don't you know that i'm toxic

17/03/2023

ootd {{ 16·06·2023}}
ft. @kazan vox

As I look up from the ground, I see darkness all around, And I'm lost but can't be found inside my mind, goodbye.

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c'est soudain, tape contre la porte à répétition — lui fait craindre un évènement encore oublié, habitude tenace. et pourtant, elle ne bouge pas, nyx, serviette imbibée d'eau chaude plaquée sur le front, à subir avec insistance les conséquences de la veille — celles qu'elle s'infligerait une nouvelle fois la nuit venue si elle était capable de faire passer cette maudite migraine. fuck you marmonne à l'attention de l'intrus avant même de pouvoir déterminer qui il pouvait-être — entends le son du digicode résonner de l'autre côté quand elle fait le calcul mental de ceux en sa possession. what the fuck, nyx ? et sans même relever la tête — voix reconnaissable entre milles, elle sait. shut the fuck up murmure plaintif qui s'échappe de ses lèvres, manque d'effort conscient quand elle n'avait même pas cherché à répondre aux multiples messages envoyés. elle a pas envie de se battre, pas quand ça tempe si fortement entre ses tempes — sait pourtant qu'avec toi, les conflits sont constant, les prétextes trouvés à chaque fois pour s'incendier mutuellement. are you still mad cause i left with the guy ? celui de la soirée après un pari osé — t'avais nargué à répétition par pure provocation avant de te laisser là sans état-d'âme. he was pretty good tho, raille, moqueuse. et bien sûr qu'elle exagère — comme à chaque fois, se plaît à t'irriter quand tu lui rends la pareille sans hésiter. what do you want ? pour avoir débarqué ici, soudainement, sans t'être annoncé — à moins que l'information ne soit glissé dans un des nombreux messages qu'elle avait décidé d'ignorer.

10/06/2023

don't you know that i'm toxic

ootd {{ 16·06·2023 }}
ft. @nyx erenford

Too high, can't come down, losing my head, spinnin' 'round and 'round.

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C’est agacé que Kaz monte à l’étage où vit Erenford et marche les derniers mètres jusqu’à la porte de son appartement, non sans vérifier (juste une dernière fois) son téléphone — mais ses messages envoyés au cours de la journée sont toujours sans réponse et pas même un “vu” n’a été posé. I fucking hate her, il pense très fort, ignorant les autres émotions qu’il ressent (et qui vibrent sous sa peau malgré tout), avant de se mettre à frapper à l’entrée. Relax, she’s fine — but what if she’s not? What if?? Avec les tensions qui règnent en ville depuis le mois dernier, comment peut-il savoir si elle va bien? Il se doute que si un événement quelconque était arrivé, il serait le premier au courant — les nouvelles, les missions et les tensions courent vite dans les forces de l’ordre — mais what if, bordel ?
Ses coups à la porte sont, eux aussi, laissés sans réponse, alors Kaz pense à briser la porte, avant de se rappeler de l’existence du digicode qu’il compose sans plus attendre. Dès ses premiers pas dans l’appartement, il remarque la silhouette de Nyx, et il maudit tous les dieux. “What the fuck, Nyx?” Bien sûr qu’elle est là, en pleine gueule de bois, cloîtrée chez elle. Il se sent presque con d’avoir pu s’inquiéter de son sort, de l’avoir imaginée enlevée, ou morte, ou peu importe : elle est là, looking like hell, et il s’imagine qu’elle n’a pas bougé d’où elle est depuis ce matin — ou depuis sa fin de soirée de la veille, peut-être. “You look like shit,” il commente en se rapprochant, yeux rivés sur elle, sourire absent et l’envie de l’étrangler ou de la secouer, et d’autant plus lorsqu’elle lui rappelle la nuit précédente d’un air moqueur. “Glad to hear that.” He’s not, mais prétendre qu’il se fiche bien de savoir qu’elle a passé du bon temps avec un autre est plus facile que de faire face à la réalité.
Kaz jure à mi-mots, préfère se détourner une seconde pour lever les yeux au ciel et poser ses affaires au sol, mais il re-fait vite face à Nyx et à sa serviette sur le front. “You weren’t answering your phone!” Il lui répond, l’accuse, se justifie, ou les trois à la fois. Toujours plus facile que d’admettre qu’il se faisait un sang d’encre. Mais elle est là. Bien vivante, même si elle est affalée comme un cadavre. Et fidèle à elle-même, finalement. “Have you been lying there all day?” Kaz l’observe un instant, mais enchaîne vite, “That guy could’ve killed you, or whatever, how the fuck could I know since you don’t answer your damn phone?” Elle l’exaspère. Ou peut-être que sa propre anxiété l’ennuie, sa paranoïa et toutes ses variantes, et il peine à se détendre (mais essaye), fait quelques pas pour s’éloigner, pense à Nyx, à la soirée, à aujourd’hui et aux heures passées à regarder son téléphone en l’attente d’une réponse ou d’un signe de vie, revient vers elle et croise les bras.

17/03/2023

don't you know that i'm toxic

ootd {{ 16·06·2023}}
ft. @kazan vox

As I look up from the ground, I see darkness all around, And I'm lost but can't be found inside my mind, goodbye.

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bien sûr qu'elle sait que le tableau n'est pas glorieux — qu'elle a vu mieux et que ses lendemains de soirées étaient d'un pitoyable sans nom. alors elle est pas étonnée quand elle prends la remarque dans les dents, you look like shit, forcément. se contente d'attraper le premier coussin pour le poser sur son visage — l'envie soudaine de s'étouffer elle-même pour calmer les maux de tête venant la ravager depuis la seconde où elle avait eu le malheur d'ouvrir les yeux. you weren’t answering your phone! — and ?, marmonnée comme si ce n'était rien — probablement parce qu'il n'y avait certainement pas de quoi en faire une affaire d'état ; sauf si ça avait été toi. l'égocentrisme comme toujours, refuse qu'on lui fasse ce qu'elle inflige pourtant perpétuellement. have you been lying there all day?” la bouche qui s'ouvre, devancée pourtant trop vite, “that guy could’ve killed you, or whatever, how the fuck could I know since you don’t answer your damn phone?” le coussin qui retombe sur le côté, décale la serviette pour t'observer d'un oeil — scepticisme dont elle fait preuve soudainement. at least, i would have died young and pretty. shut up, souffle l'inconscient — blague de mauvais goût quand tout est mieux que prétendre être touchée par la pseudo inquiétude qu'elle perçoit. can you stop m o v i n g ? l'impression que tes aller-retour incessant étaient la chose la plus insupportable soudainement, soupir d'exaspération qui s'échappe de ses lèvres. i'll try to answer next time parce qu'il y aurait forcément une prochaine quand bien même ne pouvait-elle promettre de réellement répondre aux messages si elle se retrouvait une nouvelle fois dans cet état là. but right now, i fee like i'm dying, for real. vient masser les tempes du bout de ses doigts, grimace qui prouve les douleurs ressentis. but there is a really good remedy to the headache hausse les sourcils d'un air amusé — provocation dans le sang.

10/06/2023

don't you know that i'm toxic

ootd {{ 16·06·2023 }}
ft. @nyx erenford

Too high, can't come down, losing my head, spinnin' 'round and 'round.

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mention alcool & drogues ; addictions

And? And you could have been dead, Kaz veut lui répondre, cinglant. Mais il tourne les mots autrement, émet l’hypothèse que sa conquête de la nuit aurait pu l’avoir tuée. C’est plus facile de le dire ainsi, plutôt qu’admettre What the fuck would I do without you? Il n’a pas grand-monde dans la vie — pas grand-monde qui compte réellement du moins — et il ne sait pas ce qu’il ferait s’il venait à perdre ces quelques personnes, si c’était lui contre le monde. Il tournerait en rond. Rongerait les murs de sa cage, ses propres membres jusqu’à l’os puis jusqu’à la moelle. Passerait tout son temps à se détruire, et sûrement à détruire le monde autour par la même occasion. Il le fait déjà, c’est vrai — juste pas autant qu’il le pourrait. Au moins la recherche de sa soeur lui donne un but. Keeps him in check. Au moins il y a Nyx, et Neo, et Reine, et quelques autres peut-être; eux aussi remplissent le vide.
Cependant, l’ego le force à juger Nyx à l’instant présent. Pour ne pas répondre à ses messages, pour être à l’état de cadavre dans son appartement, avec sa serviette sur le front (et désormais un coussin sur le visage). Pour le faire angoisser, le pousser dans ses retranchements, le faire penser au pire. Kaz continue de marcher, bouger, remet ses pensées en place, les coups d’oeil lancés à Nyx ponctuellement lui rappelant que Tout va bien. Il s’arrête le temps d’une seconde, fronce les sourcils. “Oh fuck you.” N’apprécie pas la pique d’humour. Retient un soupir, et finalement parvient à retrouver un semblant de légèreté et de sarcasme (ou juste de rancune) quand elle lui demande d’arrêter de bouger. “Oh I’m sorry, does it bother you?” Il continue ses cent pas dans l’espace réduit autour des fauteuils et canapés, cette fois pleinement conscient qu’il bouge trop et que cela doit (littéralement) taper sur le système de Nyx. Bien sûr que la situation et les rôles auraient pu être inversés à tout moment — combien de journées difficiles a-t-il eu après une soirée trop arrosée, ou simplement parce qu’il ne sait pas doser ? — bien sûr qu’il aurait pu se retrouver chez Nyx avec la gueule de bois, lui aussi, et bien sûr qu’ils ont déjà passé trop d’heures ensemble, les cerveaux éteints, dans ce même appartement.
Mais il est — hélas, une voix-vipère lui souffle, le manque jamais bien loin — plus sobre qu’elle, et il préfère savourer cette petite victoire le temps qu’elle dure. Bras croisés, les yeux sur Nyx qui se masse les tempes, il se permet un sourire en coin. “Poor thing.” Puis tient son regard, et comprend, ou pense comprendre, trop vite le remède dont elle veut parler. Ca aussi — l’air de Nyx — est une preuve qu’elle va bien et qu’il ne l’a pas retrouvée morte dans un fossé de la ville ou dans la rubrique nécrologie du Velaris Times. Ce serait naturel de jouer le jeu; néanmoins, il feint l’ignorance, moqueur. “Yeah, drinking plenty of water.” Et s’approche finalement, s’assied au bord de la table basse en face d’elle. “I could get you a big glass of water… Too bad I can’t move anymore.” Le jeune homme hausse légèrement les épaules, puis tend la main vers elle pour appuyer deux doigts contre le front de Nyx. “Does it hurt when I do this?” Il espère. Il espère également que sa voix l’exaspère. Et tant que ses doigts sont devant le visage de Nyx, il en profite pour lui descendre la serviette sur les yeux, just because he can, and because he feels like annoying her, avant de se moquer, le ton plus léger. “You know you’re supposed to use cold for headaches?”

17/03/2023

don't you know that i'm toxic

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ft. @kazan vox

As I look up from the ground, I see darkness all around, And I'm lost but can't be found inside my mind, goodbye.

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c'est l'un de ses plus gros problèmes, basé sur l'avis des autres. parce qu'elle accorde jamais d'importance à grand chose, nyx, agit constamment comme si rien n'était réellement grave — donne sans cesse l'impression de ne pas se soucier de quoi que ce soit. “oh fuck you.” — you wish, sarcasme qui se fait entendre, perce l'air comme à chaque fois, le rictus amusée sur les lèvres pour prouver une nouvelle fois qu'elle prenait les choses bien trop à la légère — incapable de voir le mal dans le fait de ne pas répondre à quelques messages. “oh I’m sorry, does it bother you?” elle aurait dû le voir venir pourtant, le souffle s'échappe de ses lèvres, insultes prête à fleurir quand tu l'agaces, n'a de cesse de tourner autour d'elle malgré la demande. “poor thing.” le bras qui s'élève, offre son plus beau majeur en guise de réponse — vulgarité maîtresse de ses actions. “yeah, drinking plenty of water.” bien sûr, bien sûr que tu mettrais tout en oeuvre pour la faire rager, vengeance que tu semblais vouloir lui offrir parce qu'elle n'avait pas répondu dans la seconde — comme si elle était dans l'obligation de le faire. “i could get you a big glass of water… too bad i can’t move anymore.” bla bla bla. c'est tout ce qu'elle entends des provocations que tu n'as de cesse de lui envoyer, i'm lucky i didn't ask then, parce que c'était le cas, qu'elle ne t'avais strictement rien demandé et qu'elle irait pas te supplier de lui apporter quoi que ce soit. comateuse, certes, mais loin d'être dans l'impossibilité d'aller se le chercher elle-même. oh gosh, i'm gonna fuck you up — “does it hurt when I do this?” réagit d'une claque sur ton bras, les sourcils qui se froncent avant d'être plongée dans le noir — flemme intense que de réagir une nouvelle fois. “you know you’re supposed to use cold for headaches?” — you know you're supposed to be invited before coming to someone's place ? la même ironie dont elle se pare, se décide finalement à pousser la serviette une nouvelle fois, effort immense que ça lui demande de se redresser pour te regarder. et elle se penche vers toi, les coudes qui appuies sur ses cuisses, can you stop being an asshole now ? quand elle était de toute évidence en train de lutter contre son état déplorable. récupère le téléphone pour aller sur votre conversation, glisse un emoji qu'elle envoie. see ? you've got your answer. juste un peu tardive.

10/06/2023

don't you know that i'm toxic

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ft. @nyx erenford

Too high, can't come down, losing my head, spinnin' 'round and 'round.

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mention drogues ; addictions ; injures

Pichenette sur le front, I’m gonna fuck you up et claque sur le bras. Go ahead, Kaz ne dit pas, sourit en coin, lui descend la serviette sur les yeux et se permet un nouveau commentaire. Qu’est-ce qu’il aimerait, to be fucked up — and by her, et dans d’autres circonstances il aurait sauté sur l’occasion, serait rentré dans son jeu, mais l’égo est encore un peu trop présent (bien qu’il s’amenuise au fil des secondes). La réplique de Nyx lui rappelle de toute façon la raison de sa venue ici. “Not when you think they’re dead… or whatever, il répond un peu trop sérieusement, quoi que son dernier mot ait été ajouté par souci de légèreté, à se rappeler qu’elle va bien. Trop bien, d’ailleurs. Fidèle à elle-même. Not caring. Il ne bouge pas d’un centimètre lorsqu’elle se redresse et soutient son regard. Peut-être qu’il a également de fuck her up. He’s the asshole? Peut-être. Un peu. Mais — “Can you?”
Kaz ne sait pas vraiment à quoi s’attendre lorsqu’elle attrape son téléphone, se dit simplement qu’elle a décidé que la conversation l’ennuyait et qu’elle va passer à autre chose, s’occuper les mains, faire disparaître la gueule de bois en scrollant sur Memento. Ses yeux glissent sur leur conversation, l’emoji envoyé; il sent son propre téléphone vibrer dans sa poche, et une sorte de colère vibrer au bout de ses doigts avant même que Nyx ouvre la bouche pour le provoquer. See? You’ve got your answer. Oh, I’m gonna fuck you up traverse son esprit, très vite, trop vite pour qu’il s’attarde sur cette pensée — à la place, Kaz fixe un temps le téléphone, puis relève les yeux vers Nyx. “You…” Mais s’interrompt et garde le fond de sa pensée pour lui. You bitch. You’re insufferable. Il aimerait la secouer. Would it kill you to care for a second? Il n’est pas sûr que la secouer servirait à grand-chose. Il ne sait pas. C’est humiliant d’afficher un tant soit peu ses émotions, son inquiétude pour elle — et stupide, hell, he should know. Kaz détourne les yeux un instant, chasse toute la sincérité dont il veut faire preuve, avant de regarder Nyx. “You know what? I won’t bother next time.” Il sait très bien (trop bien) qu’il y aura une prochaine fois et qu’il sera sûrement le premier, ou l’un des premiers, à s’inquiéter, encore et encore et encore. Une vraie humiliation. Mais les gens disparaissent, l’ont toujours fait, et il ne supporterait pas qu’elle disparaisse à son tour. “I know being a bitch is your main setting, but can you tone it down a little?” Instinctivement, il tend le bras sur le côté pour attraper sa sacoche, avant, une fois conscient de son geste, de la reposer et se reconcentrer sur Nyx. Se rouler quelque chose à fumer ou sortir n’importe quelle poudre ou pilule de son sac n’est probablement pas la meilleure chose à faire — il le fera plus tard. En revanche, Nyx est toujours assise en face de lui, et elle a beau l’exaspérer au plus haut point, Kaz ne se voit pas partir maintenant. “Do you want me to stay? I haven’t got anything better to do.” Il soupire, dramatique — ou résigné. Ou sarcastique. “I’ll be nice.”

17/03/2023

don't you know that i'm toxic

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ft. @kazan vox

As I look up from the ground, I see darkness all around, And I'm lost but can't be found inside my mind, goodbye.

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bien sûr qu'elle provoque une nouvelle fois, joue avec les limites en se fichant bien de les franchir. le sourire narquois imprégné, tatoué sur les lippes teintés d'arrogance malgré son état. “you…” — are incredibly smart ? termine la phrase en sachant pertinemment que ce n'était pas ce que tu avais tenté de dire, tourne les choses en un nouveau jeu — s'amuse de la situation. and funny. toujours obligée d'en ajouter un peu, incapable de s'arrêter même quand elle lit dans tes iris la colère sous-jacente. you bitch. you’re insufferable. la main qu'elle porte à son coeur, prétend subir l'impact avant que son rire ne résonne dans la pièce, habituée aux insultes venant de toi, et bien sûr qu'elle te le rendait bien. “you know what? I won’t bother next time.” les épaules se haussent dans un dédain marqué, se fiche que tu t'en préoccupes puisqu'elle ne t'avais rien demandé — liar. “I know being a bitch is your main setting, but can you tone it down a little?” — wow, two bitch in a fex sec, presque impression cette capacité à lui offrir constamment le même nom d'oiseau, les coudes qui prennent appuis contre ses genoux, se penche vers toi l'air curieux. you just love to be angry at me seule explication plausible pour la chercher avec autant d'intensité quand elle était gentiment en train de décuver. et elle t'observes de ses prunelles fatiguées, sacoche qui vient puis repart avant de reporter ses yeux sur toi. “do you want me to stay? i haven’t got anything better to do.” — i'm not your charity price claque instantanément, “i’ll be nice.” et elle te jauge du regard, le scepticisme présent sur les traits, ne sait jamais vraiment. sur quel pied danser avec toi. et la main se pose sur la tienne, en effleure le derme avant de soupirer. i'm sorry for making you worried même si elle restait convaincue que le problème venait de base du fait qu'elle était rentrée avec un autre que toi. you know that i would have chose you if you had asked mais vos fiertés respectives étaient un fléau d'un tout autre genre, à vous empêcher de communiquer correctement la plupart du temps. but you didn't. you only try to killed me with those deadly eyes tout au long de la soirée jusqu'à ce qu'elle s'éclipse avec un autre. et l'index vient taper sur le bout de ton nez, le sourire qui naît à nouveau sur les pulpeuses.

10/06/2023

don't you know that i'm toxic

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ft. @nyx erenford

Too high, can't come down, losing my head, spinnin' 'round and 'round.

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mention drogues & alcool ; addictions

Incredibly smart. And funny. Sure, mais Kaz préfère l’insulter (et elle préfère en rire), et ajouter que la prochaine fois, il n’en fera pas tout un plat. Que son mensonge tienne la route ou non, il est le premier à savoir pertinemment qu’il s’inquiétera à nouveau. Et que si Nyx était réellement en danger d’une quelconque façon, il accourra sans se poser de questions, car il n’y a pas de questions à se poser : she matters too much. Et peut-être que cette fois, il fera moins dans la subtilité et le contrôle; peut-être que s’il se met à tout brûler et détruire sur son passage, alors il n’attendra pas dix ans avant de parvenir à ses fins. Le visage de Naëbi passe dans son esprit, mais Kaz chasse bien vite l’image, de toute façon concentré sur Nyx.
You just love to be angry at me. Le jeune homme cherche son regard un instant, puis pense à sa sacoche (ou plutôt à ce qu’elle contient) avant de changer d’avis. Il se contente d’un bref rire; évidemment qu’il aime être en colère contre Nyx. Contre le monde entier, d’ailleurs. Anger is better than nothing. Comble le vide, quand bien même exprimer sa colère, vraiment l’exprimer, n’est juste pas faisable, et encore moins contre Nyx, pas comme ça du moins — anger might be better than nothing, but still it destroys. Il retient un souffle, propose — lui demande — de rester, ne réagit que d’un Tsk, claquement de langue exaspéré, puis affirme qu’il sera sympa, le soupir sarcastique mais résigné. Nicer, il aurait du dire. Less of an asshole, il ne sait pas trop.
Il ne retire pas sa main, fixe une seconde son regard sur les doigts de Nyx, puis à nouveau sur son visage. L’excuse le prend de court, lui fait même hausser légèrement un sourcil, dubitatif et surpris. “You’re sorry?” Et avant qu’elle ne puisse retirer ou changer ses propos, ajoute un “Okay” d’acceptation. Il peut bien concéder ça, et se dire qu’elle est sincère — les doigts sur sa peau le détendent un peu, autant que ce Sorry.
You know that I would have chosen you if you had asked. Le semblant de calme se brise instantanément. “Oh gods.” Kaz jure trop vite, se redresse légèrement, assez pour s’éloigner de quelques centimètres sans chasser la main de Nyx. Elle a raison. Il aurait pu, hier soir. Il l’a fait maintes fois auparavant, pourquoi pas hier ? Les arguments lui manquent. Les souvenirs aussi, peut-être, bien qu’il ne se rappelle que trop bien de ce passage de la soirée, à regarder et à ne rien faire, prétextant vainement n’en avoir rien à faire, se concentrant sur sa bouteille ou sur sa clope ou peu importe ce qu’il a pris hier. Ne pas bouger, ne même pas essayer, d’ailleurs. Par jalousie, par fierté, par besoin de (se) prouver quelque chose ? “That’s not it,” il souffle, marmonne. Peut-être bien qu’hier, il a voulu savoir si elle allait revenir vers lui (mais c’était effectivement la sous-estimer : ça aussi, il le sait, si Nyx veut jouer, il n’y a qu’un seul gagnant, et c’est rarement lui, en particulier lorsqu’il ne tente rien de son côté). “I was…” Il commence, mais s’interrompt pour attraper la main de Nyx, trop proche de son visage, et la garder fermement dans la sienne. Un million d’arguments se fraient un passage entre ses pensées, mais aucun ne tient la route. Admettre qu’elle a raison, qu’il aurait simplement du demander ? Lui dire qu’il ne pensait pas qu’elle partirait sérieusement avec ce gars ? Avouer que ses songes étaient portés sur tellement de choses différentes hier soir qu’il n’a juste pas trouvé le bon moment pour (re)venir vers elle, ou que c’était trop tard ? Il libère son autre main, la porte à celle de Nyx déjà enfermée entre ses doigts. “Yeah, I should have.” Kaz rend sa défaite à voix haute, mais hausse les épaules, regarde la jeune femme. “But I’m here right now, and he’s not, so really it doesn’t matter.” Lies. It does matter. Il voudrait juste passer à autre chose, ne pas avoir à se rappeler qu’effectivement, elle est partie avec un autre. Ca ne devrait pas l’irriter autant, but it does, et il ne sait pas quoi faire de ça. Kaz préfère se rappeler que ce mec, et les autres, ne sont que de passage; ou, pensée plus toxique, qu’il peut bien rendre la pareille un jour, que ça n’a aucune importance, qu’il est là, maintenant, et pas quelqu’un d’autre, que… “Seriously, you wanna talk about last night? I don’t wanna hear it. You had fun? Great. Good for you.” Les mots s’enchaînent un peu vite. Il presse doucement la main de Nyx dans les siennes. Des soirées comme la veille, il y en aura encore des dizaines; une part de lui est bien consciente qu’il n’a pas à réagir comme ça, qu’il ne devrait pas ressentir tout ce qu’il ressent — des choses qu’il ne ressent pas avec Neo, ou avec Reine, ou qu’il parvient à cacher quand ils sont tous les trois ou quatre avec Nyx, et des choses auxquelles il ne pense pas, ou rarement, lorsque lui-même part avec quelqu’un d’autre que Nyx. That’s just fucked up, il pense très fort, relève les yeux vers Nyx, scrute son visage, de ses grands yeux à ses lèvres à ses yeux à nouveau. “I don’t care about last night, but I’m here now. So do what you want with that.”

17/03/2023

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ft. @kazan vox

As I look up from the ground, I see darkness all around, And I'm lost but can't be found inside my mind, goodbye.

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elle provoque parfois trop, joue d'une inconscience sans nom comme si tout lui était constamment permis — comme si elle avait le droit et la possibilité de faire ce que bon lui semblait sans jamais se soucier de rien. et c'est le même rôle qu'elle t'offres à nouveau, noie les excuses offertes quelques secondes avant dans sa nonchalance habituelle — les frustrations qu'elle fait naître chez tout le monde à agir de la sorte sans jamais se remettre en question. “oh gods.” le sourire est narquois soudainement, cherche à soutenir ton regard qui la fui pourtant, les doigts se refermant davantage sur les tiens. et si elle avait offert des excuses en dépit de sa fierté, elle ne te laisserait pas en sortir indemne en retour — bien au contraire. “that’s not it,” la langue qui claque contre le palais, fait preuve de tout le sang froid en sa possession pour ne pas te claquer son poison au visage, “i was…” elle les attends les excuses idiotes que tu vas lui sortir, le rire moqueur que t'allais lui envoyer le visage — et quand tu redresses sa main, elle pense sincèrement que t'étais en voie de simplement l'envoyer au loin. “yeah, I should have.” et c'est la surprise qui se lit sur ses traits, pas préparé à recevoir la moindre honnêteté quand votre jeu constant était basé sur le manque de sincérité. la bouche s'ouvre, se referme, les sons qui se font absents soudainement. “but I’m here right now, and he’s not, so really it doesn’t matter.” un point pour toi. t'étais là et pas lui parce que ça se finissait toujours comme ça. parce que peu importait avec qui elle partait dans les ultimes provocations qu'elle pouvait te lancer, c'était toi qui finissait toujours par être le pilier le plus stable de sa vie. “seriously, you wanna talk about last night? i don’t wanna hear it. you had fun? great. good for you.” et tu t'agaces, elle le sait, les mains qui font davantage pression sur les tiennes, les yeux qui ne te lâche pas une seule seconde. that’s just fucked up, bien sûr que ça l'était, ça l'avait toujours été entre vous et y aurait sûrement rien qui pourrait changer ça. ni elle, ni toi parce que le courage dont vous aviez besoin était inexistant et que vous préféreriez milles fois vous livrer des batailles incessantes plutôt que lâcher ce qui pesait vraiment sur vos coeurs. “i don’t care about last night, but i’m here now. so do what you want with that.” le nez se plisse, le souffle s'échappe de ses lèvres, refuse de te lâcher quand elle s'apprête pourtant à lâcher des tas de choses. you're a liar, s'insurge, affirme. saying again and again that you don't care when it's only a lie parce que t'avais débarqué ici bien trop tôt, parce que tu t'acharnais depuis tout à l'heure, encore agacé qu'elle ait osé partir avec un autre que toi. et les doigts font davantage pression sur toi, les iris sombres qui te fixe, if you didn't care, you wouldn't be here right now, t'aurais pas débarqué chez elle prétextant t'inquiéter quand jamais neo ou reine ne l'avait fait — tous conscients qu'il s'agissait là de vos fins de soirées habituelles. so you know what i want to do ? et le sourire se veut mesquin cette fois, refuse de relâcher tes mains, punch you in the face juste parce que tu l'agaces à agir de la sorte quand le fond, elle sait qu'elle était bien loin d'être mieux que toi. but i also want to do that et elle te relâche cette fois, quitte la chaleur de tes mains pour chercher celle de ton visage, les paumes qui viennent encercler tes joues. et c'est ses lippes qui viennent trouver les tiennes, s'y apposent fermement — mélange entre un élan de colère et de désir.

10/06/2023

don't you know that i'm toxic

ootd {{ 16·06·2023 }}
ft. @nyx erenford

Too high, can't come down, losing my head, spinnin' 'round and 'round.

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mention drogues & alcool ; addictions ;

stay toxic

; mention violence ; mention sexe

Elle le traite de menteur, et Kaz s’agace à son tour. Qu’est-ce que ça leur apporterait, qu’il admette la vérité ? Qu’y gagnerait-il ? Nyx doit bien savoir que ce ne serait qu’une victoire pour elle, et c’est peut-être pour ça qu’elle insiste pendant que Kaz s’impatiente, silencieux, se sent de plus en plus acculé. Il y perdrait en dignité, lui, coup à l’ego (déjà bien amoché par l’inquiétude ressentie des heures durant). Et ensuite ? Admettons, qu’il dise être plus jaloux qu’il ne le prétend, possiblement plus possessif… Ensuite, quoi ? Kazan est convaincu qu’au mieux, ça ne changerait rien, à part que la jeune femme s’en vanterait sûrement pendant des mois, et qu’au pire, cela changerait leur relation, chose que Kaz ne veut pas. C’est mieux ainsi, finalement. Qu’elle le cherche, qu’ils se cherchent mutuellement, qu’ils s’engueulent — pour des broutilles, la rancœur souvent le fait d’un instant, vite oubliée, ou cachée sous le tapis — qu’ils s’amusent, qu’ils donnent l’impression que ce n’est pas si important.
Pourtant, outre la soirée de la veille qui pèse sur eux, le danseur aurait trouvé plus simple que son inquiétude soit prise davantage au sérieux. Il n’oublie pas les excuses de la jeune femme, les a acceptées, mais il aimerait être capable de dire qu’il s’attardait un peu plus sur la peur de la retrouver morte, au milieu de nouvelles explosions, nouvelles émeutes, parmi la foule en colère de la basse-ville, ou même personnellement visée à cause de son nom de famille, plutôt que sur le fait qu’elle baise quelqu’un d’autre. Cette situation, qu’il trouve de plus en plus ridicule au fil des minutes, aurait pu être réglée très vite s’il n’était pas si fier. Il s’insurge à son tour, “You’re making me crazy.”; rejette brièvement la tête en arrière parce que lever les yeux au plafond ne lui semblait pas suffisant pour exprimer son agacement. Une sorte de sourire étire toutefois discrètement le coin de sa bouche et son regard est à nouveau bien vite dans celui de Nyx, intéressé par ses mots et son attitude.
Elle libère sa main des siennes et son baiser, bien que soudain, n’est pas tant une surprise. Il y répond avec autant d’impatience que d’envie, une main allant instinctivement se perdre dans les cheveux de la jeune femme, l’autre sur sa taille. Ca aussi, il suppose que c’est normal pour eux, que ce soit pour s’amuser, ou passer le temps, ou par réelle attirance, ou pour régler les problèmes, ou tout à la fois, comme dans ce cas-ci. Et s’il a promis juste avant d’être sympa, il a été immobile trop longtemps, trop nerveux, et se permet donc de la repousser sur le canapé sans rompre le baiser, sans être plus doux non plus, ayant instantanément suivi l’élan ferme de Nyx; souplement, il quitte en même temps la table basse, passe à califourchon au-dessus d’elle et laisse sa main remonter jusqu’au cou de la brune, l’autre toujours dans ses cheveux.
Finalement, il s’éloigne légèrement, scrute le visage de Nyx, veut répéter qu’elle l’agace particulièrement aujourd’hui, mais dit juste, “Maybe you should. Punch me in the face, I mean,” il précise, nonchalant, avec un petit — et insolent — haussement d’épaules. “That might be cathartic for both of us.” Kaz songe, sans lui-même savoir s’il est totalement sarcastique. Il n’a jamais rechigné à se prendre des claques (et les cherche volontairement la moitié du temps), mais maintenant ? Avec Nyx ? Comme ça ? C’est peut-être s’aventurer sur une pente dangereuse. Il se redresse un peu plus, en appui sur ses genoux, ses mains quittant Nyx, met par conséquent un peu plus de distance entre leurs visages — pour mieux réfléchir, remettre de l’ordre dans ses idées et pensées, se demander s’il n’est pas en train de la laisser gagner encore et encore — foutue fierté qui le tient en étau. Il l’observe un instant, avant de soupirer. “Let’s just… stop fighting.” Les hauts, les bas, il les réclame souvent à l’extrême, mais c’est un peu différent avec Nyx, ou avec les quelques autres personnes qui comptent, avec qui il fait activement des efforts. Son esprit est un peu confus (il préfère mettre ça sur le dos de sa trop longue sobriété aujourd’hui et la nervosité qui en découle, dissimulée sous sa peau, constamment à l’affût), et il se tait, pour ne pas hésiter, tiraillé entre l’envie de l’embrasser à nouveau ou, malgré ses propres dires, la provoquer autrement, continuer à se battre pour rien. S’il est conscient de chaque pensée qui traverse sa tête — qu’une part de lui est désolée, qu’une autre est en colère, rancunière et cherche les problèmes, qu’il est anxieux, aussi, et que le monde le démange ces jours-ci, que lui et Nyx, ça pourrait être tellement plus facile mais qu’il n’est pas sûr de le vouloir — le danseur n’en partage rien. Il prend la main de Nyx, l’attire vers lui, l’intime à se redresser, se rapprocher. “You sure like to argue, for someone feeling like dying. I gotta admire that.” Il aurait pu continuer à la disputer, pour empirer sa gueule de bois, par vengeance, mais I’ll be nice, ses propres mots, et, “But let’s stop. Come on,” il répète, demande à voix plus basse en cachant son visage dans le creux de son cou, les doigts de sa main libre dansant contre la taille de la jeune femme, s’amusant même le temps d’un instant à la faire vibrer, magie insufflée par sa volonté.

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