard. I might tolerate your betrayal, but I won’t tolerate disrespect. Détraqueur qui s’attire un peu plus à l’âme ciblée, ne cesse de sonder ses abysses de ses iris inquisitrices. And you’ll never, ever give me orders. Do you understand ? Dans la neutralité de ses traits s’esquissent des présages de mauvaise augure, Babylon trop spontanée pour éponger la colère, il n’y a que face aux pires adversaires qu’il accepte de se contenir. Sans hésitation, il s’approche à nouveau, provocation qui s’empare de ses gestes, qui questionne l’ennemi : fuiras-tu à nouveau ?

Assez proche pour qu’il puisse se pencher légèrement au dessus de son épaule, comme si il voulait lui murmurer quelque chose à l’oreille tout en préservant une certaine distance, c’est non sans une forme d’amusement qu’il proférera ses dernières menaces. You’re right though, I don’t belong here… but you, you belong to me. Anywhere you’ll go, no matter how far you run from me, you belong to me, Hell. Don’t even try to fight it.

Et dans le souffle de Babylon, le parfum des lys résiste à l’épreuve du temps. Il est de ces liens indestructibles, maudits par les sangs qui se sont mélangés, comme un pacte avec le diable signé par leur baiser, il est trop tard pour s’enfuir.

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@Babylon Sa'Adar juillet 2023 around Kreiss house outfit

oh ! sweet and beautiful disaster — les frissons qui ne cessent de dévaler l'échine et dans la poitrine, l'endocarde qui s'affole inutilement de cette présence tant désirée mais tout à la fois tant honnie, Babylon trop enfermé pour être capable de voir, Babylon trop aveuglé pour comprendre. a simple thank you would've been enough. carcasse qui se fige et les poings qui se serrent pour t'aider à te contrôler alors que tu te retourne lentement pour le fixer intensément, l'enfer au portes de ton âme et au fond de ton esprit, les mots de Ryu qui tournent, tel un mantra. cette promesse que tu lui a faite de toujours rester droit, quoi qu'il arrive. « thank you for what Babylon ? » grognement irrépressible alors que tu sens la colère monter en toi comme un incendie impossible a éradiquer, mots acides qui tentent de s'échapper alors que la retenue te maintient encore à flot, t'empêche de sombrer, de t'étaler à nouveau dans la violence et l'interdit. mais il a le sourire qui se fane Babylon. rictus effacé par la simple vue du regard que tu lui jette, mélange violent de colère, d'amour et de ressentiment, tu sais Helyo. qu'il n'a jamais vu ce regard tourné vers lui. qu'il n'a jamais encore eu à faire face à ta vérité. celle d'un loup qui se battait pour l'être aimé, celle d'un animal désormais esseulé, abandonné aux griffes d'un monde beaucoup trop fort pour lui. « i'm not a puppy. » voix cassante en réponse à la provocation, sang bouillonnant dans les veine et peu à peu, la retenue qui cède, les émotions qui gagnent du terrain.

parce qu'il sait exactement comment faire avec toi Babylon. il sait comment te pousser à bout, comment te faire craquer, comment atteindre les moindre de tes faiblesses pour jouer avec, appuyer là où ça fait mal. amour jamais avoué qui continue à faire vrombir le cœur à mesure qu'il s'approche Baby, assène chacun de ses mots avec une exactitude effarante, manque de te faire sombrer, presque pleurer. « betrayal ?! » mot comme un couteau que l'on remuerait dans la plaie et soudainement, la blessure qui se rouvre, saigne abondamment, refuse de s'apaiser. « who betrayed the other first here Babylon ? » prunelles océaniques toujours rivées dans les siennes ne lâchent rien alors que contre tes cuisses, tes poings serrés se mettent à trembler, résultat direct de tout ce qu'il s'amuser à provoquer Baby, de tout ce qu'il s'éternise à ne pas comprendre, à ne pas voir. « i said please. » blanc et soudainement, le rictus. « i'm not afraid you know. » oh non. oh ça non. de tout ce qui pourrait t'effrayer le plus, jamais Babylon n'a fait partie de la liste et jamais il ne parviendra à y entrer, quoi qu'il tente de faire pour y parvenir.

seulement tu sais Helyo, il n'est pas de ceux qui laissent tomber aisément Babylon. carcasse ennemie soudainement penchée au dessus de la tienne et l'odeur si enivrante de sa peau qui emplissent tes poumons, irriguent soudainement tes veines comme jamais encore, effluves rassurantes d'un temps où tu pouvais encore tout te permettre vis à vis de lui et les images de cette couche partagée lorsque tu lui a offert ton corps qui reviennent te hanter brusquement, à t'en faire tressaillir, serrer la mâchoire. you belong to me Hell. don't even try to fight it. les yeux grands ouverts de surprise qui le fixent sans réellement comprendre le sens des mots jusqu'à ce que soudainement, un rire s'échappe de ta gorge, nervosité à son paroxysme. « i belong to you ? » tu ris Hell. ridicule d'une situation qui aurait pu être évitée s'il avait réellement fait quelque chose pour toi des mois auparavant ; et petit à petit, la colère qui prend le pas sur tout le reste, écarte l'amour, musèle l'envie, repousse le désir. « i don't belong to you anymore Babylon. » paumes sur son torse pour le repousser et la carcasse qui se dresse droite devant lui, les poings qui se serrent sur son vêtement, l'empêchent réellement de s'éloigner de toi. « and you know why ? » blanc, nouveau rictus. « i gave you everything Baby. absolutely everything. mi life. my future. my heart. my body. everything Babylon. and what have you done with it ? hm ? »

tremblement dans les main qui s'intensifient sous le poids d'émotions bien trop complexes pour êtres maîtrisées, intensité d'une révélation qui brisera irrémédiablement quelque chose entre vous et finalement, les larmes silencieuses qui se mettent à dévaler tes joues de manière indépendantes, mélange explosif d'un amour trop fort et trop douloureux avec cette haine si vive, si violente, qu'elle t'empêche presque de respirer, de voir les choses telles qu'elles sont. Babylon ne t'aimera jamais. et de toutes ces années où tu lui as silencieusement hurlé de t'aimer, que reste t'il aujourd'hui ? « when the Council came for me, what did you do ? when i nearly got locked up in the Badlands, what did you do ? nothing. you did nothing Babylon. absolutely nothing. so what's the point in belonging to you ? what's the point in loving you ? i can't handle it anymore. » mots lâchés pour blesser, vérité éclatant enfin devant lui et alors que tu aurais pu Hell, lui arracher ce baiser dont tu crèves d'envie malgré tout, proximité à laquelle tu peines toujours à résister, toi dont la faiblesse principale reste lui, toi dont le coeur continue d'appeler le sien, organe dénué de sens logique, d'instinct de survie.

phalange soudainement rouvertes pour le lâcher tout en le repoussant légèrement dans les geste et le corps qui s'éloigne du sien de quelques pas pour retrouver la pénombre de la ruelle la plus proche, enfant-loup prisonnier de ses propres émotions. « so please... please go away... » tremblement dans la voix, louveteau qui ne veut plus lutter, ne parviens plus à faire comme si. et s'il décidait de t'embrasser maintenant Babylon, s'il prenait l'initiative de faire un pas vers toi, tu ne résisterait pas Helyo. enfant encore trop fragile, trop désireux, trop amoureux.

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@Babylon Sa'Adar juillet 2023 around Kreiss house outfit