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WHISPERin the night
rpg francophone low-administration600*460 • 1 rp/mois
La paix n'est plus, pas même de façade. Dans une débâcle de bombes et de hurlements, Zaun a réclamé son indépendance en détruisant le siège du Council. La haute-ville se reconstruit sur des airs dictatoriaux tandis qu'à Zaun, les lois s'effondrent, les rues ne sont plus que passages à tabac en règle, pour dépouiller autrui ou par simple plaisir de semer le chaos.
C H. N L G
The Council
pnj compte fondateur & maître du jeu, PNJ ; à mp pour toutes demandes liées à l'administration
HERESY.
hiatus Nebula + Karma + Neomä + Kane + Hinatea + Reagan + Samaël
NEIR.
présente Soleil + Rose + Dusk + Reine
Last Waltz
présente Niyah + Nyx + Nevoria + Maxine + Lola + Night + Aqua + Neela
Gekyume
présente Raven + Daemon + Maddox + Caïn

Guide Faune & flore Festivités Grimoire Velaris Times Scénario & PL
01.07 vers. 17, découvre les nouveautés ♡

WIN fonctionne désormais en low-administration, plateforme purement dédiée à l'écriture, sans contraintes. Ce qui signifie : plus de fiches de présentation, inscriptions libres et validation dans le groupe de ton choix au moment de ton inscription dans le listing, pas de contrôle de l'activité rpgique. Les suppressions auront lieu tous les deux mois : les comptes déserteurs seront alors supprimés sans préavis. Profitez de vos personnages sans pression ni obligations (plus de détails). ♡

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i want to play your game,, (nimiaz)

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09.07.22 20:56
(i want to play) your game,,
with / @nimia nazali — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)


Ses lèvres se referment. Sa voix s’éteint. Et Kaz craint, sans qu’il ne puisse clairement l’exprimer, de la voir tourner les talons. De reprendre, sans lui, sa route dans l’opacité des ténèbres cisaillées de néons. De lui échapper sans qu’il ne puisse rien faire pour l’en empêcher. Parce qu’il a juré de ne pas la blesser, de ne jamais la heurter – mais si elle venait à vouloir partir, que serait-il capable de faire pour la retenir à ses côtés ? Cette question n’agite que ponctuellement ses synapses, le plus souvent lorsque les propos de Nimia alimentent l’angoisse acide qui tapisse les parois de son estomac.

Et Nimia s’éloigne déjà, avant de lui revenir dans l’instant, s’agrippant à sa main valide en un geste qui le saisit dans la surprise qu’il distille à la surface de ses nerfs. Un souffle de soulagement le traverse, alors qu’il s’accroche à l’éclat d’espoir qu’elle a fait naître en lui ; qui continue de palpiter ; jugulaire tendue sous la peau fine de son cou, laissant paraître les lourds mouvements de son cœur énamouré.

Suivant l’impulsion qu’elle insuffle à leur cheminement, les lippes de Kaz se scellent. Aurait voulu s’attarder davantage, et peut-être avec plus de détails, sur tout ce qu’elle lui inspire ; les pensées qu’elle provoque ; les sensations qui l’animent en sa compagnie (qu’il aimerait constante). Pour autant, c’est en silence qu’il la suit, les doigts croisés aux siens, profitant de sa simple présence. Il ne peut que l’observer, la contempler comme il a l’habitude de le faire – de ces rues desquelles ils finissent par s’arracher, avant de rejoindre l’appartement de Nimia.

Kaz aime s’y perdre. L’odeur de son parfum partout autour de lui. Petites parties d’elle dissimulées ici et là, objets contant une histoire qu’il ne connait pas tout-à-fait. N’a pas le privilège de s’y attarder cette fois-ci, lorsque Nimia le conduit auprès de l’évier, arrachant les morceaux de verre à sa peau fendue, avant d’en rincer les plaies sous l’eau claire. Les frissons dévalent le long de sa colonne vertébrale, douleur lancinante s’étant emparé de sa carne malmenée. Ses yeux noirs scrutent le visage fin de Nimia. N’ont de cesse de l’observer, jusqu’à ce que ses rétines se fardent d’une affliction étrange – puisée dans une euphorie étrange. « I love you. » Say it again. Même émotion violente percutant son ventre, lorsque cette déclaration l’anime à chaque fois. Un soupir passe ses lippes entrouvertes ; et il voudrait le lui dire également, qu’il aime ; le lui répéter ; mais il le lui a suffisamment dit, et il a également suffisamment parlé. Autour de sa main, le bandage qui s’enroule, précaution des gestes qui s’amorce.

« I was not able to leave knowing that you could be in danger. » Les bras de Nimia retombent le long de son corps, lorsque sa propre main blessée se suspend encore dans les airs. Interrogatif, le visage de Kaz bascule légèrement sur le côté, la toisant entre ses cils rapprochés. « I can't be safe nor happy if it's not the same for you. »

Fuck. Et certainement que la profanité se fait entendre en un souffle rauque qui ricoche contre les murs de la cuisine, lorsque ses bras s’écartent avant de s’enrouler autour de la nuque de Nimia, l’attirant à lui en une étreinte flairant le désespoir passé. « I understand. » Etouffe les trémolos dans sa voix contre le crâne de Nimia, y apposant ses lèvres, respirant l’odeur sucrée de ses mèches. Paupières fermées, l’être frémissant encore bardé d’émotions contraires ; le cœur à l’agonie de ce qui aurait pu être ; de ce qui aurait pu arriver à Nimia, si elle n’avait pas été en mesure d’arrêter la bouteille qui lui était destinée. Kaz esquisse un mouvement de recul, emprisonnant le visage de Nimia entre ses mains après avoir dégagé les cheveux qui assombrissaient sa peau. Sa propre nuque légèrement courbée afin de faciliter le regard qui s’aligne. Ses pouces tracent un arc-de-cercle sur ses pommettes rebondies. « But all I want to do is to protect you. To keep you safe. You were not safe back there. And I took you to this fucking party anyway. » You were not safe because of me. Et peut-être que la vérité pourrait enfin trouver une place dans leur réalité. Un instant de réflexion plus tard, le temps d’un battement de cils, décide de s’étrangler dessus. « It won’t happen again, I swear to you. » Si les excuses tardent, se crèvent dans sa bouche, ses yeux noirs se drapent d’une sincérité évidente. « Say you love me again, please, demande-t-il enfin, innocence réinterprétée, en venant frôler ses lèvres des siennes, laissant leurs souffles s’entrechoquer. »

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10.07.22 17:46
(i want to play) your game,,
with / @kaz rhishan — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)



alors, non. non elle n'avait pas pu te tourner le dos. elle n'avait pas pu tourner les talons pour trouver une certaine sécurité à l'extérieur quand toi, t'étais là, bloqué au milieu d'idiots avec un trop plein de testostérone. non, elle n'avait pas pu se résoudre à prétendre que c'était rien et passer le temps dans l'attente de ton retour comme si tout se passerait bien. it could have turn really bad. avec ou sans elle. les répercussions auraient pu être dramatique, bien loin des quelques éclats de verre plantés dans ta peau.

et qu'est-ce qu'elle aurait fait si ça avait été le cas ? le coeur qui se serre par instinct, nausée passagère à l'idée d'avoir pu te perdre dans les méandres d'une bataille déclenchée pour rien. et si les insultes n'étaient jamais plaisante à entendre, elle n'aurait eu aucun mal à passer au-dessus, intouchable quand le poison des autres venaient à se déverser.

dans le fond, t'es sûrement coupable du dérapage — de la position qu'elle avait affirmé à ce moment-là par son refus d'obtempérer, l'envie de montrer que s'il y avait à affronter ; ce serait à deux. relation tumultueuse marquée par une passion dévorante — donne une raison aux disputes incessantes, à la violence des altercations qui surviennent à chaque fois que les avis diverges (trop souvent). mais c'est aussi ce qui donne de la beauté à votre rencontre, renforce l'idée que c'était probablement écrit depuis le début.

[ maybe is true
maybe we are all destined to someone ]


et elle sait pas si t'as idée d'à quel point ça la soulage quand tes bras se referment soudainement autour d'elle, projeté dans ton espace à ne faire rien d'autre que respirer ton parfum. « i understand. » exhale. ses propres bras qui se serrent autour de ton dos, repose sa tête avec douceur quand elle ne fait plus rien d'autre que canaliser sa respiration pour calmer toutes les émotions dévastatrices des derniers moments. mh.. râle qui s'échappe de ses pulpeuses, peine presque à ouvrir les yeux pour te regarder à nouveau, poupée entre tes doigts quand la vérité était que tu pourrais certainement faire tout ce que tu voulais d'elle. « but all I want to do is to protect you. to keep you safe. you were not safe back there. and I took you to this fucking party anyway. »i understand répète les même mots, saisit le fond sans être particulièrement en accord avec l'application. but you didn't know what was going to happen et tu ne pouvais pas te blâmer pour les actions des autres ni même l'altercation soudaine — personne aurait pu le prévoir.

« it won’t happen again, i swear to you. »don't. parce que personne n'était en mesure de promettre des choses de cette ampleur. personne ne pouvait vraiment assurer que plus jamais ça n'aurait lieu, les rues de la basse ville trop dangereuse pour se laisser aller à la moindre promesse. « say you love me again, please, le souffle qui s'abat sur son visage, remonte les paumes de ses mains jusqu'au tiens, l'épiderme qu'elle frôle à répétition quand elle se perd dans les yeux noirs aux promesses d'infini. i - love - you entrecoupé des baisers qu'elle dépose contre tes lippes, défait avec lenteur les boutons de la chemise qui recouvre ton corps. et elle bat des cils nimia, les doigts qui glissent doucement contre toi, laisse les pulpeuses dériver sur la ligne de ta mâchoire qu'elle dessine dans une multitude de baisers arôme alcoolisé — say that you want me murmure indécent, dictée par les pulsions que tu déclenches à chaque fois — cherche à éteindre dans une étreinte les douleurs provoqués par les mots cruels que vous pouviez vous lancer. say that you need me quand les baisers se font plus appuyés, attise la peau de son contact.

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11.07.22 0:54
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with / @nimia nazali — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

rapport sexuel consenti
Sous ses doigts, contre son torse, le corps de Nimia. Son souffle qui se marie au sien, les poitrines se mouvant à l’unisson dans cette étreinte qui panse des plaies encore béantes. Et l’avoir auprès de lui, confortablement calée dans le nœud de ses bras croisés, parvient à apaiser la nervosité qui s’est animée sous son épiderme. A force d’injures et de menaces ; à force de suppositions terrifiantes ; la perspective de la perdre, présente maintenant plus que jamais.

Les bras de Nimia l’entourent, et pressent sa taille, ses mains se perdant dans son dos, le tissu se froissant sous ses paumes. Le sourire qui s’esquisse pourtant, commissure à peine relevée, à l’entendre étouffer un râle contre sa chemise. « I understand, but you didn't know what was going to happen. » Se laisse sombrer dans un mutisme dubitatif, ses yeux se perdant un instant dans le vide – I should have guessed. A force d’avoir essuyé brimades et moqueries, lorsqu’il n’était encore qu’un enfant, les souvenirs ancrés aux habitudes ont la dent dure, chez lui comme chez d’autres – devrait alors certainement supposer que son secret n’est pas en voie de tenir longtemps. Il le lui faut pourtant, tenir la cadence des vœux qui s’alignent ; et anticiper ce qui pourrait être dévoilé à son sujet. Une naïveté, une candeur, à se dire que ce n’est qu’un détail qu’il lui dissimule.

That it’s nothing that matters.

Préfère alors, en désespoir de cause, de répandre en promesses. N’y croit toujours qu’à moitié, lorsqu’il est question de Nimia – lorsqu’à la lumière de ce qui pourrait lui arriver, Kaz semble se perdre plus qu’il ne pourrait l’expliquer. Plus que la colère dans le corps, à guider gestes et décisions ; à parsemer sa langue d’injures et d’ordres vindicatifs ; plus rien que l’émotion, brutale et douloureuse, qui le guide. Et si Nimia ne dit rien en retour, pense-t-il, c’est sans doute parce qu’elle sait aussi – qu’il ne peut rien promettre.

La douleur s’esquive alors, à mesure que Nimia obtempère ; « i - love – you » lui répète-t-elle, ses lippes se refermant sur les siennes, étouffant ses soupirs, en une pluie de baisers. Vague de soulagement pourfendant les derniers résidus d’angoisse. Et il voudrait l’entendre dire ; encore et encore ; et encore et encore.

Un grondement s’ensuit, à sentir les doigts de Nimia arpenter les boutons de sa chemise, les extirpant des trous dans lesquels ils ont été logés. Ses paupières frémissent, quand ses lèvres continuent de chercher les siennes, mais que celles de Nimia finissent par lui échapper, réveillant en lui un sentiment confus de frustration et d’anticipation fébrile. Ses yeux se révulsent. La bouche de Nimia suivant l’angle de sa mâchoire, se rapprochant inexorablement du creux de son cou, là où les sens semblent s’exacerber. « Say that you want me, contre sa peau, la demande éclot. Peine à réfléchit, peine à respirer quand ses exhalations s’entrechoquent, que son corps gagne en vigueur. Autour de lui, Nimia. Contre lui, Nimia. Dans sa tête, en lui. You know I do. I want you. » Un soupir s’extirpe, rejette sa nuque en arrière. « say that you need me, reprend-elle, quand ses propres mains se perdent dans ses cheveux, qu’il remonte jusqu’à sa nuque qu’il épouse sous sa paume. I need you. » Ses paupières frémissent sous la lumière artificielle. Son torse s’abat brutalement, en un dernier élan d’exaltation, en proie aux nombreux émois qu’elle lui insuffle.

« You’re fucking incredible, que ça marmonne, la voix enrouée. » Avant de courber l’échine, lèvres tendues, dévalant de son front, le long de son nez jusqu’à sa bouche. La hisse contre lui, l’incitant à enrouler ses jambes autour de son bassin, râles s’arrachant à la nette proximité qui s’instaure entre eux. Yeux fermés, et à reculons – connaissant cependant suffisamment bien les lieux désormais pour éviter les meubles –, c’est le pas de la cuisine qu’il passe, avant de caler Nimia entre lui et un mur du salon. Son corps se tend vers elle, se presse fermement, profite des contours de son corps ; et ceux de son visage qu’il embrasse, ses lèvres retraçant chaque aspect, chaque relief. L’adoration est évidente, en enfouissant son nez dans son cou, ses mains s’attardant à la délester de son t-shirt. « Don’t you wanna talk instead? You always make it seem like we don’t talk enough, demande-t-il avant de remonter jusqu’au lobe de son oreille qu’il coince entre ses dents. Got an idea. You can start by telling me what you want me to do to you first. » Et au gré des mots, du jeu qui s’instaure, de l’étreinte à venir, les craintes se dissipent. S’effacent, lorsque Nimia remplit le vide qui l’incombe.
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11.07.22 17:11
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with / @kaz rhishan — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

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say that you're gonna stay forever. et elle tait pourtant la demande, se contente de s'immerger dans les besoins qui se décuplent de seconde en seconde, étouffe ses peurs sous les baisers offerts par milliers, épouse ta peau une nouvelle fois mélangeant tendresse et besoin.

[ but please, stay with me ]

you know i do. i want you. » satisfaction palpable dans les prunelles déjà enveloppées de ses désirs. can't hide it. pas quand tout son corps brûle pour toi, pas quand elle te cherche inlassablement du bout des lèvres, enhardie par les réactions qu'elle provoque. et peut être est-ce l'alchimie — coupable des fusions éternelles, qui vous pousse constamment à en chercher plus malgré ses discours qui s'opposent à chaque fois qu'elle se trouve loin de toi. i need you. » et c'est tout ce qu'elle a besoin d'entendre sur le moment, réconfort des mots qui se répercutent en écho dans son esprit embrumé, se complait dans les désirs que tu lui souffles de tes mots et expiration venant brûler sa peau.

elle se sait perdue d'avance, nimia, depuis l'instant où les baisers étaient devenus une source d'avidité, un besoin oppressant qu'elle n'était pas en mesure de refouler — tentatives vaines pour constamment finir dans les même draps, éreintés des ardeurs d'une passion dévorante qu'elle se peine à réellement épuiser. « you’re fucking incredible,you're fucking hot réponse qui dévale, s'enfuit des lippes, les jambes qui viennent s'enrouler autour de tes hanches sitôt que le sol ne devient qu'un lointain souvenir. et elle te laisse rougir ses lèvres, sa peau, la marquer autant de fois que tu le désires par des traces invisibles et pourtant bien ancré dans les veines qui sillonnent son corps.

fraîcheur du mur qui la réceptionne, râle qu'elle peine à contenir quand les silhouettes se pressent, se cherchent, s'attisent une nouvelle fois pour combler les ardeurs se faisant entendre en bas fond. et tout devient supplice, de tes lèvres qui parcourent son visage à la peau qui se dévoile peu à peu, respiration chaotique provoquée par les idées qui s'emballent toujours trop. « don’t you wanna talk instead? you always make it seem like we don’t talk enough,shut.. les mots qui se perdent, la faute aux dents qui attaquent l'épiderme, rend le souffle toujours plus erratique — marqués par instant des soupirs qui ne demandent qu'à gagner en puissance, réclame davantage. got an idea. you can start by telling me what you want me to do to you first. »everything. affamée, insatiable, le besoin de tout posséder quand ça en vient à toi. d'avoir plus, bien plus que ce qu'elle n'aurait osé imaginer par le passé.

let me down marmonne d'une voix rauque, possédée par ses désirs — toujours plus nombreux, crève de toi à petit feu. et les yeux se font insistants, ( p a s s i o n n é s ) jusqu'à obtenir gain de cause, regagner le sol sans vraiment te laisser le loisir de te détacher. main emprisonnée de la sienne, sourire mutin qui s'installe sur les traits, laisse les lippes embrasser la peau quand elle te guide dans l’épopée de son corps, frémis sous les caresses qu'elle guide — vous pousse à deux dans des sentiers brûlants. terres conquises plus d'une fois, aventure qu'elle voudrait pourtant réitérer à l'infini, les lippes qui se joignent aux tiennes, laisse les doigts la parcourir, glisser sur la peau fragile à lui en tirer des mélodies gracieuses — saccadées et emplit d'ivresse. on.. your knees ordre-supplique, les doigts qui reviennent s'accrocher à tes épaules, appui indicateur sur les envies du moment — celles que tu réclames tout autant. please.. détresse presque perceptible dans la voix qui déraille, se plait dans les instants qui font palpiter le ventre — désir masqué sous les papillons qui s'envolent.
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12.07.22 0:48
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with / @nimia nazali — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

rapport sexuel consenti
Pourrait tout lui demander, Nimia, lorsqu’elle le tient ainsi au supplice ; lorsque son propre souffle lui revient en écho, ricochant sur le lobe sur lequel ses dents s’égarent. Que son parfum l’embrasse, l’étreint, et qu’il s’y noie. Qu’il souhaite s’y perdre davantage, pressant l’entièreté de son corps contre celui de Nimia, étouffant ses quelques râles contre sa peau, faisant dévaler ses lippes jusqu’au creux de son cou. Ses doigts s’enfoncent dans le renflement de ses cuisses, s’y arrimant avec force en l’attirant contre son bassin tendu, y laissant la marque de ses phalanges.

Soupir de frustration lorsque l’injonction lui est donnée : « let me down » et déjà, il s’exécute sans exprimer plus de protestation, relâchant sa prise autour de ses jambes, libérant sa taille à l’agonie de la pression qui s’y apposait. Son front moite se pose sur celui de Nimia, et le sourire s’esquisse lorsque ses doigts viennent à la rencontre des siens, dirigeant sa main sur sa peau, dégringolant le long de la ligne de son ventre. Suit docilement les ordres silencieux qui se tracent en arabesques sous ses phalanges, cœur balbutiant en s’enivrant des émois qui se répercutent contre ses tympans. Ses lèvres frôlent celles de Nimia, récupérant son souffle contre sa langue. Et il lui faut contrôler l’impulsion de ses nerfs, ébranlée par la tension profondément logée dans le creux de son ventre ; alimentée à la voir ainsi vulnérable, en décuplant la multitude d’arabesques qui s’ébauchent avant de s’accentuer.

« On.. your knees. » Les mains de Nimia se posent sur ses épaules. Sous ses paumes, sent l’élan de l’ordre qui percute la dernière once de retenue qu’il pourrait posséder. « please.. » Sa voix est frémissante, fardée d’émotions qu’il aime entendre, lorsqu’il s’attarde à la faire gémir. Ses yeux noirs se baissent vers les siens. Sa gorge se meut doucement de haut en bas, suivant la danse de son souffle rauque.  « You don’t have to say please. » Et c’est à peine si Kaz reconnait sa propre voix, tant elle lui semble enrouée.

Mais c’est sans manquer le moindre battement qu’il écrase ses lèvres contre les siennes, afin d’y expirer ses dernières divagations (qui n’ont de cesse de palpiter dans son crâne). Les émotions qu’elle lui insuffle ne sont toujours que plus exacerbées. Les sensations se dilatent sous sa poitrine. Se répandant en baisers, Kaz se courbe ; précipitant ses lèvres éborgnées sur le menton de Nimia, sa gorge fine, suivant le trait invisible du point ancré entre ses clavicules à son nombril, avant de sombrer plus bas. Les doigts qui déboutonnent progressivement son jean, s’y reprenant à deux fois afin de l’en extirper, grommellement soulignant la maladresse éthylique. A genoux, le menton qui se relève, sa main s’harponnant à la cuisse de Nimia afin de la caler sur son épaule.

Les paupières qui se ferment, lorsque son front se cale contre son ventre. Et du bout des lèvres, Kaz pense panser les vestiges du passé. Des disputes qui les ont opposés, aux premières incompréhensions – jusqu’aux demi-vérités qu’il lui évoque ponctuellement. En suivant le cheminement des gémissements de Nimia, ses lippes battent imperceptiblement la mesure de sa culpabilité, passion qui n’a toutefois jamais été entravée par les émotions contraires qui palpitent dans son estomac. Let’s make it right. Lorsque ses doigts s’enfoncent dans la cuisse de Nimia. Lorsqu’il la sent se tendre contre son visage, et qu’il l’étreint de plus belle. We can make it right. En sentant son propre corps se perdre en frémissements, abandonné à tout ce qu’elle parvient à réveiller en lui. En pensant à tout ce qui a été dit ; révélé. Essoufflé, il esquisse un mouvement de recul, le nez qui se redresse vers le plafond, observant les lignes du corps de Nimia jusqu’aux traits de son visage. Troublé, à ne pas savoir quel mot mettre sur l’amour – ce n’est pas normal. Une telle intensité ne peut pas être normale.

Mais ça ne le terrifie pas.

Ne l’a jamais terrifié.


Abdique, face aux questions qui le jalonnent. Sans absoudre sa poigne autour de ses cuisses, les muscles bandés sous sa peau noircie d’encre, ses lèvres viennent frôler son ventre. « Fuck. » Grondement qui se répand sur l’épiderme qui s’hérisse à son contact. Ses lèvres s’étirent ; il aime la sentir onduler à son approche. « I've been thinking about you all day, susurre-t-il. You're in my skin. » Fracas d’adoration qui s’étale contre sa peau qu’il embrasse, avant de se redresser, se séparant de sa cuisse, la morsure du vide piquant la ligne de son épaule. Doucement, ses doigts écartent les mèches de cheveux qui tombent sur le front de Nimia. Moment d’accalmie, en sombrant dans l’observation qui perdure ; profitant de ce court instant de répit, en se permettant de l’aimer. Et c’est douloureusement qu’il le ressent. C’est profondément que ça se vit, que ça se le secoue. « I want to have you now. » Et les sourcils s’arquent en demande rhétorique lorsque ses mains s’arriment aux hanches de Nimia, et qu’il la rapproche de lui, ses bras s’enroulant autour de sa taille, les cœurs se répondant à l’unisson en attendant qu'elle le lui autorise.

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12.07.22 14:59
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with / @kaz rhishan — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

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l'esprit est embrumé, chaotique. la faute aux souffles brûlants qui se dégagent de ses lippes rougis, à frémir au moindre contact qui s'appose sur sa peau, prête à défaillir d'une seconde à l'autre. gamine en transe, perdue dans les méandres de ses propres désirs, vibre au rythme des souffles qui viennent s'abattre contre son épiderme, glisse à la délicatesse des touchers qui s'emparent de son être. et elle comprends pas nimia, ne comprendra sûrement jamais pourquoi est-ce que tout était aussi violent avec toi, des palpitations du coeur aux cris de vos combats.

[ but she loves it anyway ]


passion dévorante aux allures de supplice, l'émoi qui reste le même à chaque fois, tire la multitude de soupirs qu'elle ne cherche plus à canaliser. pourquoi faire ? évidence qu'il te suffit de poser les yeux sur elle pour la faire dériver dans un monde bien différent, à la merci des besoins que tu animes du bout des doigts sans lui offrir le moindre répit. et elle s'en fiche, n'en veut pas, refuse la moindre pause quand chaque demi-seconde d'arrêt est semblable à une torture. préfère guider les actions pour se délecter des sensations quelles procurent, les doigts libres plantés dans la peau voisine, laisse entendre à quel point tu l'emportes, à quel point elle te désir. et par inadvertance, ton prénom glisse de ses lèvres en litanie, suppliques étouffées par le souffle saccadé.

please, please.. répète inlassablement, les doigts en appuis sur les épaules qui la surplombe, réclame les instants d'extases que toi seul sait lui faire vivre dans des danses mélodieuses et diabolique. you, always you dans sa tête, son coeur, image infini qui ne cesse de prendre l'espace de son esprit quitte à annihiler le reste. « you don’t have to say please. »go on your knees then fait résonner l'ordre cette fois, princesse pressante et avide des baisers déposés au creux de sa peau, ressent le besoin de posséder maintenant.

douceur des lippes qui l'embrase une nouvelle fois, respire difficilement — oxygène en voie de disparition. babe.. et c'est lent, tortueux, les hanches qui partent vers l'avant dans une impulsion soudaine — le corps tout autant avide qu'elle. et chaque seconde donne des impressions d'heures, font perdre la tête davantage quand la perte des vêtements devient une nouvelle bataille, précipitation des gestes empêchant la moindre cohésion. et elle souffle, douloureusement, poupée entre tes mains qui laisse échapper un gémissement quand le souffle se répand contre ses cuisses.

c'est presque automatique, de la contraction des muscles jusqu'aux doigts qui viennent s'accrocher à tes cheveux, gémis à chaque seconde les effluves de désir que tu augmentes, pression constante qui n'a de cesse de s'accroitre, gagne en intensité sous les souffles à l'instabilité omniprésente, supplie silencieusement que jamais ça ne s'arrête.

[ et à coup sûr, elle irait se damner pour toi ]


« fuck. »me. de toutes les manières imaginables, encore et encore sans jamais toucher du bout des doigts une quelconque lassitude. et elle revient te chercher quand tu la quittes, murmure plaintif qui se fait entendre devant le vide soudain. « i've been thinking about you all day, et peut-être n'étais-tu pas conscient de la force avec laquelle tu étais présent dans son esprit à toute heure du jour et de la nuit depuis la seconde où t'étais venu empoisser sa vie sans qu'elle ne s'y attende. ( p o i s o n ) mais contre toute attente, tu lui fais croire qu'elle t'attendait, depuis tout ce temps, à travers les années. you're in my skin. »so are you. malgré les insultes qui fusent par instant, malgré les douleurs qui submerges, infiltrés dans ses veines dans une puissance imparable, à la merci de ce que tu déclenches seconde après seconde. « i want to have you now. »and i'm all yours. éternellement.

pourtant, les paumes te repoussent, font appui pour te guider entre les meubles de l'appartement jusqu'à buter contre les bordures boisés du lit où vous vous étiez déjà perdus trop de fois. te laisse reculer contre les dossiers de coussins, le sourire empreint des folies que t'entretiens. et elle t'enveloppe de son corps, les lippes qui titillent les tiennes avant que les soupirs ne s'en mêlant quand l'union provoque les décharges électriques suffisante à vous apaiser un peu. stay here — demande soudaine, cache peut-être le véritable fond quand elle ne veut pas que tu restes ce soir mais bien indéfiniment. ponctue la demande de baisers avides, rythme langoureux des corps qui se retrouvent. for real, kaz, stay here.

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12.07.22 22:34
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with / @nimia nazali — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

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Le fil des pensées se perd, quand celui de ses émotions se concentre davantage. Du bout des lèvres, Kaz se focalise sur les nerfs qui tressautent à son contact, aux muscles qui se tendent contre lui, suivant des doigts chaque impulsion frémissant à l’orée de l’épiderme de Nimia. Chaque détail qu’il parvient à capturer entre ses cils frémissants lui semble inédit ; irrémédiablement gravé dans ses rétines douloureusement éreintées. Yeux découvrant de nouveau le corps de Nimia dans son entièreté, appréciant ce qui se dévoile ; ce qui lui appartient, se plait-il à imaginer. Les émois jamais longtemps apaisés, lorsque Kaz se trouve en sa compagnie, ayant découvert que sa seule présence suffisait à le rendre plus concupiscent qu’à l’accoutumée. Aucune demi-mesure dans l’impulsion de ses gestes, ou d’hésitation à la lisière de ses nerfs, quand elle pourrait tout lui demander qu’il s’exécuterait sans broncher, sans se targuer de la moindre défiance.

Son souffle rauque, erratique, nargue ses lèvres entrouvertes. L’anticipation brille dans ses yeux noirs. En se redressant, en la dominant de toute sa hauteur, c’est plus que Kaz s’autorise à quémander. A attendre sa réponse, fébrilement – lorsqu’il pourrait crever afin de permettre au jeu de perdurer indéfiniment autant qu’il aimerait qu’il cesse, afin de se fondre en elle, de la retrouver pleinement. Au crépuscule de tout ce qui a été dit (craché), il lui semble désormais essentiel de ressentir leurs corps s’entrelacer ; manque narguant déjà sa peau moite, en attendant le moment où il pourra se sentir vivre à sa seule proximité.

Ses bras enroulés autour de la taille de Nimia ne se décoincent qu’à peine, lorsqu’elle l’incite à reculer, apprivoisant son cheminement aveugle à travers l’appartement. Et Kaz se plait à penser qu’il saurait de quelle manière arpenter ces couloirs, les yeux fermés, privé de tout contact, répondant à l’appel des habitudes ancrées dans ses chairs ; se plait également à se dire qu’il a tout mémorisé de cet endroit, alors que la majeure partie de son temps est dédiée à une contemplation silencieuse (et perpétuelle, presque religieuse) de Nimia.
Kaz bascule finalement sur le lit, son échine retrouvant le matelas, et un sourire fissure ses traits lorsqu’il se recule jusqu’aux oreillers, tout en se débattant avec la ceinture de son pantalon, dont il finit par se débarrasser en battant des jambes et qu’il abandonne à ses pieds dans sa précipitation.

Bassin tendu en accueillant Nimia de nouveau contre lui. Paupières qui battent à l’aube de ce sourire qui le trouble. C’est un râle brutal qui l’étrangle, qui ricoche contre les lèvres de Nimia, lorsque les genoux de la danseuse se plantent de part et d’autre de ses hanches, et que les corps se joignent en un mouvement empressé. Instinctivement, ses doigts s’enfoncent dans ses cuisses, y apposant l’empreinte de sa dévotion, lorsque son propre cœur ébranle sa cage thoracique, vibrant contre le sien. Ses mains se dispersent alors en caresses sur son dos, sans qu’il n’en vienne à influencer l’harmonie de ses ondulations ; porté par la tension qui s’empile dans son ventre, dans ce qu’elle lui fait vivre – ressentir.

« Stay here. » La demande se dissimule dans les lèvres éborgnées qui s’étreignent avidement. Les cils de Kaz frémissent. L’euphorie palpite dans le réseau sanguin, labyrinthe de veines immédiatement nargué d’une exaltation évidente. Ses bras se croisent dans le dos de Nimia, tandis qu’il commence à marier le rythme de ses reins contre celui qu’elle lui impose. I’m not planning on going anywhere, voudrait-il gronder. « For real, Kaz, stay here.. » Son regard se perle d’une interpellation croissante avant qu’il ne se redresse finalement, le diable saisi aux membres, un bras tendu en arrière, main enfoncée dans un coussin qu’il déforme assurément, alors que l’autre vient immobiliser le corps de Nimia contre le sien.

Sous ses mèches d’ébène, l’incompréhension. Corps entier tenu au supplice par l’inertie qu’il distille, le cœur s’ébranle pour autant avec une férocité qu’il ne se connaissait pas encore ; alors qu’il pensait avoir tout vu, tout ressenti, avec elle. Manque un battement, avant de l’interroger, le souffle encore chaud ; l’intonation basse. « What do you mean? » Nuque qui se renverse en arrière, yeux révulsés, en poussant de plus belle le bassin de Nimia contre le sien ; l’empêchant cependant de se mouvoir comme elle l’entend. Et il n’ose encore trop y croire, à ce qu’il entend (ou pense entendre), lorsque ses lèvres s’arriment à la gorge de Nimia, qu’il embrasse du bout des lèvres, y trace des sillons passionnés.

Avant de la renverser sur le flanc, résolument immobile entre ses cuisses – malgré les élancements qui cisaillent son bas-ventre en de terribles afflictions, les avant-bras tendus en arc-de-cercle autour du visage de Nimia. Ses doigts se perdent lentement dans ses cheveux. Ses yeux se baissent vers les siens. « D’you really want me to stay? » Sa voix se perd en murmures, grinçant contre sa gorge tendue. Recommence doucement à se mouvoir, afin d’apaiser les reins qui s’ankylosent, et saturent son système d’un manque éreintant. « Tell me what you want. » Gémissement audible à l’ombre de ses lippes, en les enfouissant dans le cou de Nimia, répandant ses soupirs le long de sa peau nue. I want to stay, semble-t-il vouloir dire – sans trouver les mots qui finissent étrangement par lui manquer, en posant une main sur la cuisse de Nimia, la faisant dégringoler jusqu’à son mollet, l’ordre persiflé entre ses babines :  « cross your ankles in my back, I need you closer », à ne plus savoir à quel saint se vouer lorsque les informations sont ainsi disséminés.

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13.07.22 15:21
(i want to play) your game,,
with / @kaz rhishan — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

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stay here. ne pars plus jamais et tiens les promesses que tu lui susurres depuis le premier jour à la faire rêver d'une possibilité qu'elle n'avait jamais envisagée avant toi. et c'est toi l'effet bouleversant de sa vie, à l'avoir soudainement sorti du chemin qu'elle avait pourtant tracé pour réussir à s'enfermer dans une routine platonique derrière les murs de midrias. t'avais tout remis en cause — du début à la fin. et ça l'agace autant que ça fait naître en elle des sentiments contradictoires, le besoin de vivre la grande aventure que tu lui promets à chaque fois que tu portes tes yeux sur elle, à chaque fois que tu l'observes comme si elle était de ces divinités dont on ose à peine prononcer le nom.

« What do you mean? »you perfectly know what i mean. et peut être que t'as juste besoin d'entendre les mots comme à chaque fois qu'elle refuse de poser simplement ses envies — les mystères qui la jonchent alors quand elle se refuse à passer par la simplicité, avare quand vient le moment de réellement laisser entrevoir ses sentiments. mais tu le sais, kaz. tu sais parfaitement ce qu'elle entend, ce qu'elle demande, ce qu'elle ressent avant même que les mots ne viennent fleurir ses lèvres. tu le sais mais t'en réclames toujours davantage. l'esprit qui se partage alors entre les effluves de plaisir que tu fais naître et la frustration que tu provoques, coincée contre toi à gémir les besoins que tu refuses de perpétrer.

kaz.. les ongles qui viennent marquer le bas de ton dos, pression qu'elle accentue à défaut d'avoir quoi que ce soit d'autres malgré les suppliques qui filtrent de ses pulpeuses, malgré les envies qu'elle ne cesse de te communiquer. « d’you really want me to stay? »she wants something else right now mais rien que tu ne lui offres présentement prolongement le supplice de ta peau brûlante contre la sienne sans y ajouter les ondulations apaisantes. et le soupir se fait soulagé quand tu l'aides finalement à calmer le supplice, le bassin jouant avec le tien dans une langueur étouffante, remonte les doigts dans les boucles brunes qu'elle accroche. « tell me what you want. »you. et il n'y avait désormais plus rien qu'elle ne désirait plus que toi, rien qui serait capable d’imiter les flammes ardentes dans lesquelles t'étais venu l'envelopper sans crier gare. « cross your ankles in my back, i need you closer », exécution soudaine, les jambes qui se referment autour de toi, accentue davantage la pression, laisse les mélodies résonner avec plus d'intensité entre les murs qui vous enferme — laisse passer la conversation sous silence pour se concentrer sur les ébats enivrants.

les doigts en appui contre ta nuque, quémande les lèvres addictives pour y étouffer les plaintes nombreuses jusqu'aux décharges significatives venant secouer les corps, allégeant enfin les esprits. wow, le soupir qui s'échappe porte les mains à son visage quand tu libères son corps en glissant à ses côtés, le buste qui pivote vers toi. i want you to stay here réitère la demande, les yeux plongés dans les tiens.

and i want to know why sometimes you just.. disappear à te volatiliser soudainement dans des précipitations étranges — les rythmes réguliers qu'elle n'avait pu s'empêcher de remarquer sans réussir à y trouver la moindre explication logique.

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14.07.22 23:03
(i want to play) your game,,
with / @nimia nazali — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)

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Etranges sentiments qui l’animent ; prisonnier de ce qui est, et de ce qui pourrait être. Les injonctions de Nimia logées sous l’humidité de son front. L’œil brillant d’un éclat particulier, fiévreux ; lorsque ses propres questions s’animent ponctuellement, sans que Nimia n’y réponde toutefois. Elle-même enlisée dans un silence, tandis que son propre corps est tiraillé par le réel, brutalement pincé par ce besoin pressant qui n’a de cesse de perdurer, engourdissant son bas-ventre mis au supplice par ses propres jeux, suspendus dans l’atmosphère lorsque ses demandes s’amoncèlent sur le revers de sa langue.

Cependant, à ses demandes chevrotantes, c’est un « you » qui s’étale le long de ses tympans. Et sa gorge se répand en retour en un ordre sec, frémissement des paupières en sentant les jambes de Nimia s’enrouler autour de sa taille, et que la conversation ne cesse brièvement – dans ce battement, dans cette petite poignée de minutes, où plus rien ne semble avoir d’importance ; qu’il se noie volontiers dans les gémissements qui s’écrasent contre ses lèvres entrouvertes. Sans doute que le monde se vide véritablement, à mesure que la tension lui sature les bassins avant de se relâcher, soulignant le grondement qui lui éclate la trachée ; sans doute, oui, qu’il n’y a finalement plus que lui et Nimia, qui frémit sous son poids.

Kaz se redresse sur ses avant-bras, laisse Nimia se dégager de son empreinte, avant de s’écraser sur le matelas, joue enfoncée dans l’oreiller, nez tourné vers elle. Continuellement, perpétuellement. Elle. Et cet instant d’accalmie lui permet d’envisager plus de possibilités ; notamment celles qu’il n’avait jamais osé évoquer jusqu’alors. Do you want me so stay here, with you? Mais la question lui semble encore trop édulcorée, pas suffisamment ancrée dans ce monde qu’il essaie de leur construire ; celui qu’il a sûrement établi quelques semaines auparavant, après qu’elle l’ait emprisonné entre ses jambes. Dans son crâne, un univers entier d’alternatives. De celles qui ont poussé Ros à lever les yeux au ciel, lorsqu’elle avait les mains dans les entrailles d’une bagnole, à force de l’écouter énumérer tout ce qu’ils pourraient faire ensemble. Lui et elle. Rien qu’eux deux.

S’arrime donc aux yeux de Nimia, dont la franchise ne manque pas de le déstabiliser. Kaz lève la main vers son visage, et il est certain qu’il n’a jamais vu de personne aussi belle qu’elle, l’index qui vient effleurer la peau de sa joue, rougie par l’effort. « I want you to stay here. » L’index se relève, et sa paume s’accroche à sa pommette. Son pouce glisse le long de son arc-de-cupidon qu’il embrasse constamment. « Do you— want us to live together ? » N’hésite toujours qu’un bref instant, en l’observation de la sorte, le cœur percutant douloureusement ses côtes à mesure que les mots s’extirpent d’entre ses lippes. Mais déjà, Nimia veut en savoir davantage. « and i want to know why sometimes you just.. disappear. » Et si Kaz serait certainement incapable de la blâmer, ses dents s’enfoncent machinalement dans la peau tendre de sa joue, lui faisant ravaler d’éventuelles protestations.

Il se redresse finalement sur ses avant-bras, détend ses muscles sous la peau de son dos, s’étire les membres ankylosés. Sa nuque se renverse en arrière, observe le plafond afin d’échapper aux yeux de Nimia. « Well, for my job, I need to be – where people need me to be. » Sait parfaitement de quoi il en retourne ; sait que la question ne vient pas de ses manigances, mais plutôt de ces vœux qu’il réalise en s’évertuant à vouloir échapper à ce qui trône la plupart du temps sur le sommet de son crâne. Et soudain, la réalisation. Douloureuse, brutale. S’ils vivent ensemble, que devra-t-il faire afin de s’esquiver à sa véritable nature ? « I can’t really explain it. Not that you won’t understand but— » I’ll lose you if I do. Son visage pivote légèrement vers celui de Nimia, affrontant la ligne de son regard noir. Abdique (prétendument), en lâchant un petit soupir. « Well. I can do bad things, sometimes. Things people don’t usually get. I don’t want to, I hope it’s not me. The real me. But I have no choice. » I do it for you. I’ve only done it for you. Mais déjà, préfère contourner le sujet ; s’éloigner de ce qui le hante. « I take care of some business. For some people. Sometimes, it’s just—protecting them. Sometimes, it’s taking care of other individuals for them. And they can ask me to come around, at any time. Day or night. » But they never do. Cependant, quand les oreilles tirent sur le crâne ; lorsque la queue pousse sur la chute de ses reins ; sait alors, qu’il est temps de disparaître.

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15.07.22 22:31
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with / @kaz rhishan — zaun & 11.07.2022 (ic, ethereal)



et peut-être est-elle trop curieuse, peut-être s'aventure t'elle sur une pente dangereuse en réclamant toujours plus d'informations à ce qu'elle considère comme des mystères. ressent le besoin de combler sa curiosité, de comprendre pourquoi est-ce que tu venais souvent à mettre les voiles sans jamais offrir la moindre explication tangible et en laissant continuellement planer une aura de mystère. « do you— want us to live together ? »that's why i'm asking you to stay concrètement. et si elle avait réitéré la demande à plusieurs reprises, c'était bel et bien pour une raison — quand bien même le tout pouvait sembler précipiter. but that's who you are, et clairement, t'avais bousculé tous ses principes en si peu de temps qu'il lui serait impossible de contester le fait que tout ce que vous viviez n'était pas semblable à un roller coaster géant.

« well, for my job, I need to be – where people need me to be. » et y avait jamais eu de réponse plus bancale que ça. à ne donner aucune consistance, aucune réelle raison si ce n'est répondre un parce que à un pourquoi. et elle fronce les sourcils nimia, franchement pas convaincue — l'agacement qui pourrait pointer le bout de son nez en seulement quelques secondes. « i can’t really explain it. not that you won’t understand but— »but what ? parce que t'agissais typiquement comme si elle n'était pas en mesure de comprendre, pas en mesure de saisir les réelles explications. inspire lentement, le souffle lent. « well. i can do bad things, sometimes. things people don’t usually get. i don’t want to, i hope it’s not me. the real me. but I have no choice. » pince ses lèvres, scepticisme qui ne semble pas vouloir la quitter, les doutes sûrement visible dans ses yeux quand rien n'a réellement de sens présentement. « i take care of some business. for some people. sometimes, it’s just—protecting them. sometimes, it’s taking care of other individuals for them. and they can ask me to come around, at any time. day or night. »

et y a rien qui va dans les explications, rien qui ne trouve sens. l'impression de se livrer à une sorte de combat intérieur soudainement quand elle ne sait pas si elle a réellement la force de relever les choses directement. yeah, you do what you have to do in order to survive pour résumer brièvement la chose quand bien même le manque d'explication lui semblait un peu trop prononcé. alright et elle souffle nimia, roule doucement pour venir se caler dans le creux de tes bras, abdication pour le reste de la nuit. et sûrement que tu le sais tout autant qu'elle — qu'elle reviendra à la charge jusqu'à temps d'avoir réellement des vraies réponses. que la paix de ce soir ne faisait que reporter la réelle conversation — et possible cri qui en résulterait quand vous aviez tendance à communiquer de la pire des façons.

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